comment s'en sortir en tant qu'infographiste ?

moricette17

Membre confirmé
22 Mars 2011
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Bonjour,

J'ai une question qui n'est pas technique, et qui n'a rien à voir avec la suite Adobe etc...
Je la poste ici, car ici y'a des pros en infographie.

Je me demandais comment on faisait pour s'en sortir en tant qu'infographiste ?

Cela fait plusieurs années que j'ai eu mon diplôme (06), je pense avoir plutôt un bon niveau (print surtout), mais ça ne décolle pas (autant en studio qu'en free-lance).

Je commence sérieusement à me dire que je devrai lâcher et me reconvertir, mais j'en ai pas du tout envie.

Y'a des personnes ici qui arrivent à en vivre ?
Si oui, comment vous faites ?

Merci et bonne nuit
 
Qu'appelles-tu "sen sortir" ? Simplement arriver à se dégager un salaire ou bien gagner sa vie ?

Quels sont tes problèmes en tant que freelance ? (en studio la question est superflue)
Tes clients ne reviennent pas, ne t’amènent pas d'autres clients ? Tu n'as pas du tout de demandes ? Tes devis ne passent pas ? Ou au contraire tu travailles en permanence mais tu ne gagne pas assez pour vivre ? Où vis tu ? Où cherches-tu tes clients ? Etc.

Ta question est un peu vague.

Oui on peut s'en sortir financièrement dans ce métier (faire fortune c'est plus rare) mais il n'y a pas qu'une seule façon de le faire…
Il faut connaitre se faiblesses et ses atouts et ensuite corriger les premières ou tout miser sur les seconds.
 
N'hésites pas à chercher chez les imprimeurs… certains veulent rassembler plusieurs compétences sous un même toit et recherchent des graphistes. Cependant, fini l'indépendance…
Il reste également les agences de com… mais les temps sont durs pour tout le monde.

Quant à vivre de ce merveilleux métier, c'est autre chose, ça prend du temps de se faire connaître auprès des principaux intéressés.
 
Je commence sérieusement à me dire que je devrai lâcher et me reconvertir, mais j'en ai pas du tout envie.
Y'a des personnes ici qui arrivent à en vivre ?
C'est un métier que l'on fait parce-qu'on l'aime, pas pour devenir riche…
Voilà, tu sais tout !
:)
 
Ou alors tu fais comme dans "Le Couperet" de Donald Westlake : tu élimines tous les concurents qui te prennent ton travail... mais avec tous les bricolos qui merdouillent ce qu'ils croient être du graphisme sans rien y connaître, tu vas avoir du boulot !!!

(le plus simple est de changer de métier...)
 
par s'en sortir, j'entends "ne pas être obligé de demander du rsa parfois".
me dégager régulièrement un salaire suffisant pour pouvoir payer seul mon loyer et mes factures.

je demande pas la richesse, c'est pas du tout mon style de courir après l'argent.

et je pense que je travaille par passion depuis longtemps, depuis le début en fait, et c'est ce qui me fait tenir et fait que j'ai pas envie de laisser tomber.

mais faut être réaliste à un moment. là je rame depuis longtemps, j'ai 27 ans.
normalement, ça devrait être le contraire.

les soucis que je rencontre, je pense que c'est ceux de tout le monde :
-pas assez de clients.
-mes clients me rapportent pas d'autres clients.
-les clients veulent qu'on travaille gratuitement pour eux après plusieurs commandes payées (en prétextant qu'on est plutôt "amis" maintenant, car on s'échange des politesses pour que ce soit plus agréable de travailler ensemble).
-souvent les clients veulent baisser les devis, c'est toujours trop cher pour eux, donc si je cède pas, ils vont voir ailleurs.
-la concurrence faite de plein de pseudo-graphistes du dimanche, des bidouilleurs même pas diplômés qui cassent les prix et récupèrent nos clients.
-quand je démarche, souvent ça donne rien, car tout simplement, ils n'ont pas besoin de pub (à ce moment là en tout cas).

