c'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'achète maintenant tout mon matos à la FNAC.
Un peu plus cher, certes, mais avec les 6 % rédux adhérents, on éponge un peu l'excédent.
Et puis je préfère payer 500 ou 800 F de plus mais pouvoir échanger en cas de pépin que me retrouver avec une machine à 800 F moins chère mais dont je dois attendre trois mois le retour SAV.
Voir à ce sujet mon post dans le thread intitulé "trackpad ibook", où je raconte mes échanges de caméra
On dira ce qu'on voudra, et je sais que les Apple user ont beaucoup gueulé contre la FNAC et ses ratés parfois pour présenter le Mac, mais en tous cas, la FNAC, elle, propose ce qu'Apple ne refuse d'offrir à ses clients : l'assurance d'échanger tout matos défectueux découvert à l'ouverture du carton (ou dans les 10 premiers jours).
Ah, et puis autre chose ....
Je suis tombée hier soir sur un article à l'url suivante :
http://www.bonasavoir.ch/script/bas.jj.dossier_semaine.surf.ViewDossier?id=16
dont voici un extrait (début du copier-coller)
«It's a Sony»
En Suisse, le service de réparation de Sony est assumé pour partie au siège de l'entreprise à Schlieren (ZH), pour partie par Felix Service SA à Nyon. A noter que les portables, eux, sont envoyés à l'étranger, en vertu du «très haut niveau de compétence requis», du moins selon Sony. Où se trouve donc le bug? Chez Sony à Zurich, Sabina Müller souligne que «70% des réparations sont effectuées dans les 6 jours ouvrables, pour autant que les pièces détachées soient disponibles. En cas de commande au stock central, 92% des 196'000 pièces de la marque sont livrées dans les 3-4 jours.»
Autre son de cloche, plus grinçant, chez Felix Service. Certes, Claude Patthey, le directeur, défend le soin apporté à la logistique des réparations: «Nous informons quotidiennement les vendeurs de l'état des réparations qui nous sont confiées. Un re-repair est systématiquement vérifié par un autre technicien, je suis toujours informé d'une troisième réparation et j'effectue souvent moi-même un test final de fonctionnement.»
Objectif: économiser
Mais le patron de la PME nyonnaise a le verbe acide quant à la stratégie développée par Sony depuis quelques années: «Comme Minolta avant elle, Sony ne confie plus ni schémas électroniques ni pièces détachées des appareils numériques aux réparateurs indépendants. Toutes les réparations de ce genre sont regroupées à Zurich, voire à l'étranger pour les portables. L'objectif est strictement économique: le niveau de compétence, nous l'avons! En réalité, on vend cher en Suisse, et on fait réparer bon marché à l'étrange. Tout ça crée des problèmes de logistique et des retards dont les consommateurs font les frais.»
Tout ça donne aussi l'impression morose que s'il y a bien des victimes, il n'y a ni négligence, ni malveillance. Juste des multinationales obsédées de rentabilité, aveuglées par les statistiques, auxquelles grands distributeurs et entreprises de réparation sont largement inféodés. Et des consommateurs censés faire preuve de compréhension envers les problèmes des uns et des autres, et dont le désarroi est un pourcentage négligeable en regard des «bons chiffres». Dans cette grisaille, une petite éclaircie: Reto Steffen a garanti à Susanna Hörtig qu'il prendrait en charge l'intégralité des frais de réparation de son Vaio.
(fin du copier-coller)
Cela ne vous rappelle-t'il pas quelque chose ?
Apple voulait être le Sony de l'informatique, eh bien sur ce point tout du moins, ils ont réussi : leur SAV est aussi merdique que leur concurrent