Actualités amusantes ou pas (v1)...

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gwen a dit:
Un peu ça?
FranquinInoires.jpg

A vrai dire, c'est précisément en pensant à cette planche de Franquin que j'avais posté ça, mais j'ai eu la flemme de la scanner ! :up:
 
Dos Jones a dit:
Brésil: un maire décrète une "interdiction de mourir"

SAO PAULO (AFP) - vendredi 9 décembre 2005 - Le maire de Biritiba Mirim, dans la banlieue de Sao Paulo, a décrété une "interdiction de mourir" dans cette commune jusqu'à nouvel ordre, faute de place dans le cimetière municipal.

A mourir de rire...:D :D :D

Il y a eu un arrêté municipal comme ça en France, il y a deux ou trois ans, pour les mêmes raisons (le préfêt avait mis son vêto à l'extension du cimetière de la commune). :D :D :D
 
LUE SPRINGS (AP) - C'est ce qu'on appelle couper court à une conversation. Une Américaine de 24 ans habitant à Blue Springs (Missouri), dans le centre des Etats-Unis, a avalé un téléphone portable après une dispute avec son petit ami.

Les policiers ont reçu un appel vendredi peu avant 5h du matin (10h gmt, 11h heure française) d'un homme expliquant que son amie avait du mal à respirer. Les policiers, en arrivant sur les lieux, ont constaté que la jeune fille avait un téléphone portable dans la gorge.

"Il voulait le téléphone et elle ne voulait pas lui donner, alors elle a tenté de l'avaler. Elle l'a mis complètement dans la bouche pour qu'il ne puisse pas l'attraper", a expliqué le sergent Steve Decker, de la police de Blue Springs.

La jeune femme, dont l'identité n'a pas été précisée, a été hospitalisée. Aucune précision n'a été fournie sur son état de santé. La police, précise le sergent Decker, a clos son enquête. "C'est la première fois que j'entends parler d'une telle chose", explique-t-il. "Je ne sais pas de quel genre de téléphone il s'agissait, ni s'il était sur sonnerie ou vibreur".

Le bonheur c'est simple comme avaler son portable
 
Le suicide de l’année...
San Diego - Au dîner annuel donné par l’Association Américaine pour la Recherche Future (AAFS), le Président, Don Harper Mills étonna son audience avec une histoire à propos de complications légales survenues après une mort quelque peu bizarre.
Le 23 mars 1994, le médecin légiste examina le corps de Ronald Opus et conclut qu’il était mort de plaies par balles à la tête. La victime avait sauté du haut d’un immeuble de 10 étages lors d’une tentative de suicide (il avait préalablement laissé une lettre indiquant ses intentions).
Lors de son saut, il fut tué à hauteur du 9ème étage par un coup de feu tiré par la fenêtre, ce qui l’acheva instantanément. Ni le tireur, ni Opus n’étaient au courant qu’un filet de sécurité avait été posé au 8ème étage pour protéger les laveurs de carreaux, et que de toutes les façons, cette tentative était vouée à l’échec.
« D’ordinaire, continua le Dr Mills, quelqu’un qui prévoit de se suicider finit par y arriver, même si ce n’est pas par le moyen qu’il avait premièrement envisagé. Qu’Opus ait utilisé plusieurs moyens différents pour se suicider n’aurait jamais changé la qualification juridique de la cause de sa mort de suicide en homicide. En revanche, le fait que sa tentative de suicide ait été infructueuse a poussé le légiste à déduire que ce qu’il avait entre les mains était un homicide.
« Située au 9ème étage, la chambre d’où est parti le coup de feu était occupée par un couple de retraités. Ils étaient en pleine dispute et il le mari menaçait sa femme avec un pistolet. Il était si énervé qu’il a involontairement appuyé sur la détente, a complètement raté sa femme et les plombs ont traversé la vitre frappant Opus. »
Pendant le procès en réponse aux accusations du procureur, le vieil homme et sa femme ont eu comme seule défense le fait qu’ils ne savaient ni l’un ni l’autre que l’arme était réellement chargée. Le vieil homme indiqua alors qu’il lui arrivait fréquemment de menacer sa femme avec une arme non chargée. Qu’il n’avait aucune intention de l’assassiner, et qu’ainsi, la mort de Opus n’était autre qu’un accident.
Cela dit, l’arme avait quand même été accidentellement chargée… ».
La suite de l’enquête permit de trouver un témoin qui avait vu le fils du couple de vieux charger l’arme environ 6 semaines avant l’accident mortel. Il s’est avéré que la vieille femme avait arrêté de verser une pension alimentaire à son fils et celui-ci, connaissant les tendances de son père à menacer sa mère avec son arme, l’avait chargée en espérant qu’il lui fasse la peau. Le cas devenait alors un meurtre : celui de Ronald Opus par le fils du couple. »
Mais ce qui suit est encore pire : après approfondissement de l’enquête, il s’avérait que le fils n’était autre que Ronald Opus lui-même, qui, fou de rage et de désespoir en voyant que sa tentative contre sa mère ne marchait pas avait décidé de se suicider en sautant du toit de l’immeuble situé au 10ème étage. »
Le médecin légiste a finalement clos le dossier comme étant un suicide…
Si c'est pas de la poisse ça...:confused:
 