quant aux agences, y'a toujours un truc qui leur plaît pas :
-on est jamais assez "complet" pour elles. on utilise pas assez illustrator, ou bien ils veulent de la 3D, ou de la vpc, ou bien ils veulent qu'on sache faire des sites en CSS / PHP / XML etc... et évidemment on sait pas tout faire car on est spécialisé.
-on donne une mauvaise impression en entretien (alors qu'on a rien fait ni dit de mal, on a juste l'air pas assez bien coiffé ou pas l'air assez motivé ou je ne sais quoi).
-concurrence énorme, et y'a toujours mieux que soi évidemment.

voilà
résultat décevant

---------- Nouveau message ajouté à 23h07 ---------- Le message précédent a été envoyé à 22h58 ----------

en fait, pour donner une réponse complète :

sorties de mon école, les seules personnes qui ont un salaire un peu près régulier sont :

-soit la minuscule poignée de chanceux (je sais pas si c'est le bon mot) qui ont trouvé une agence de communication (souvent ils ont déménagé à l'autre bout du pays pour ce poste).

-soit deux filles qui font plutôt de l'illustration (livres d'enfants, dessin de presse) et qui cumulent à côté de ça des tafs autres (genre donner des cours, ateliers d'arts plastiques avec enfants etc...)
(y'a aussi un gars qui a un agent artistique depuis peu qui lui amène ses commandes).

le reste rame.
 
mais faut être réaliste à un moment. là je rame depuis longtemps, j'ai 27 ans.
normalement, ça devrait être le contraire.

Euh, 27 ans c'est vieux ?

les soucis que je rencontre, je pense que c'est ceux de tout le monde :

Si c'était le cas personne ne vivrait de ces boulots.


-pas assez de clients.
-mes clients me rapportent pas d'autres clients.
-les clients veulent qu'on travaille gratuitement pour eux après plusieurs commandes payées (en prétextant qu'on est plutôt "amis" maintenant, car on s'échange des politesses pour que ce soit plus agréable de travailler ensemble).
-souvent les clients veulent baisser les devis, c'est toujours trop cher pour eux, donc si je cède pas, ils vont voir ailleurs.

Ça ça fait un peu beaucoup ! Ce n'est pas normal de cumuler tout ça…

Si tu n'as pas assez de clients ET que tes clients te trouvent trop chère, il y a un truc qui cloche… Logiquement, tu aurais du baisser tes prix pour augmenter ton nombre de clients pour mieux t'en sortir vu que "pas assez de clients", ça veut dire aussi un emploi du temps pas rempli. Replis ton agenda et monte tes prix après.

Bien sur dans l'idéal, il vaut mieux peu de boulot bien payé que beaucoup mal payé mai ceux qui peuvent se permettre d'être hors de prix ne se plaignent jamais de ne pas avoir assez de clients.

Une astuce : si tu fais un geste commercial, n'hésite pas à le valoriser sur la facture ou le devis en précisant le prix réel et, en négatif, avant le total, le rabais. Ça évite que, de bonne foi, le client te demande de travailler toujours à ce prix.

Bon.

Un autre truc qui cloche : normalement un client satisfait revient et nous amène d'autre clients. Je ne juge pas ton travail, je ne le connais pas, mais, quoi qu'ils te disent par devant, s'ils ne reviennent pas et ne te font pas de bouche à oreille, c'est qu'ils ne sont pas satisfaits. Pourquoi ? Il faut le déterminer. Mais un fait est un fait.

As tu fait une erreur ? Y a-t-il eu une incompréhension entre vous ? Est-ce que ce type de cleinet est vraiment fait pour toi, pour ce que tu sais faire le mieux sans vouloir viser trop haut… Je me suis méga-planté au début sur ce dernier point, vital en free lance. Les nouveaux se disent "je ne sais pas faire mais je ne suis pas plus bête qu'un autre, je prends le boulot et on verra après". C'est le meilleur moyen de se planter dans le devis (en sa défaveur, généralement) tout en rendant le client insatisfait.

-la concurrence faite de plein de pseudo-graphistes du dimanche, des bidouilleurs même pas diplômés

Je ne suis pas diplômé et je ne reprendrai plus jamais de jeunes stagiaires diplômés ou en formation. Ils ont trop de choses à désaprendre en étant persuadés du contraire.

