A
Anonyme
Invité
"Il" aurait tant aimé vous l'apprendre lui-même...
lundi 15 mars 2004, 18h04
Les bulles de la Guinness défient la gravité
LONDRES (Reuters) - Les inconditionnels de la Guinness, qui s'apprêtent à fêter dignement la St-Patrick mercredi, vont devoir renoncer à un de leurs sujets de conversation favoris.
Les bulles de la bière brune emblématique de l'Irlande pétillent bien vers le bas.
Une équipe internationale de chercheurs a annoncé lundi avoir fait la preuve que les bulles de la célèbre bière crémeuse défient les lois de la gravité pour couler vers le bas et non remonter vers le haut.
"Notre groupe avait mené des expériences préliminaires dans un pub il y a quelques années, mais les résultats n'avaient pas été concluants", a déclaré le dr Andrew Alexander, de l'Ecole de chimie de l'université d'Edimbourg, qui a travaillé avec des chercheurs de l'université de Stanford en Californie.
Un examen approfondi a permis de montrer que lorsque la bière repose, les bulles situées le plus à l'extérieur s'accrochent aux parois du verre, ce qui ralentit leur montée. A l'inverse, les bulles au centre du verre montent librement, créant un mouvement circulaire qui pousse vers le bas les bulles restées le long des parois.
lundi 15 mars 2004, 18h04
Les bulles de la Guinness défient la gravité
LONDRES (Reuters) - Les inconditionnels de la Guinness, qui s'apprêtent à fêter dignement la St-Patrick mercredi, vont devoir renoncer à un de leurs sujets de conversation favoris.
Les bulles de la bière brune emblématique de l'Irlande pétillent bien vers le bas.
Une équipe internationale de chercheurs a annoncé lundi avoir fait la preuve que les bulles de la célèbre bière crémeuse défient les lois de la gravité pour couler vers le bas et non remonter vers le haut.
"Notre groupe avait mené des expériences préliminaires dans un pub il y a quelques années, mais les résultats n'avaient pas été concluants", a déclaré le dr Andrew Alexander, de l'Ecole de chimie de l'université d'Edimbourg, qui a travaillé avec des chercheurs de l'université de Stanford en Californie.
Un examen approfondi a permis de montrer que lorsque la bière repose, les bulles situées le plus à l'extérieur s'accrochent aux parois du verre, ce qui ralentit leur montée. A l'inverse, les bulles au centre du verre montent librement, créant un mouvement circulaire qui pousse vers le bas les bulles restées le long des parois.