<BLOCKQUOTE><font size="1" face="Verdana, Geneva">quote:</font><HR>Posté à l'origine par [MGZ] Black Beru:
Quant à ce "commissaire Bialès", nous le sommons de nous donner cartes d'identités, permis de conduire et tout le tralala, et de se courber face à Bialès en implorant son pardon.<HR></BLOCKQUOTE>
Voilà vous saurez tout sur le commissaire Bialès, bonne lecture !
Odile : Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
..aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Journalistes : Commissaire, commissaire Bialès, commissaire s'il vous plait, que s'est-il passé ? où en est l'enquête ? C'est le deuxième meurtre qui a lieu dans ce cinéma, pensez vous que le film soit vraiment mauvais ?
Bialès : Écoutez, laissez la police faire sont travail, dès que j'aurai de plus amples information croyez bien que vous en serrez les premiers informer.
Journaliste : Commissaire, peut-on parler d'un tueur en série ? qu'on à craindre les festivaliers ?
Bialès : Écoutez, laissez la police faire sont travail, dès que j'aurai de plus amples information croyez bien que vous en serrez les premiers informer.
Journaliste : (un truc en anglais)
Bialès : Listen,let the police do is job, besur I give you answer if it's possible, OK ?
Journaliste : ( un truc en danois je crois
mais bon
la je sais pas
s'cusez moi
)
Bialès : (en danois je crois
) Écoutez, laissez la police faire sont travail, dès que j'aurai de plus amples information croyez bien que vous en serrez les premiers informer.
Bialès : C'est vous qui avez prévenu la presse ? Bravo vous avez fait vite hein.
Grimaldi : Non commissaire, c'est la personne qui a découvert le corps, une certaine Odile Deray
Bialès : Deray
La victimes a été tuée a la saucisse et au marteau !
Grimaldi : Euh non commissaire, faucille, enfin c'est ce que pensent les types du labo.
Bialès : On lit saucisse un peut quand même hein. Bon d'autres indices ?
Grimaldi : Oui, le tueur a gravé une deuxième lettre sur le mur. La première étais un " O ", la deuxièmes est un " D ", on sait pas ce que ça veut dire mais les types des chiffres et des lettres sont dessus.
Bialès : " O, D ", " D, O ", do la note, surement un musicien
Grimaldi : Ah commissaire, le type qui a fait ça est un maniaque, j'espère que vous avez le cur bien accrocher parce que c'est une véritable boucherie à l'intérieur
Bialès : Oh
.Le crime a eu lieu où ?
Grimaldi : Ici.
Odile : C'étais horrible, elle étais là, dans le coin, avec ses
.huit grosse pattes velues.
Grimaldi : Commissaire, mademoiselle Deray, qui a découvert le corps. Mademoiselle Deray vous connaissez le commissaire Bialles ?
Odile : Non.
Voix : Né le 25 juillet à Oran, en Algérie, d'une mère artiste de variété, Alicia Lempero, et d'un père gendarme, Maurice Bialès, le petit Patrick Humphrey Tiburse Bialès est fils unique. Heureusement que maman Bialès est là pour partager ses jeux d'enfant, car papa Bialès est souvent absent. En 1962, les Bialès quittent l'Algérie et arrivent a Nice, puis, de Nice, ils prennent le bus et s'installent à Cannes, Patrick a 12 ans. Voulant faire plaisir à la fois a sa mère et à son père, il hésite entre une profession artistique et policière. Mais le destin décidera pour lui, puisqu'en 1968, pendant les évènements, son père meure étouffé, la tête coincée dans une grille d'arbre. Il embrasse alors la carrière policière et abandonne ses étude de trapèze. 1971, il sort 10ème de l 'école de police de Nice avec une moyenne de 11/20 ce qui est bien mais pas top. C'est après avoir élucidé le mystère du téléphone jaune et celui du labyrinthe maudit qu'il est promu inspecteur.
[Emission Chiffres et des Lettres] Présentateur : Monsieur Bialès, combien de lettres ?
Bialès : Euh 9 lettres
p-o-l-i-c-i-e-r-s.
Voix : Puis il gagne à la finale régionale des chiffres et des lettres et devient ainsi commissaire principale de la ville de Cannes, fonction qu'il occupe aujourd'hui encore.
Odile : Enchantée commissaire.
[Devant le lieu du meurtre]
Kara : Pardon, pardon, pardon. On connais la nana qui a découvert le corps
Videur : OK, c'est bon, entrez. Non non pas toi, j'ai dis pas de basket.
Kara : Pardon, pardon mademoiselle Deray est là ?
Policier : Ah non, elle est partie se changer et puis après ils l'ont emmenée au commissariat.
Kara : Pffff, ola la c'est embêtant ça, ça ne m'arrange pas du tout, j'vous explique, je suis arrivé il y a quatre heure à l'arrêt au port de Nice et on m'a donné ce monsieur a garder. Moi je le garde hein, c'est normal, c'est..c'est c'est mon boulot.
Policier : Normal, comprend.
Kara : D'entrée il me vomi dans la voiture, mais un truc monstrueux quoi, je sais même pas si ils vont avoir les sièges, dans la chambre rebelotte, bref, on est là, on était censé se retrouvé au resto, donc on est là au resto, lui il à fin, il a rien manger, il a rien avalé, il a pris quoi
un jus d'orange, on attend on attend et elle arrive pas.
Simon : Eh t'as vu c'est une Kineton.
Kara : Hein ?
Simon : C'est une Kineton.
Kara : Oui c'est une Kineton. Voilà maintenant moi je me retrouve avec lui sur les bras, qu'est ce que j'en fait ?
Policier : Et oui je sais bien oui.
Simon : Non mais ce qui est dingue c'est que c'est la première fois que j'en vois une en vrai, une Kineton.
Kara : Bien regarde, tu a vu de près ?
Simon : Non
Kara : Va voir de près. Alors après, parce que après elle appelle, elle appelle, elle me dit qu'elle a découvert un 2ème meurtre que ça va un peu la retarder, qu'elle est encore au cinéma, j'vai dire, admettons, combien de temps ça prend pour découvrire un corps ? combien ? une heure, une heure et demi ?
Policier : Oh maxi.
Kara : Maxi ! Simon ne touche pas les trucs ! Voilà ça fait plus de deux heures et vous me dites qu'elle est au commissariat, moi je sais plus quoi en faire de lui
Policier : Vous avez pas pensé a l'emmener à l'Aquasplash ?
Kara : Ah non tien. Simon, demain on ira a l'Aquasplash
Simon : Sblllllluuuuuuuuuuuuurrrrrrppppppppppp [vomi]
Policier : Ah ben le voilà le jus d'orange
Crüniac
[16 janvier 2002 : message édité par Crüniac]