En assimilant "pseudo-graphistes du dimanche" et "pas diplomés" tu fais une très grave erreur (et tu ne t'attire pas ma sympathie, forcément) qui témoigne d'une posture qui explique peut-être en partie tes soucis. N'oublie pas que ces écoles sont récentes et qu'on n'est pas encore professionnel en en sortant, loin de là. Dans nos métiers ce n'est pas le diplôme qui fait le professionnel. Quelqu'un qui n'a jamais dessiné ni rien fait de graphique dans sa vie avant d'entrer dans une école de graphisme (ou d'art) n'en resortira pas plus graphiste (ou artiste) que quand il y est entré. Il y a autant de pseudo-graphistes diplômés que non diplômés.

Et concernant ces "pseudo-graphistes du dimanche" (je te confirme qu'ils pulullent et la tendance ne va pas s'inverser de si tôt), en ce qui me concerne, j'estime qu'il ne me prennent pas tellement mon boulot puisque justement, une fois sur deux on me contacte suite à une déception due à ce genre de boulot. Du coup, les clients qui sont passés par là savent qu'un boulot correct se paie.


en fait, pour donner une réponse complète :

sorties de mon école, les seules personnes qui ont un salaire un peu près régulier sont :

-soit la minuscule poignée de chanceux (je sais pas si c'est le bon mot) qui ont trouvé une agence de communication (souvent ils ont déménagé à l'autre bout du pays pour ce poste).

-soit deux filles qui font plutôt de l'illustration (livres d'enfants, dessin de presse) et qui cumulent à côté de ça des tafs autres (genre donner des cours, ateliers d'arts plastiques avec enfants etc...)
(y'a aussi un gars qui a un agent artistique depuis peu qui lui amène ses commandes).

Je ne dirais pas que ceux qui sont en agence sont chanceux (en tout cas il faudrait leur demander leur avis ! …).

Quant aux deux filles dont tu parles, il me semble que leur profil est tout à fait conforme à ce qu'on peut attentre dans ce type de métier, surtout si on est orienté illustration.

En free lance, il faut chercher les niches, les spécialisations, faire des piges complémentaires à droite et à gauche (qui ne sont pas uniquement pécuniaires mais aident à trouver des clients et des relations de travail et à s'ouvrir l'esprit). Petit à petit, la clientèle de fidèles s'étoffe et on fais de moins en moins d'à-côtés. Un client satisfait qui te donne un boulot à 300 € tous les cinq ans mais te ramène régulièrement d'autres clients est un très bon client.

Je bosse dans le domaine associatif et culturel en province. Ces gens là ne sont pas du tout sensibles aux sirènes et aux discours opaques des boites de com' et trouvent un interlocuteur proche d'eux. Voilà le type de niche qu'il faut exploiter.

le reste rame.

C'est un boulot où on rame souvent. On a d'autres avantages.

Si quelqu'un t'a promi que juste de par ton diplôme tu gagnerai, à coup sûr, bien ta vie avant 35 ans dans ce métier, il est bon à enfermer.
 
Dernière édition:
-on donne une mauvaise impression en entretien (alors qu'on a rien fait ni dit de mal, on a juste l'air pas assez bien coiffé ou pas l'air assez motivé ou je ne sais quoi).
Peut-être faudrait-il ne pas les traiter d'abrutis... :D:D:D

Mais même sans aller jusqu'à cette extrémité, quelqu'un qui se pointerait devant moi pour un entretien d'embauche et qui quand j'essayerais de sonder un peu ses connaissances techniques me répondrait qu'il exporte ses PDF en "haute-déf" page-par-page, que ses fichiers sont toujours parfaits et qu'il n'a jamais eu de problème avec les imprimeurs, je ne perdrais certainement pas mon temps à aller plus loin : je vois tout de suite à quel genre de personnage j'ai à faire et je ne donne (surtout) pas suite à sa candidature.
 
-on donne une mauvaise impression en entretien (alors qu'on a rien fait ni dit de mal, on a juste l'air pas assez bien coiffé ou pas l'air assez motivé ou je ne sais quoi).