Coincidences, que de coincidences...

Que le gars tire une arme chargé par son fils qui se suicide paske la mere n'est pas morte et que la balle atteigne son fils qui saute pa rune fenetre.... faut le faire !!!

:hein: :rolleyes:
 
Des cochons fluos qui virent au vert dans le noir.

Cochon.jpg


Les trois cochons fluorescents photographiés à l'université de Taipei le 12 janvier 2006
© AFP/Nal Taïwan University​

Mots d'Edith : Oups j'avais pas vu que le sujet était abordé ici...:rose: :rose: :rose:
 
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Réactions: teo
iDuck a dit:
T'as vu qui est en photo sur la couverture du magazine en haut de la page : iPapy. Il est vraiment partout celui-là. ;) :D


J'avais pas vu....Keynote par SMS aussi ....:D
 
Enfin de l'actu sympa :eek: :

FAMINE - Une Néo-Zélandaise offre des croquettes pour chiens aux enfants du Kenya

L'offre paraît de mauvais goût et a soulevé l'indignation à Nairobi. Christine Drummond a proposé d'envoyer 42 tonnes de nourriture pour chiens au Kenya afin de remplir le ventre des enfants du pays souffrant de la famine. Cette Néo-Zélandaise compatissante produit à partir de nourriture en poudre des croquettes pour chiens, appelées "Mighty dog mix", et a donc offert de partager sa production.

Le Kenya a bien sûr mal accueilli cette proposition. Cité par le quotidien de Nairobi Daily Nation, le ministre en charge des opérations de secours, John Munyes, a demandé que cette offre soit retirée et a déclaré qu'il était "insultant que l'on puisse penser que le Kenya accepte de la nourriture destinée aux animaux".

Christine Drummond se défend de vouloir envoyer de la nourriture pour chiens et affirme qu'il s'agit d'un mélange fait "pour des gens spéciaux". Elle dit en saupoudrer elle-même son porridge le matin et déclare que son goût lui fait "monter l'eau à la bouche". Dans sa dernière offre, le mélange arriverait désormais sous forme de poudre, et non plus en croquettes.
 
iDuck a dit:
Seulement "paraît" ? "est", non ? :siffle:
Ben oui mais... tu sais, beaucoup de journalistes préfèrent éviter de prendre ouvertement position.
D'un côté, le point de vue kényan, de l'autre celui de la "généreuse" donatrice. Thèse, antithèse. Au lecteur de tirer ses propres conclusions. C'est le principe de la presse d'information.
Cela dit, on est tous d'accord...
 
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