Je suis las de cette hypocrisie générale qui consiste à crier au loup dès qu'un brave internaute candide se demande où se procurer de la musique gratuite sur internet....
Pourquoi tant de monde en voulant dire "droits d'auteurs" pense "rétributions des auteurs" et au lieu d'y voir une distinction n'y cherche qu'un privilège ?
Je vous renvoie à ce petit article de Libération du jour ici et là sur la légalité de Kaza aux Pays-Bas
ainsi qu'à ce plaidoyer du jazzman Steve Coleman pour la liberté d'échange (de fichiers musicaux ou d'idées).
Deux petites gouttes d'eau dans l'immensité lénifiante....
Oui l'échange gratuit de morceaux de musique est une nuisance, non pas pour les auteurs ou créateurs qui sont la source des formes nouvelles mais pour l'industrie qui les instrumentalise pour en faire des producteurs de biens d'échange.Dans le règne animal cela se nomme parasitisme.
La vérité est que la société n'est jamais assez reconnaissante vis à vis des artistes, mais par acquis de conscience elle gâte les ayants-droit plus que de raison pour se racheter...le syndrôme Ravel.
C'est par la diffusion (radio télé internet...) que l'on engendre le désir de nouveauté, de changement et finalement de consommation ( et ceci directement ou indirectement comme par la répétition et l'ennui). D'ailleurs il ne faudra pas longtemps aux acteurs principaux de cette industrie pour comprendre combien ce tissu d'échange est une poule aux oeufs d'or : la suite ne sera qu'une lutte de captation.
Alors de grâce, laissons tomber ce manichéisme normalisateur...
Pourquoi tant de monde en voulant dire "droits d'auteurs" pense "rétributions des auteurs" et au lieu d'y voir une distinction n'y cherche qu'un privilège ?
Je vous renvoie à ce petit article de Libération du jour ici et là sur la légalité de Kaza aux Pays-Bas
ainsi qu'à ce plaidoyer du jazzman Steve Coleman pour la liberté d'échange (de fichiers musicaux ou d'idées).
Deux petites gouttes d'eau dans l'immensité lénifiante....
Oui l'échange gratuit de morceaux de musique est une nuisance, non pas pour les auteurs ou créateurs qui sont la source des formes nouvelles mais pour l'industrie qui les instrumentalise pour en faire des producteurs de biens d'échange.Dans le règne animal cela se nomme parasitisme.
La vérité est que la société n'est jamais assez reconnaissante vis à vis des artistes, mais par acquis de conscience elle gâte les ayants-droit plus que de raison pour se racheter...le syndrôme Ravel.
C'est par la diffusion (radio télé internet...) que l'on engendre le désir de nouveauté, de changement et finalement de consommation ( et ceci directement ou indirectement comme par la répétition et l'ennui). D'ailleurs il ne faudra pas longtemps aux acteurs principaux de cette industrie pour comprendre combien ce tissu d'échange est une poule aux oeufs d'or : la suite ne sera qu'une lutte de captation.
Alors de grâce, laissons tomber ce manichéisme normalisateur...