La lumière du soleil mord maintenant de plus en plus le volet métallique protégeant la salle du soleil lumineux,trop lumineux.
Les draps de mon lit ne sont qu'anarchie et désordre total,comme ci un combat nocture avait eu lieu...(Est-ce le cas ? Et si c'est bien ça,d'où vient ce foulard posé sur le second coussin à coté de moi ?).
Luttant contre la pesenteur du matin (qui est,c'est bien connu,beaucoup plus forte que l'après-midi.),ma main saisie la télécommande transparente du Imac et appuie instinctivement sur PLAY. Les enceintes chuchotent AIR,l'album Premiers Symptomes et ma tête,mes idées,mes pensées,encore trop allourdis par un rêve bien trop vrai ne peuvent se heurter à quelqconque réflexion sur le titre exact du morceau.
Sexe,sensualité,besoin de tout ce qui est vraiment beau,et donc en même temps,de pas grand chose au final,mon cerveau fonctionnait sur un mode de survie minimum.
Donner le meilleur de soi,c'est aussi probablement perdre ce que l'on a de moins bon.
Mais alors pourquoi suis-je là,éparpillé comme un paqué de dragés d'un lendemain de mariage trop arrosé,sur ce matelas ? Quel raison fait que tout le monde trouve cela normal de se lever le matin alors que je n'en ai aucune envie concrête.
Ce besoin constant de tout contrôler est-il si indispensable ?
Je n'ose imaginer un monde,du haut de mon épéda multispires,ou tout le monde se laisserait aller à tout (sans jamais biensure,oublier le respect,ou l'étique).Comme un pseudo-rêve utopique,totalement obscure mais juste assez illuminé tout de même,pour y voir à peu près clair.
Le modernisme est-il en train de foutre en l'air le monde.
Qu'est-ce qui est vrai ? Pourquoi la vérité est-elle cette arme mortelle dont personne ne veut entendre parler.
Mourir de soif en pleine mer.Pourquoi mettre tant de sel dans la vérité,quel ne soit même plus bonne-à assouvir la soif.
Nietzsche.
De se laisser aller matinal, j'en tire presque une façon de vivre.
Un fort désire de tout laisser glisser tant en calculant juste ce qui est bon,et quand il faut le faire.
Personne,au fond,sait ce qu'est une personne.
Alors pourquoi continuer toute cette comédie imaginaire ? Pourquoi ne pas revenir à un vie simple...NATURELLE.
Car si je prend toutes les pulsions qui me hantent chaque jour,chaque nuit, je me dis quel ne correspond pas à la société,du moins,elles sont trop claires et nettes pour pouvoir être possible sans les faire dans le plus profond secret.
Si tu es naturel dans tes pensées,et tes pulsions,dit toi que pour être correct en société, fait exactement l'inverse de se que tu as envie de faire.
A force de vouloir être aussi net qu'un enregistrement Nagra, la bande finit par foutre le camp.
Certains aiment respirer le Napalm au petit matin, moi je préfére respirer l'air libre (éventuellement accompagné d'un parfum de femme.)
Encore une matinée complexe,en osmose parfaite avec la décadence.
La sombre volupté du "doux ne rien faire",dont au moins 60 % de ce monde à oublier le sens précis,l'esprit rongé par la psyché collective nationale, celle qui à oublier les années 60...La ou l'on pouvait allumer des éteincelles partout,et que,quoi que l'on faisait,on avait juste l'impression que l'on était en train de gagner.
Mais je réfléchie encore trop...
Après tout,faudrait que je me lève.
Promis,
Demain,
J'arrête.
Les draps de mon lit ne sont qu'anarchie et désordre total,comme ci un combat nocture avait eu lieu...(Est-ce le cas ? Et si c'est bien ça,d'où vient ce foulard posé sur le second coussin à coté de moi ?).
Luttant contre la pesenteur du matin (qui est,c'est bien connu,beaucoup plus forte que l'après-midi.),ma main saisie la télécommande transparente du Imac et appuie instinctivement sur PLAY. Les enceintes chuchotent AIR,l'album Premiers Symptomes et ma tête,mes idées,mes pensées,encore trop allourdis par un rêve bien trop vrai ne peuvent se heurter à quelqconque réflexion sur le titre exact du morceau.
Sexe,sensualité,besoin de tout ce qui est vraiment beau,et donc en même temps,de pas grand chose au final,mon cerveau fonctionnait sur un mode de survie minimum.
Donner le meilleur de soi,c'est aussi probablement perdre ce que l'on a de moins bon.
Mais alors pourquoi suis-je là,éparpillé comme un paqué de dragés d'un lendemain de mariage trop arrosé,sur ce matelas ? Quel raison fait que tout le monde trouve cela normal de se lever le matin alors que je n'en ai aucune envie concrête.
Ce besoin constant de tout contrôler est-il si indispensable ?
Je n'ose imaginer un monde,du haut de mon épéda multispires,ou tout le monde se laisserait aller à tout (sans jamais biensure,oublier le respect,ou l'étique).Comme un pseudo-rêve utopique,totalement obscure mais juste assez illuminé tout de même,pour y voir à peu près clair.
Le modernisme est-il en train de foutre en l'air le monde.
Qu'est-ce qui est vrai ? Pourquoi la vérité est-elle cette arme mortelle dont personne ne veut entendre parler.
Mourir de soif en pleine mer.Pourquoi mettre tant de sel dans la vérité,quel ne soit même plus bonne-à assouvir la soif.
Nietzsche.
De se laisser aller matinal, j'en tire presque une façon de vivre.
Un fort désire de tout laisser glisser tant en calculant juste ce qui est bon,et quand il faut le faire.
Personne,au fond,sait ce qu'est une personne.
Alors pourquoi continuer toute cette comédie imaginaire ? Pourquoi ne pas revenir à un vie simple...NATURELLE.
Car si je prend toutes les pulsions qui me hantent chaque jour,chaque nuit, je me dis quel ne correspond pas à la société,du moins,elles sont trop claires et nettes pour pouvoir être possible sans les faire dans le plus profond secret.
Si tu es naturel dans tes pensées,et tes pulsions,dit toi que pour être correct en société, fait exactement l'inverse de se que tu as envie de faire.
A force de vouloir être aussi net qu'un enregistrement Nagra, la bande finit par foutre le camp.
Certains aiment respirer le Napalm au petit matin, moi je préfére respirer l'air libre (éventuellement accompagné d'un parfum de femme.)
Encore une matinée complexe,en osmose parfaite avec la décadence.
La sombre volupté du "doux ne rien faire",dont au moins 60 % de ce monde à oublier le sens précis,l'esprit rongé par la psyché collective nationale, celle qui à oublier les années 60...La ou l'on pouvait allumer des éteincelles partout,et que,quoi que l'on faisait,on avait juste l'impression que l'on était en train de gagner.
Mais je réfléchie encore trop...
Après tout,faudrait que je me lève.
Promis,
Demain,
J'arrête.