20'000 Nums sous les mers

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Petit remontant maison ? :heu:

Ah ouais tiens. :D

oh :eek:
l'autruche a ressorti la tête du sable…

Il va se passer un truc, je ne sais pas quoi… mais je tends le dos.
 
Non je la ressort juste un peu et je la remet bientôt :sleep:

Va pour une ptite williamine :D
 
Allez hop tournée générale !!! :love:

18492.jpg


Très bon remontant en plus ! ;) :D
 
Parle plus fort Gkat est là :D :p

ET il parle un drôle de langage :eek:
 
[MGZ] Black Beru;3990286 a dit:
Pfou... Maison :love:

Ca fait du bien après 3 jours sur (enfin, sous...) la terre ferme à jouer au ptit soldat :)

Tu as vu, j'ai été sage pendant ton absence, pédagogue et tout :love:

T'en as pas trop chier j'espère ;)
 
[MGZ] Bassman;3990347 a dit:
Tu as vu, j'ai été sage pendant ton absence, pédagogue et tout :love:

T'en as pas trop chier j'espère ;)

J'ai vu, un vrai modomodèle :love:

(Non ça va... j'fais partie des vétérans maintenant... Plus grand'monde ose m'emmerder ;) C'est juste que c'est long, c'est chiant, c'est lourd, ça sert à rien et c'est à Troudubeepdumonde-les-oies -.-)
 
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Pour moi là, c'est pas de la poire...



Sinon.. juste quelques lignes pour bien dormir, après un bon repas:

Comme il disait ces mots, la porte s’ouvrit. Un stewart entra. Il nous apportait des vêtements, vestes et culottes de mer, faites d’une étoffe dont je ne reconnus pas la nature. Je me hâtai de les revêtir, et mes compagnons m’imitèrent.
Pendant ce temps, le stewart muet, sourd peut-être avait disposé la table et placé trois couverts.
« Voilà quelque chose de sérieux, dit Conseil, et cela s’annonce bien.
— Bah ! répondit le rancunier harponneur, que diable voulez-vous qu’on mange ici ? du foie de tortue, du filet de requin, du beefsteak de chien de mer !
— Nous verrons bien ! » dit Conseil.
Les plats, recouverts de leur cloche d’argent, furent symétriquement posés sur la nappe, et nous prîmes place à table. Décidément, nous avions affaire à des gens civilisés, et sans la lumière électrique qui nous inondait, je me serais cru dans la salle à manger de l’hôtel Adelphi, à Liverpool, ou du Grand-Hôtel, à Paris. Je dois dire toutefois que le pain et le vin manquaient totalement. L’eau était fraîche et limpide, mais c’était de l’eau — ce qui ne fut pas du goût de Ned Land. Parmi les mets qui nous furent servis, je reconnus divers poissons délicatement apprêtés ; mais, sur certains plats, excellents d’ailleurs, je ne pus me prononcer, et je n’aurais même su dire à quel règne, végétal ou animal, leur contenu appartenait. Quant au service de table, il était élégant et d’un goût parfait. Chaque ustensile, cuiller, fourchette, couteau, assiette, portait une lettre entourée d’une devise en exergue, et dont voici le fac-similé exact :
MOBILIS IN MOBILE
Mobile dans l’élément mobile ! Cette devise s’appliquait justement à cet appareil sous-marin, à la condition de traduire la préposition in par dans et non par sur. La lettre N formait sans doute l’initiale du nom de l’énigmatique personnage qui commandait au fond des mers !
Ned et Conseil ne faisaient pas tant de réflexions. Ils dévoraient, et je ne tardai pas à les imiter. J’étais, d’ailleurs, rassuré sur notre sort, et il me paraissait évident que nos hôtes ne voulaient pas nous laisser mourir d’inanition.
Cependant, tout finit ici-bas, tout passe, même la faim de gens qui n’ont pas mangé depuis quinze heures. Notre appétit satisfait, le besoin de sommeil se fit impérieusement sentir. Réaction bien naturelle, après l’interminable nuit pendant laquelle nous avions lutté contre la mort.
« Ma foi, je dormirais bien, dit Conseil.
— Et moi, je dors ! » répondit Ned Land.
Mes deux compagnons s’étendirent sur le tapis de la cabine, et furent bientôt plongés dans un profond sommeil.
Pour mon compte, je cédai moins facilement à ce violent besoin de dormir. Trop de pensées s’accumulaient dans mon esprit, trop de questions insolubles s’y pressaient, trop d’images tenaient mes paupières entr’ouvertes ! Où étions-nous ? Quelle étrange puissance nous emportait ? Je sentais — ou plutôt je croyais sentir — l’appareil s’enfoncer vers les couches les plus reculées de la mer. De violents cauchemars m’obsédaient. J’entrevoyais dans ces mystérieux asiles tout un monde d’animaux inconnus, dont ce bateau sous-marin semblait être le congénère, vivant, se mouvant, formidable comme eux !... Puis, mon cerveau se calma, mon imagination se fondit en une vague somnolence, et je tombai bientôt dans un morne sommeil.

Le texte intégral de 20000 Lieues sous les Mers est par ici... j'ai bien du le lire 6-7 fois depuis que j'ai 8 ans :D (et oui, Tirhum, dans une réédition de l'édition "Hetzel" :love:)
 
on voit que vous avez jamais goûté l'abricotine du valais
Tu veux p,arler de l'espece d'horreur qui décape tout que greg nous a fait boire a une lan ?
 
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