Cela me rappelle ce que décrivait Colette dans Sido : l’observation du repas d’un merle, qui picore les cerises de l’arbre de son jardin. C’est un très beau texte :
« Je l’ai vue suspendre, dans un cerisier, un épouvantail à effrayer les merles, car l’Ouest, notre voisin, enrhumé et doux...