me remettre au piano

alors il faut commencer la flûte à bec :D:D:D

Non, le melodica :

Melodica1w02.jpg
 
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Réactions: thescreaminghand
Comme je te l'ai déjà dit, personnellement je suis content du Yamanha NP-30. C'est un clavier 76 touches, ce qui amplement suffisant tant qu'on ne joue pas du Liszt, à 300 €. Sinon, pour environ 600 €, tu as le Yamaha P-70 avec les 88 touches règlementaires et le toucher lourd.
 
de plus pour completer le poste de Pan ne pas hésiter à regarder du coté du marché des clavier d'occasion :up: les machines récentes sont très fiables

je pense notamment aux claviers Yamaha réputés pour leur toucher lourd type GH Hammer, genre p80 ou en général la série des P.

surtout si tu viens d'un apprentissage classique de la musique au piano, la qualité du clavier est primordiale :up:
 
Pur le moment LE NP 30 semble le plus intéressant. L'objectif est vraiment de voir si j'accroche. Si c'est le cas, j'envisagerai de mettre entre 1000 et 1500 euros.

Je vais essayer de trouver un NP 30 d'occas .

Merci pour vos conseils
 
Salut,
tout dépend de ce que tu entends par "faire de la musique":
si tu désires interpréter des auteurs classiques ou de jazz (même comme débutant car on ne le reste pas) il est indispensable de posséder un piano présentant 88 notes.
si tu désires créer de la musique dite "électronique" un synthétiseur me semble plus adapté.
Si tu désires interpréter des auteurs classique ou de Jazz et que tu veux aussi composer ou arranger alors un piano numérique est indispensable. La norme midi te permettant d'avoir une transcription automatique de ce que tu joues en partition (Faculté absolument remarquable !!)
Voilà une première base de réflexion.
Ensuite viennent les soucis de sonorité, de toucher et d'ambiance.
Avec le même raisonnement que précédemment l'interprétation des auteurs classiques ou de Jazz, voir même de certaines variétés nécessitent des touchers dits lourds. Pourquoi "lourds" ? Parce qu'ils permettent des finisses d'expression qui ne peuvent être réalisés avec un toucher léger. En fait "lourd" veut dire résistant. Si la touche n'oppose pas de contrainte il est quasi impossible de développer des nuances.
Dans le cadre des musiques dites électroniques ce besoin est moindre car l'ensemble des sons sont retouchés sur l'ordinateur.
Ainsi la gamme des nuances que propose un piano mécanique est plus important qu'un piano numérique notamment par l'existance effectivement des cordes dont les interations sont complexes et toujours différentes. Cependant pour une oreille néophyte ces nuances sont très difficiles à mettre en évidence et la performance de reproduction des sons d'un piano mécanique par les pianos numériques excellente.
Mais voilà leur coût et leur volume ne sont pas les même.
Un piano numérique coute en règle général moins cher qu'un piano mécanique. C'est comme tout : le coût est souvent proportionnel à la qualité. Il faut compter entre 600 et 1000 euros pour obtenir un piano numérique correct (d'occasion ou neuf).
Tu as plusieurs types de piano numériques :
les "portables" qui offrent un faible encombrement mais qui sont moins esthétiques
les "meubles" qui ressemblent à des piano mécaniques, plus larges, plus beaux mais lourds et peu transportables.

La location d'un piano est fréquemment de 40 euros/mois.

Personnellement je te conseillerai un Yamaha p 70 noir qui est un bon compromis. Il coûte entre 600 et 700 euros. Il te permettra de débuter dans de bonnes conditions. Tu pourras t'amuser à composer si tu le désires. Et le jour où tu désireras évoluer vers un piano mécanique ou même vers un piano numérique plus performant il sera toujours temps de le revendre.
 
si tu désires interpréter des auteurs classiques ou de jazz (même comme débutant car on ne le reste pas) il est indispensable de posséder un piano présentant 88 notes.

Je ne vois pas pourquoi.:nailbiting:
 
Je ne vois pas pourquoi.:nailbiting:

Parce que la quasi totalité de ces oeuvres ont été écrites sur des claviers à 88 notes.
Il peut arriver que dans certaines compositions la totalité de l'étendu du piano ne soit pas utilisé, surtout lorsque l'on débute, mais rapidement c'est tout le piano qui est utilisé. Alors, en utilisant un piano de moins de 88 touches il y a un risque de limitation et donc de frustration terrible...
 
Et aussi parce que tant qu'a s'acheter un piano, aussi bien dépenser les quelques miettes supplémentaires qui suffisent pour obtenir le 88 touches!

