Modification de police dans un document de provenance PC

fabienne01

Membre enregistré
27 Août 2012
7
0
62
Bonjour

Lors de la réception d'un document provenance pc la police du texte est modifiée et certains mots disparaissent
merci

OS X MOUNTAIN LION
 
Quel est le type de document ? avec quel logiciel a-t-il été créé ? avec quel logiciel l'ouvres-tu ? quelle est la police originale (celle qui est "modifiée") ? quelles sont les caractéristiques des mots qui disparaissent ?

Lorsqu'on ouvre sur une machine un document contenant du texte écrit avec une police qui n'est pas installée, il s'opère une substitution par une police que l'application (ou le système) considère comme équivalente ou, à défaut, proche. Cela n'est pas toujours suffisant. Les solutions peuvent consister à installer la police manquante (quand c'est possible) ou à affecter au texte une police mieux adaptée, par exemple.
 
+1
et quand une police est mal faite ( et helas il y en a beaucoup)

quand elle est lue par une machine qui ne l' a pas ( ou ne la reconnait pas)
la typo est changée et..... certains caracteres deviennent ... des espaces ( ou des carrés vides)
 
Et en réalité, le problème serait exactement le même en passant ce document sur un PC où la police n'est pas installée.

Si on parle de Word, il est possible d'inclure dans le document les caractères de la police utilisés dans le document, ce qui permet la portabilité sur des machines n'ayant pas cette police "exotique". Cela augmente très sensiblement la taille du document.
FontEmbeddingWord2k.JPG.jpg
 
MERCI

de word à word pas de souci niveau logiciel
certainement police, je cherche police de base

merci

---------- Nouveau message ajouté à 16h37 ---------- Le message précédent a été envoyé à 16h33 ----------

Lors d'un transfert de document provenance pc modification de la police sur mon imac, mises à jour ok.
 
Dernière édition par un modérateur:
Lors d'un transfert de document provenance pc modification de la police sur mon imac, mises à jour ok.
Faut-il comprendre que, après application des instructions données par edd72, le problème est résolu ?
De quelle police était-il question, alors, pour finir ?
 
(des phrases contiennent des verbes).
pour l'instant
mas bientôt peut etre même plus
la contagion de com hashtaggueuse,la com rapide et prétendument "efficace"

(d'ailleurs SANS le faire expres je viens de pondre sans verbe)
:eek:
et je recois de plus en plus de "rapports" très pauvrement rédigés.
C'est parfois attérant; ca promet des jours aux flous pas très artistiques.
(je fais partie de ceux qui pensent que structure de phrase et de pensée sont intimement liés, reflexion de dinosaure pour certains :D )
 
des phrases contiennent des verbes

&​

je fais partie de ceux qui pensent que structure de phrase et de pensée sont intimement liés

Nicolas Boileau, que je ne prendrais certainement pas comme conseiller ès Poésie malgré sa notoire paternité d'un «Art Poétique» en alexandrins, a bien résumé par contre sur le terrain de la Prose (terrain où il était manifestement mieux à son avantage) l'exigence fondamentale qui la gouverne: «Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement».

Cette référence à la «clarté» chez un auteur du XVIIè siècle Français fait écho de toute évidence au critère de la rationalité claire & distincte que Descartes venait tout juste de rendre public.

J'en retrouve les échos directs dans les deux citations de Pascal (qui n'a pas de Blaise appendu à son blase :D) et de Edd (dont la voyelle initiale me contrarie de lui donner l'Edd d'une muette élidée :D). Ma modeste contribution sur ce terrain exigeant se bornera à un bref Panégyrique de la «Langue Française».

L'absolue originalité de la «Langue Française» me paraît qu'elle est, au sens le plus pur du terme, une langue syntaxique, qui en fait la langue de la Raison même. «Sujet_Verbe_Complément» : voilà la structure radicale d'aucune phrase Française, par quoi l'esprit se trouve invité à contempler, intellectuellement parlant, une séquence dont le point-de-départ est le 'sujet' d'un état ou d'une action ; dont le moyen-terme est le 'verbe' signalant l'inhérence ou la performance du sujet pré-cité ; et dont le terme est le 'complément' par quoi se montre l'attribut du sujet ou le produit de son action.

«Je suis inspiré» et «le bûcheron coupe l'arbre» - voilà à n'en pas douter des énoncés exemplaires de la Langue Française. Par quoi l'esprit appréhende clairement une raison d'être ou d'agir dans l'énoncé qui s'opère reliant l'effet à la cause et l'attribut à la substance. Comme l'image la racine Latine du mot qui est 'prorsus' : ce qui va de l'avant, la prose dé-montre dans un déroulement verbal ce qui s'implique d'un point-de-départ. Elle invite, en bref, sans se montrer 'vache' à contempler des trains qui passent...

Je trouve que l'essence de la Langue Française ne réside pas dans la richesse d'un vocabulaire beaucoup plus restreint, avec ses 75 000 mots, que celui de langues descriptives comme le Grec Ancien aux 300 000 termes recensés dans le dictionnaire Bailly ou la Langue Anglaise riche de plus de 150 000 mots. Car parler Français, ou écrire en Français, consiste à créer une phrase syntaxiquement conforme à la séquence : sujet_verbe_complément, c'est-à-dire à produire une raison qui ne pré-existait pas à l'invention de la phrase dans le sens isolé d'aucun mot relevant du vocabulaire commun, ni dans aucune expression toute faite précédant l'énoncé et qu'il suffirait de plaquer sur une donnée d'expérience de manière à l'emballer dans du pré-conçu pour faire sens ou à l'épingler d'une épithète pour faire sensation (comme l'usage courant de l'Américain en donne un si affligeant exemple).

Cette 'créativité syntaxique' (dont il est logique que le linguiste Américain Noam Chomsky accoucha du concept par référence directe et explicite à Descartes) invite chaque sujet qui s'exprime en Français à un acte de liberté, quel qu'en soit le degré et le raffinement, et c'est bien là toute la difficulté de cette Langue qui paraîtra toujours mal-séante, pour ne pas dire malsaine, à ceux pour qui parler se résume à se faire les échos particuliers d'un brouhaha collectif dans lequel leur obédience se figure une musique de groupe.
 
Dernière édition par un modérateur:
Résumons la pensée macomaniacienne* du jour
-ne nous emballons pas
(en tous cas pas dans des paquets pré-usinés, à la rigueur dans des atours faits maison: une phrase artisanalement élaborée)

-il faut raison garder, ainsi que ne perdons pas la raison
(et il y a une app pour ca : "find my reasoning," à ne pas confondre avec " you know what I mean" qui elle est open source aux multiples versions, une par utilisateur en fait)

NB
*je préfère cette construction à macomaniaqueuse qui a un coté plus triste, brumeux voire marécageux
( et l'aqueux y en a mare comme disait Maurice Genevoix qui en connaissait un rayon en brumes marais zé étangs solognots)