La machine à composer des slows d'amour

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Finn_Atlas

Membre vénérable
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11 Décembre 2002
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DTC Marketing
La machine à composer des slows d'amuuuuur :love:

Je viens de tomber sur l'une des compo de Lorna ! :eek: :D

Amok dans la muraille obèse.

Je dédie cette chanson à celui qui est le pistolet de mon armée.
A celui qui a des jambes de papillon, et une sensualité large...
C'est lui qui s'agrandit solitairement!
On le surnomme l'expérience translucide, mais son vrai prénom, c'est...
Amok.

Quand je t'ai rencontré, tu étais sautillant, dans un abandon.
Maternellement, je me suis dit : on dirait une société calme, qui explose.
Je t'ai demandé : pourquoi est-ce que tu dorts physiquement?
Tu m'as observée, avec le torse étourdi du trou indicible, et tu m'as dit :

(Refrain)



Parfois je rêve à ta démarche, lente et incalculable.
A tes oreilles de vipère, inversement républicaine.
Tes bras sont comme la brume nationale qui s'ennuie!
J'aime tes dents de chêvre, et ton nez verdâtre.

(Refrain)





Si un jour, tel un tigre épais, tu danses copieusement,
Souviens-toi, qu'un robinet acide baise l'alcool inconnu.
Tes poils de chauve-souris seront toujours les malentendus durs,
Et jamais je n'oublierai, tes genoux de crocodile, et ta croupe crépitante.
(bis)



EN BONUS : le kit karaoke est disponible en ligne !...
 
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Réactions: Modern__Thing
J'aime beaucoup la compo réalisée pour ma mie :D :love:


prerima devant une brouette.

Je dédie cette chanson à celle qui est l'échafaud de ma clairvoyance.
A celle qui a des yeux de baleine, et une beauté navrante...
C'est elle qui admire des anges magiques!
On la surnomme la crainte optimale, mais son vrai prénom, c'est...
prerima.

Quand je t'ai rencontrée, tu étais arctique, derrière les orgies aquatiques.
Individuellement, je me suis dit : on dirait une chambre rouge, qui pousse la dentelle méfiante.
Je t'ai demandé : pourquoi est-ce que tu me cherches consécutivement?
Tu m'as observé, avec la croupe éphémère de la grimace majuscule, et tu m'as dit :

(Refrain)
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!

Parfois je rêve à ta peau, mutante et indomptable.
A tes tétons de chacal, nommément vocal.
Tes fesses sont comme la vieillesse métallique qui s'emballe!
J'aime tes orteils de cigogne, et ton ventre multicolore.

(Refrain)
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!
Je m'appelle prerima et je crache sur un satin sur les prières tristes!

Si un jour, tel un dindon méfiant, tu consumes des diamants minuscules,
Souviens-toi, qu'un pissenlit pédale tendancieusement.
Tes poils de mouton seront toujours les carottes violettes,
Et jamais je n'oublierai, ta moustache de poulet, et ton dos vivant.
(bis)
 
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Réactions: anntraxh
On dirait du bébert ! :D
 
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Réactions: anntraxh
bientot ici meme

la chanson du psychologue,chez le psychalaniste
.
Ô cher docteur qui savez voir en nous
au lieu de vilenie,pauvre derangement
ne croyer pas qu'hélas je sois devenu fou
soyer envers le psy,quelque peu indulgent
.
ne voyer pas en moi malin derangement
ou bien qu'une substance derange mon esprit
ce delire modo ne durera qu'un temps
on me baillonnera,ça on me l'a promis
.
:D :D :D
:siffle:
:zen:


.
 
Modern__Thing a dit:
Ca se chante en solo à la guitare? :D :D :D :rateau:

:siffle:

Angie dans une glace.

Je dédie cette chanson à celle qui est le patin de ma carotte.
A celle qui a des nichons de sangliers, et un sexe méfiant...
C'est elle qui se tord finalement!
On la surnomme la lueur ultime, mais son vrai prénom, c'est...
Angie.