J'ai personnellement un yamaha p60 que j'adore. Il n'est pas très cher (il m'a coûté 1000 $ canadien... donc en euro je ne sais pas, le $ canadien vaut 1,05 US) il a des prises midi et je m'en sert donc comme clavier pour tout ce que j'ai faire en midi. Également le son du piano lui-même (sans passer par le midi) est tout à fait correct, en fait on gagne en richesse à le brancher sur de bons haut-parleurs, ceux intégrés étant évidemment limités) et la touche est tout à fait convenable.

J,ai aussi essayé un p-70, qui est pareil au p-60 mais qui vient avec le meuble intégré, alors que p-60 nécessite un support.
 
Parce que la quasi totalité de ces oeuvres ont été écrites sur des claviers à 88 notes.
Faux. Jusqu'à la période romantique, la plupart des œuvres ne nécessitent pas les 88 touches. Et à partir des Beethoven, Chopin, etc., elles sont nettement plus cotons à jouer. Donc un clavier 76 touches ne me semble pas un investissement si idiot que ça.

Et aussi parce que tant qu'a s'acheter un piano, aussi bien dépenser les quelques miettes supplémentaires qui suffisent pour obtenir le 88 touches!
Euh, les miettes c'est quand même du simple au double... :siffle:
 
aargh, ça frise mes oreilles quand je lis la musique comme un "entraînement"... et venant d'un prof de musique :mad:

désolé je n'ai pas pu ne pas réagir !

Franchement, c'est de la polémique un peu facile. :rolleyes: Tu prends une phrase comme ça, et tu la sors de son contexte...

Bien sûr que la musique ne se résume pas à un entraînement.
Mais ce n'est pas magique non plus, pour savoir bien jouer, il y a une part purement technique, qui implique donc un "entraînement". Pas forcément des exercices barbants, mais le simple fait de jouer plusieurs fois son morceau peut être défini comme un entraînement, non ?
Il ne suffit pas de lever les yeux au ciel d'un air inspiré, pour que les doigts répondent. :rolleyes:

Toute la difficulté étant ensuite de ne pas déconnecter le travail purement technique de la partie réellement artistique de la musique, qui doit être le seul but au final. Bref, ne pas perdre de vue l'émotion première à force de travail. Mais ça aussi, ça s'apprend avec... de l'entraînement. :p
 
Toute la difficulté étant ensuite de ne pas déconnecter le travail purement technique de la partie réellement artistique de la musique, qui doit être le seul but au final. Bref, ne pas perdre de vue l'émotion première à force de travail. Mais ça aussi, ça s'apprend avec... de l'entraînement. :p

Tout à fait d'accord avec toi, car comme pour tout exercice faisant appel au cerveau, au début on ne peut pas apprécier ce que l'on exécute, cela ne vient qu'avec l'exercice :cool:
 
Moi perso, j'ai jamais pris mes exercices comme des exercices. Enfin au piano en tout cas.
Mais comme un moyen incontournable de me faire progresser en technique, souplesse, rapidité, fluidité et encore d'autres mots en "té".:)
Le hannon par exemple pour ne pas le citer,est, je le comprends, très très pénible quand il n'est pas bien amener par un prof à son élève ou pas bien interpréter par un élève, mais qu'est ce que c'est utile quand même. Enfin je trouve.
En plus pour le hannon, pas besoin de 88 touches pour beaucoup d'exercices :up:
 
il faut bien sûr que tout ces exercices ne soient pas faits sous la pression, le plaisir de l'oreille doit être la priorité pour se remettre au piano.

une bonne méthode, à mes yeux, les deux, étant de reprendre des grilles d'accords de grateu d'un artiste que l'on apprécie et de jouer ainsi les harmonies notées. cela permettra de se donner du coeur à l'ouvrage car les résultats sont rapides et ça plaît, en général, plus que des pièces classiques, bref, mieux paraître en société..... :D
 
il faut bien sûr que tout ces exercices ne soient pas faits sous la pression, le plaisir de l'oreille doit être la priorité pour se remettre au piano.

une bonne méthode, à mes yeux, les deux, étant de reprendre des grilles d'accords de grateu d'un artiste que l'on apprécie et de jouer ainsi les harmonies notées. cela permettra de se donner du coeur à l'ouvrage car les résultats sont rapides et ça plaît, en général, plus que des pièces classiques, bref, mieux paraître en société..... :D

oui c'est sûr que si on joue du mozart on est pas très estimé :p
mais je trouve que la seule solution pour progresser aussi bien en variété que le reste, est de travailler du classique :)