Ouais, c't'a dire que le côté "j'aime bosser coiffé comme un dessous de bras et fringué comme un pouilleux et je postule chez vous parce que j'ai besoin de thunes mais au fond votre boîte ne m'intéresse pas plus qu'une autre" même si, au fond, c'est la vérité de beaucoup de monde, ça ne passe pas bien en entretien.

Un entretien, ça se prépare et ça se travaille - et si tu as l'impression que tu foires tes entretiens parce que les recruteurs te pensent peu motivé pour le job ou parce que tu es mal coiffé, ben...
La solution me semble évidente, non ?

En entretien, le truc, justement, c'est de les persuader que, non, il n'y a pas mieux que toi pour le job - si tu pars battu d'avance, tu ne décrocheras jamais rien.

(Après, je ne justifie pas forcément le côté parfois très hypocrite de l'entretien. C'est un exercice que je déteste et j'en ai foiré quelques uns. Je ne fais que décrire un état de fait.)
 
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Ouais, c't'a dire que le côté "j'aime bosser coiffé comme un dessous de bras et fringué comme un pouilleux et je postule chez vous parce que j'ai besoin de thunes mais au fond votre boîte ne m'intéresse pas plus qu'une autre" même si, au fond, c'est la vérité de beaucoup de monde, ça ne passe pas bien en entretien.

Un entretien, ça se prépare et ça se travaille - et si tu as l'impression que tu foires tes entretiens parce que les recruteurs te pensent peu motivé pour le job ou parce que tu es mal coiffé, ben...
La solution me semble évidente, non ?

En entretien, le truc, justement, c'est de les persuader que, non, il n'y a pas mieux que toi pour le job - si tu pars battu d'avance, tu ne décrocheras jamais rien.

(Après, je ne justifie pas forcément le côté parfois très hypocrite de l'entretien. C'est un exercice que je déteste et j'en ai foiré quelques uns. Je ne fais que décrire un état de fait.)
+1
Un entretien se joue sur les 15 premières minutes. Après c'est trop tard...
 
Pour avoir monté une structure de service informatique (de l'infra réseau à la création de site web) j'ai fait un constat.

Soit on à beaucoup de sous au départ pour payer un commercial qui va démarcher, soit on se prend par la main, et on va chercher les clients.

C'est un travail ENORME et presque à plein temps.

En gros, au debut, c'est 3h de boulot, pour 7h de démarchage par jour.

Ce sont des déplacements, des coups de fils, des prospectus, des mailing.

Ensuite, c'est entretenir un réseau, c'est à dire des relations qu'on relance gentillement pour savoir si une affaire ne va pas faire.

Ils faut se dire que tes clients, ou clients potentiels, (sauf si ce sont tes parents ...), il ne t'attendent pas. Il ne sont pas la pour te faire la charité.

Au mieux peut-tu espérer de leur par qu'il te favorise légèrement (et j'insiste sur le légèrement) sur tu es au même prix qu'un concurrent pour une qualité équivalente.

Et encore, si ton concurrent est dispo avant toi, pour un prix et une qualité équivalente, il sera pris à ta place.

Il ne faut donc jamais ATTENDRE les affaires, mais aller les chercher. Franchement, c'est ce que j'ai retenu en 4 ans.



Je suis aussi dans le 06, je bosse sur Sophia, autant dire que les concurrent ... c'est pas ca qui manque. Maintenant, les clients non plus, surtout dans la région avec Monaco et Cannes. Y a beaucoup, beaucoup, beauuuuuuuuuuucoup de blé qui traine.

Seulement, pour rebondir avec les entretiens foiré, t'es aussi dans la région du paraitre. Ce n'est donc pas parce que tu es graphiste et surement bon, qu'il faut négliger l'apparence. C'est con, c'est injuste, mais c'est comme ça.

C'est donc tenu classe, allure assuré, poignée de main ferme, et petit compliment (petit, hein, pas lourd) et si t'as une voiture moisi. Tu te garres loin, et tu arrives a pied.


Enfin, (et c'est pour çà que j'ai changé). A moins d'etre LE genie de ta catégorie, ou tomber sur LE client qui va te lancer, ou avoir LA forture pour te lancer, bien gagner sa vie en tant que freelance (je n'ai pas dis rouler sur l'or, juste etre à l'aise) ça va demander une quantité de travail ENORME, et un investissement en temps encore plus ENORME.