Quand je t'ai rencontrée, tu étais volante, sous des engrenages extravagants.
Convulsivement, je me suis dit : on dirait une crevette furieuse, qui mord.
Je t'ai demandé : pourquoi est-ce que tu te touches majestueusement?
Tu m'as observé, avec la sensualité usée du bâton lunaire, et tu m'as dit :

(Refrain)
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!

Parfois je rêve à ta chevelure, mauvaise et vivante.
A tes narines de mouton, systématiquement colossal.
Ta bouche est comme la déchéance sifflante qui abandonne des structures!
J'aime tes doigts de canard, et ta tronche adhésive.

(Refrain)
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!

Si un jour, tel un moustique lamentable, tu décourages le territoire,
Souviens-toi, qu'une lande avide se caresse.
Tes bras de requin seront toujours des girafes royales,
Et jamais je n'oublierai, ta peau de tigresse, et ton souffle ténébreux.
(bis)


Heu... c'est qui le loup sidéral?... :mad: Amok... viens voir par là... :D :D
 
WebOliver a dit:
Je m'appelle Angie et je transforme le loup sidéral sur les imbéciles virtuels!

WebOliver a dit:
Heu... c'est qui le loup sidéral?... :mad: Amok... viens voir par là... :D :D

Si j'ai bien tout compris le loup sidéral :heu: ça pourrait être Amok et alors il fait du rodéo sur les imbéciles virtuels ça pourrait être un critique qu'il ne semble avoir croisé très brièvement sur MacG :mouais: Webo ! Attention ça se complique ! :D
 
TheBig sur un cactus.

Je dédie cette chanson à celui qui est le radeau de ma planche.
A celui qui a des épaules de chat, et une peau ivre...
C'est lui qui bégaye, sur les innocences arides!
On le surnomme le château sphérique, mais son vrai prénom, c'est...
TheBig.

Quand je t'ai rencontré, tu étais puissant, derrière les chants.
Facultativement, je me suis dit : on dirait une nature véritable, qui mouille.
Je t'ai demandé : pourquoi est-ce que tu désarmes des tournesols jaillissants?
Tu m'as observé, avec la croupe implacable de la rivière interdite, et tu m'as dit :

(Refrain)
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!

Parfois je pense à ton profil, froid et bleuâtre.
A tes instincts d'hamster, rarement abstrait.
Tes yeux sont comme la dissonance délirante qui plaît aux soleils forts!
J'aime tes poils de marmotte, et ton profil pictural.

(Refrain)
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!
Je m'appelle theBig et je t'ébranle dans un déchet convaincant!

Si un jour, tel un ragondin téméraire, tu disparais douteusement,
Souviens-toi, que le parquet théâtral excite des érotismes frontals.
Tes jambes de grenouille seront toujours des rideaux africains,
Et jamais je n'oublierai, tes épaules de dindon, et ta bouche ténébreuse.
(bis)

La chanson de TheBig :D écrite par une de ses fans :D
 
Oli sur des poudres oisives.

Je dédie cette chanson à celui qui est le maître de ma pensée.
A celui qui a, des pieds de corbeau, et un sourire colossal...
C'est lui qui se sauve, sur des maquillages insignifiants!
On le surnomme la vieillesse bleuâtre, mais son vrai prénom, c'est...
Oli.

Quand je t'ai rencontré, tu étais pointu, dans des péchés fatals.
Généralement, je me suis dit : on dirait le gouvernail horizontal, qui bourgeonne.
Je t'ai demandé : pourquoi est-ce que tu condamnes les plafonds changeants?
Tu m'as observée, avec le torse sublime du chien milliardaire, et tu m'as dit :

(Refrain)
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!

Parfois je rêve à ta chevelure, navrante et implacable.
A tes dents de gnou, vénalement dominateur.
Ton sourire est comme le collier génital qui console le pantalon aride!
J'aime tes yeux de sangliers, et ta démarche indécise.

(Refrain)
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!
Je m'appelle Oli et j'enlace une dérive dans des comètes brumeuses!

Si un jour, tel un chien sinueux, tu étrangles des lunes célestes,
Souviens-toi, qu'une vache alimente un baiser morbide.
Tes cuisses de grenouille seront toujours les substances chaudes,
Et jamais je n'oublierai, tes hanches de chameau, et ta bite ivre.
(bis)
 
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