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Message: <blockquote data-quote="macomaniac" data-source="post: 13005426" data-attributes="member: 1060554"><img src="http://files.macg.co/forums/xenforo/smilies/coucou.gif"  class="smilie" loading="lazy" alt=":coucou:" title="Coucou    :coucou:" data-shortname=":coucou:" /> JeanManifestement papadben évoque les tableaux (affichés au message #3) que lui ont respectivement retournés dans le «Terminal» la commande df -h et la commande diskutil listet pour lesquels il manque de clés d'interprétation. --------------------Si je puis me permettre quelque gloses matinales :- 1° la commande df appelle un utilitaire UNIX du même nom (abréviation de display_free space : afficher l'espace libre). Ce qu'elle révèle en résumé, c'est que : - 1a) le volume du clone (DDE) est plein à 99% => le pronostic qu'on peut en tirer, c'est que le disque de 500 Go environ du DDE réparti en un volume dédié à TimeMachine (300 Go) et un volume dédié au clone (200 Go) va très vite s'avérer trop étroit, étant donné que le volume de l'OS sur le disque changé du Mac a été étendu à 999 Go. La croissance des données dans ce volume imposant risque d'excéder très vite la capacité du volume d'accueil du clone, comme celle des sauvegardes TimeMachine qui fonctionnent en s'additionnant dans le volume dédié. Il serait avisé d'effacer entièrement le disque du DDE, d'exporter un seul volume de 500 Go et de le dédier au clone. Et d'acheter une nouveau DDE, d'1 To ou plus, pour consacrer son volume unique exporté aux sauvegardes TimeMachines qui prennent beaucoup de place. - 1b) le volume du disque interne (HDD) n'était rempli que de 1%. Autant dire qu'il était vide de données (aussi bien Système que personnelles). Ce dont Jean a immédiatement déduit qu'aucun Système n'était installé sur le volume du disque interne neuf du Mac et que c'était la raison pour laquelle un ? s'affichait (signifiant : aucun Système démarrable trouvé) lorsque le Mac était démarré en l'absence du DDE supportant le Système démarrable du clone. La préconisation de rétro-cloner par «CCC» le clone du DDE sur le volume d'accueil vierge du HDD du Mac, afin d'y copier un Système démarrable flanqué des données d'utilisateur,  coulait donc d'eau claire (de source (de montagne))... -------------------- - 2° la commande diskutil appelle un utilitaire UNIX éponyme (abréviation de disk_utility : utilitaire de disque => le moteur utilisé par le logiciel graphique «Utilitaire de Disque»). Lorsqu'elle est flanquée du verbe list ("lister"), elle retourne l'affichage du tableau des disques actuellement attachés au Mac (en interne comme en externe), avec le sous-affichage de leurs partitions, détaillées selon le quaternaire : [TYPE][NOM][TAILLE][IDENTIFIANT] - 2a) [TYPE] = le format du système de fichiers contenu dans la partition. Apple_HFS = "Mac OS étendu (journalisé)", le grand classique d'Apple. - 2b) [NOM]= l'intitulé du volume monté de la partition. Il s'avérait que le nom du volume de 999 Go du nouveau disque du Mac était Sans titre et le nom du volume du clone Sans titre 2 (ce qui n'est pas très parlant => d'où la recommandation de Jean d'avoir à renommer Sans titre en Macintosh HD). Un autre enseignement est qu'il manque un Sans titre 1 (les intitulés identiques étant listés à la suite, avec ajout de 1, 2 3... pour les différencier) => un simple effort de logique permet d'induire qu'un disque externe était connecté au départ au Mac (genre : une clé USB), avec un volume encore intitulé Sans titre, ce qui fait que le kernel (noyau opérateur) du clone avait chargé cet état des lieux du partitionnement ; mais que ce disque avait été détaché entre temps du Mac, ce qui fait que la commande diskutil list retournait un listage avec une case vide (celle du volume Sans titre 1). - 2c) [TAILLE] On sait directement que le volume de la sauvegarde TimeMachine fait 300 Go (environ), celui du  clone 200 Go et le volume du disque du Mac 999 Go. - 2d) [IDENTIFIANT] C'est le seul paramètre un tantinet "ésotérique" : par convention, dev (abrégé de devices) = la classe générale des supports d'écriture ; disk= l'ensemble global d'un disque attaché au Mac ; s = le secteur local d'une partition. Des chiffres associés permettent de cataloguer dans l'ordre qui est qui. Ainsi, disk0 est toujours le disque interne du Mac (le premier disque dans l'ordre du listage). s1 est toujours la première partition du disque de référence, s2 la deuxième etc. On en déduit que l'identifiant : /dev/disk0s2 (par exemple) désigne, dans la classe des devices (supports d'écriture), le disque n°0 (= le disque interne du Mac ou premier disque) et le secteur s2 (= la partition n°2 de ce disque interne du Mac => celle qui correspond au volume de 999 Go). => une conséquence limpide du tableau du DDE (/dev/disk2) est l'absence d'une partition de récupération «Recovery HD» (signe clair que le clonage n'avait pas été fait par «Carbon Copy Cloner», mais par exemple par «SuperDuper !»). Un simple effort de logique en déduit que le rétro-clonage par «CCC» du clone au volume de 999 Go du disque interne du Mac (renommé Macintosh HD) n'aura nullement recréé de partition de récupération «Recovery HD» qui devrait être listée comme Apple_Boot Recovery HD /dev/disk0s3 si elle existait... --------------------</blockquote>