Si tu arrives à franchir ce cap, à faire evoluer ta structure, alors, tu va pouvoir commencer à te poser. Et surtout à avoir des employé pour faire l'administratif à ta place.

Moi, c'est ce qui m'a fait retourner en tant que salarié.

la "facilité" et la "tranquillité". Mutuelle, horaire fixe, boulot pepere, vacance sans se demander si on va paumer un client. Un salaire plus petit, certe, mais un esprit Zen. C'est à toi de voir.
 
Ayant de la famille sur Nice qui cherchait du boulot dans le graphisme et le webdé (apres etre passé par la case developpeur), et qui n'a pas réussi à percer, je me suis toujours dit que ca devait etre tres dur sur la cote pour debloquer du boulot. Les entreprises et leurs dpt comm y sont peu representés ?
Comme disait elamapi, par contre, il a l'air d'y avoir en effet bcp bcp de sous dans ce coin là, quand tu vois les voitures et les maisons, mais j'ai plus l'impression que l'economie est orientée bling bling touristique pour retraité qu'autre chose.
Y'a des jours je me dis que sur Paris on est quand meme mieux lotis pour ca, les entreprises ne manquent pas…
 
Y'a des jours je me dis que sur Paris on est quand meme mieux lotis pour ca, les entreprises ne manquent pas…

Non :) je suis respé presque 8 ans sur Paris, et j'y vais toujours régulièrement. Je peux t'assurer que c'est kifkif.

Sur ce marché là, en tout cas, il n'y à pas trop de différence. Un peu plus de prospects sur Paris, mais qui "lachent" moins. Ça s'équilibre.
 
Pour un petit graphiste indépendant il y a du boulot partout, peut être même plus dans les zones plus reculées car peu pensent à s'y installer et à y démarcher. Par contre ce sont moins de gros clients et plus de petits mais c'est largement compensé par le fait que ça coute de 2 à 3 fois moins cher de vivre dans une petite ville qu'à Paris. Travailler plus pour dépenser plus et habiter dans 15 m2 je le laisse à ceux qui y sont accros. :p
 
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Réactions: da capo
Non, c'est une bonne idée, même en indé. Quand on a de bonnes relations avec un imprimeur et qu'on travaille correctement, il nous envoie des clients de temps en temps, file notre carte de visite et parfois sollicitent eux-même une petite sous-traitance.

Dans les petites imprimeries, il y a souvent un seul opérateur PAO-prépresse qui a une formation technique mais pas graphique/design/artistique et ils peuvent avoir besoin d'éléments graphiques ou de chartes entières. Il y a aussi les grosses périodes de coup de bourre où il y a un énorme gâteau à partager.
 
Pour pouvoir faire mon métier tranquille je me suis spécialiser.
J'explique l'infographiste, a une maîtrise non négligeable de plusieurs logicielles se qui est ma foi un atout certain sur le marcher du travail. Le monde du design visuelle est Ho! combien créatif, le problème est que l'apprentissage de celui-ci semble négliger l'aspect plus technique de la chose. Je suis loin de vouloir généraliser et je comprend qu'a chacun son métier.

Donc l'infographiste débarque avec tout ses outils. Bang!
C'est ce que j'ai fais en débarquant dans la boite ou je travail présentement. Mon atout a été photoshop de fil en aiguille j'ai appris le fonctionnement de Linocolor et par la suite Silverfast qui sont tout deux des logicielles de numérisation qui fonction avec différent type de scanner que j'ai appris par la même occasion à maîtriser.
En sortant de mes études je ne pouvais même pas m'imaginer que l'on pouvait gagner sa vie en numérisant des photos ou des oeuvres d'art. Et bien oui.... ça fais 6 ans que c'est mon cas.
Bon, dans la même idées j'ai une amies infographiste qui est devenue coordonatrice chez un imprimeur, ou un autre qui fais de la sérigraphie sur des t-shirts.

Ce que je veux dire c'est qu'il y a un nombre infinis de déboucher a ce métier qui diffère de la ligne directrisse. Nous traçons chacun le notre d'une manière différente avec nos force et faiblesse.

cordialement
edgit