Mille mercis ... quand on peut aider ...
Depuis le début des années 90, le métier de graphiste a considérablement évolué avec l'apport de l'informatique (une fortune à l'époque surtout pour un indépendant) enfin on pouvait faire soi-même l'intégration texte/image sans passer par des photocomposeuses et photograveurs, on pouvait penser à remiser son banc de repro, ses films et son Copyproof, à ranger son encireuse, ses grilles de montage maquette et ses crayons bleu actinique, son scotch rouge inactinique, pinceaux gouache et autres feutres de retouche ... Rançon de l'évolution, il fallut aussi se former à ces nouvelles techniques qui de plus et par la force des choses, fusionnaient plusieurs domaines d'activité... L'ordinateur est devenu l'outil incontournable et franchement, vu le temps gagné, je ne reviendrais pas en arrière. Encore que, ce faisant on a supprimé quelques étapes qui permettaient un contrôle supplémentaire de son travail.
À cette époque, les métiers étaient clairement identifiés : Graphiste, maquettiste, photograveur, claviste, photocomposeur et autre typographe. Concernant ce dernier et magnifique métier, je considère qu'on a tué la Typo, mais c'est une autre histoire....
Voilà, c'était ma petite réflexion matinale.
Heu... vous ne saisissez pas tous les termes ? Normal, je vous parle d'un temps que les moins de 30 ans ...