Mac lent après le démarrage

Hedi2

Membre confirmé
17 Novembre 2010
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Bonjour,

je ne pense pas être le seul dans mon cas : lorsque j'allume mon ordinateur, après avoir tapé le mot de passe, donc sur le bureau, il est assez lent pour lancer les logiciels. Par exemple, si je clique sur Chrome il peut sautiller 6 ou 7 fois (parfois plus) avant de se lancer. Pas vraiment comme quand je l'ai acheté il y a un mois.

Que faire pour y remédier ? Je précise que lors du démarrage, il n'y a que très peu d'apps qui s'ouvrent puisque 1password (dans la barre du haut) est là, et Adobe CC.

Merci !
 
Autant pour moi :zen:
Il serait important que tu précises de quel ordinateur tu parles, et quelle version de système tu utilises (rien dans ton profil). Par ailleurs, quand on constate un ralentissement important, il faut toujours se méfier d'un problème matériel (un disque dur, même récent, peut lâcher) et prendre la précaution de sauvegarder les données auxquelles on tient sur un disque externe.
 
Au temps pour toi ! ;)


Que faire pour y remédier ? Je précise que lors du démarrage, il n'y a que très peu d'apps qui s'ouvrent puisque 1password (dans la barre du haut) est là, et Adobe CC.
Je supprimerais le lancement d'Adobe CC à l'ouverture de ma session
(avec un clic droit sur son icône dans le Dock pour modifier l'Option, ou via les Préf Système d'Ouverture de mon compte).
 
Merci,

pour info il s'agit d'un MacBook Pro (non-retina) mi-2012. Je l'ai acheté le mois dernier. J'ai enlevé Adobe CC, c'est un peu mieux mais toujours pas top :nailbiting: je vais jeter un coup d'oeil aux logiciels que j'ai installé dernièrement...
 
[Que Hedi me pardonne de souder à la droiture de son fil le petit ringard latéral d'une considération linguistique appelée par deux incidentes de la conversation :D. Perte de temps, qui ne fait qu'accroître celle déjà conséquente qu'il déplore au lancement de ses applications? Pas tant que cela, me défendrais-je, nonobstant prêt, s'il m'enjoignait de revenir en musique de quelque péremptoire : «Au temps! Au temps! », à obtempérer en signe de contrition d'un : «AUTANT pour moi» où se devrait lire (à défaut de s'entendre dire) mon appartenance à l'École ('Républicaine') de ceux qui jamais ne se plièrent à la Discipline ('Militaire') de l'«AU TEMPS pour moi»... En quoi je n'ai pas tardé à me loger au cœur du débat.]

Autant pour moi

Au temps pour toi !

J'ai toujours écrit : «Autant pour moi», d'après l'enseignement de mes instituteurs, avec la certitude (qu'aucun doute n'entamait) qu'ainsi rédigée l'expression était conforme au sens de Contrition Morale que j'avais à l'esprit. Et s'il m'arrivait de lire quelque «Au temps pour moi», je l'interprétais comme quelque graphie erronée de personnes pour qui l'expression avait été acquise de la langue orale, et non sur les bancs de l'École, en leur prêtant une confusion de 'temps', en quelque sorte.

Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir sur un forum d'un lieu mal famé de «MacGénération» :)D), sous la plume du docte Cratès (que je salue :coucou:) ce bref commentaire d'un repentir d'ergu (que je salue également :coucou:) :

ergu a dit:
Alors, autant pour moi […]

Au temps pour moi - bordel de murde !!!!
Des gens très instruits défendent la graphie « autant pour moi », pour des raisons aussi bien triviales (elle est depuis longtemps d'usage courant) que savantes (son étymologie est au moins aussi crédible que celle — très hypothétique — proposée par l'Académie pour justifier la graphie « au temps »).

qui a confronté mes certitudes d'école élémentaire au décret d'une instance supérieure : rien moins que l'Académie Française, laquelle, dans son Dictionnaire de la Langue Française, légifère que la forme : «Au temps pour moi!» serait l'acception originelle, et donc seule légitime, en dégradant la forme : «Autant pour moi!» au statut de version populaire et erronée de l'expression savante.

Rien moins qu'un renversement complet de point-de-vue, congédiant mes certitudes scolaires à ne relever que de l'École_de_la_Rue. Évidemment mes maîtres étaient fils du Peuple, mais ne voilà-t-il pas qu'une Aristocratie de la Langue les soupçonnait carrément d'être issus du Ruisseau, à m'avoir enseigné cet : «Autant pour moi!» où se devait lire l'erreur acoustique d'oreilles vulgaires dans le canal desquelles le 'Temps' revient toujours au comp_'Tant' de la paye.

À en croire donc cette savante 'Académie', tel sous-fifre d'une troupe militaire musicale qui perdait le tempo du groupe se serait fait réprimander par le porteur de baguette d'un : «Au temps! Au temps - pour le joueur de flûte!» (par exemple), à quoi l'incriminé eût répondu en signe d'obtempération : «Au temps pour moi!». 'Autant' :)D) dire que cet «Au temps!» n'aurait donc jamais signifié qu'un aveu de soumission d'une individualité égarée hors du tempo du groupe, acceptant de rentrer dans le rang et de suivre la musique en se proclamant derechef ajusté 'Au temps' collectif par simple esprit d'obéissance à la discipline(«Aye aye Sir!»). Ainsi, au cas où Hedi s'écrierait : «Au temps! Au temps - pour macomaniac!» au vu de mes égarements intempestifs qui ne suivent pas le Tempo collectif du fil qu'il supervise, il me faudrait, Académiquement parlant, signaler mon retour à l'obéissance par un claironnnant : «Au temps pour moi!».

Eh bien! N'en déplaise aux Voltaire de la Langue Française, je m'en tiendrai, le nez dans le ruisseau, à l'École de Rousseau :

«Conscience! Instinct divin! Immortelle et céleste voix...»​

Car dans la forme prétendue populaire de l'«Autant pour moi», c'est bien de morale qu'il s'agit, et de contrition de conscience, et pas bêtement d'ordre social, et d'obéissance stupide et bornée.

En effet, moi qui me posais en donneur de leçon, càd. en juge d'autrui, ne voilà-t-il pas que ma conviction d'avoir raison, qui me faisait instaurer mon opinion en 'règle universelle', se trouve ébranlée par une donnée critique (fait ou parole) qui me conduit à remettre en question la validité de ma position? Si bien que la faute que j'imputais à autrui, j'en viens à me l'imputer à moi-même, par une auto-critique morale qui me fait charger ma conscience d'un quantum de responsabilité égal à celui dont j'étais tout disposé à charger l'autre. «Autant pour moi! - de faute, donc, que j'avais commencé d'en imputer à l'autre, et dont maintenant je déclare m'infliger réciproquement la charge.

La dignité plus haute de la responsabilité morale sur l'obéissance sociale - voilà, après cette courte étude de cas, qui m'ancre à continuer d'encrer mes scriptions de l'«Autant pour moi!» où s'avère, quand bien même plus proche du ruisseau que des cimaises académiques, la supériorité du Peuple sur la Troupe, et de l'esprit de réciprocité sur celui de discipline.

[Je goûte l'humour de François :)coucou:) reliant l'aveu de contrition de boninmi :)coucou:) : «Autant pour moi!» à une lacune de mise-à-jour de sa lecture d'un fil : «Au temps pour toi!»...]
 
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