GAND, Belgique (Reuters) - Un acteur belge du nom de Benjamin Verdonck partage depuis trois jours la cage d'une truie dans l'espoir que la bête lui révèle la raison pour laquelle il y a tant de conflits dans le monde.
Inspiré par l'artiste allemand Joseph Beuys, qui a passé une semaine dans une cage avec un coyote en 1974 pour protester contre la guerre du Vietnam, Verdonck se dit que la truie a autant de chance que n'importe qui de lui apporter une réponse au pourquoi de la guerre.
"Bien sûr, le fait que la truie est un animal sale a une importance", a-t-il dit à Reuters à Gand, dans le musée où se déroule le happening.
L'homme, âgé de 30 ans, ne porte que des sous-vêtements. Il partage des couvertures, un matelas et un téléviseur avec la truie, dans une cage en métal où il compte rester jusqu'à samedi. Il y mange, dort et fait ses besoins, et un restaurant du quartier leur sert des plateaux-repas.
Ce happening, qui a commencé mercredi, est intitulé: "J'aime l'Amérique et l'Amérique m'aime".
"Je ne suis pas pro-américain du tout. Mais je ne veux pas faire de déclaration pour dire qu'il faudrait faire ceci ou cela".
Inspiré par l'artiste allemand Joseph Beuys, qui a passé une semaine dans une cage avec un coyote en 1974 pour protester contre la guerre du Vietnam, Verdonck se dit que la truie a autant de chance que n'importe qui de lui apporter une réponse au pourquoi de la guerre.
"Bien sûr, le fait que la truie est un animal sale a une importance", a-t-il dit à Reuters à Gand, dans le musée où se déroule le happening.
L'homme, âgé de 30 ans, ne porte que des sous-vêtements. Il partage des couvertures, un matelas et un téléviseur avec la truie, dans une cage en métal où il compte rester jusqu'à samedi. Il y mange, dort et fait ses besoins, et un restaurant du quartier leur sert des plateaux-repas.
Ce happening, qui a commencé mercredi, est intitulé: "J'aime l'Amérique et l'Amérique m'aime".
"Je ne suis pas pro-américain du tout. Mais je ne veux pas faire de déclaration pour dire qu'il faudrait faire ceci ou cela".
