Partition de restauration effacée : problématique ?

Le docteur

Membre expert
Club iGen
8 Février 2008
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Bonjour,
J'ai acheté pour la première fois un MBP sans CD.
Je réalise que j'ai effacé la partition de restauration en essayant de faire une installation d'OSX depuis un clone (j'ai démarré le clone, effacé mon disque système et procédé à l'installation depuis le clone sur le disque système).
Du coup

1. J'ai foiré mon clone (qui était reconnu comme un disque d'installation mais contient encore apparemment mes fichiers, seulement il ne démarre plus, comme clone). J'ai essayé de virer le fichier d'installation de Yosemite dessus, mais le disque a crashé quand j'ai essayé de le lancer.

2. J'ai viré toutes les partitions sur le disque système. Est-ce que j'ai perdu du même coup des trucs attaché à mon ordinateur ? J'ai vu une procédure de réinstallation sur le site de G.Gete. Est-ce à dire que je ne peux pas tout simplement réinstaller un Yosemite depuis DiskMaker ((j'avais Mavericks pré-installé sur le système).
 
Si tu crées une clé USB bootable de Yosemite (Depuis un second mac?) pour reformater donc disque système, voire re installé un système propre puis faire le transfère de fichier manuellement depuis le disque clone ?
 
de maniere génerale il est possible de créer la partition Recovery HD après coup si pas là
( y a des tutos, et je crois me souvenir que macg avait fait une news là dessus, sinon tu trouves ailleurs)
mais j'ai aussi l'impression que t'as foiré pas mal de trucs

repartir sainement serait salutaire
( en mavericks puis yosemite ou en yosemite )
ca dépend des sauvegardes propres en main
 
Bon, même avec la clé bootable ça ne m'a pas refait la partition recovery.

---------- Nouveau message ajouté à 21h59 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h54 ----------

Bon, c'est pire que je pensais. J'avais voulu tester FileVault, et il s'inscruste.
J'arrive à démarrer une partition depuis cmd-r.
Comment je peux revenir à une configuration basique ???

---------- Nouveau message ajouté à 23h43 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h59 ----------

P... c'est la merde. Cette saloperie de partition cryptée me colle au basque comme de la glu.
Comment m'en débarrasser.
Si je pouvais réparer mon clone, en prime... marre!!!

---------- Nouveau message ajouté à 00h18 ---------- Le message précédent a été envoyé Hier à 23h43 ----------

Le bordel continue : dans le Mac App Store, on me dit que je n'ai pas encore acheté d'application. C'est une plaisanterie ?
 
C'est surtout disproportionné. C'est une emmerde logicielle.

Apparemment je me suis d'ailleurs monté le bouchon pour rien : il semblerait que ce soit normal de ne pas avoir de partition de restauration avec le alt au démarrage et de l'avoir à partir de cmd-r, du moins sur les machines récentes.
J'avais une partition de restauration, mais j'ai peur que ce soit CCC qui me l'a fait par erreur sur mon disque interne.
 
Salut docteur.

Qui dit : activation de «FileVault-2», dit, en préalable absolument requis du chiffrement du volume de l'OS, virement du format jhfs+ (Mac OS étendu journalisé) franc du collier de la partition-Système du disque interne (la /dev/disk0s2) à un format CoreStorage qui est un 'bassin' d'instances : un 'Groupe de Volumes Logiques'.

Le dispositif CoreStorage (condition nécessaire du chiffrement du volume de l'OS, mais pouvant être présent aussi sans qu'il n'y ait chiffrement : un 'cadeau' que l'installateur de «Yosemite» a largement distribué à ses récipiendaires :D) a plusieurs effets collatéraux (synonymes de 'dommages collatéraux', carrément) :


  • D'abord, la partition de récupération «Recovery HD», bien présente et existante nonobstant, se trouve frappée d'invisibilité à l'écran de choix du disque de démarrage (option 'alt') et ne s'atteint que par la commande ⌘R directe. Pour user d'une métaphore : l'édifice logique du Groupe de Volumes Logiques monté sur la partition-Système /dev/disk0s2 "fait de l'ombre" à l'«abri de jardin» de la «Recovery HD» édifié sur la partition vicinale /dev/disk0s3.

  • Ensuite, graphiquement parlant, si tu inspectes dans l'«Utilitaire de Disque» le rendu du disque concerné, tu aperçois une redondance d'intitulé inhabituelle : la ligne supérieure (attenante à la marge) identifiant normalement le disque physique avec des sigles constructeur abstrus (genre Crucial--- ou Samsung--- si SSD de tierce-partie), ne mentionne plus qu'un titre strictement identique à celui du volume subalterne en alinéa de la marge. Par exemple, si le nom du volume de l'OS est Macintosh HD comme c'est le cas par défaut, alors le nom du disque afférant listé au-dessus est lui aussi Macintosh HD.

    Cette situation "anormale" se comprend «par les causes» (comme eût dit Spinoza :D) : en effet, le format CoreStorage commence toujours par créer un artefact logique sur la partition-Système du disque concerné --> un Disque Physique Virtuel (analogue à un .dmg qui serait étendu à la surface entière de la partition qui le supporte), et c'est uniquement sur la base de ce Disque Physique Virtuel qu'est construit le volume de référence, qui a alors le statut de Volume Logique. Par suite, le Disque Physique Virtuel se trouve désigné par le nom même du Volume Logique auquel il sert de support, car ce n'est qu'un «être logique» destiné à soutenir un «volume logique».

  • Dès que ce Disque Physique Virtuel existe comme greffon sur la partition-Système d'accueil (/dev/disk0s2), alors il y a en quelque sorte appropriation à ce "disque logique" du statut de "réalité" (tu remarqueras mes efforts continués pour injecter du philosophique dans ma narration :D) : en termes familiers, le Disque Physique Réel, dissimulé par cette "existence logique", devient irreprésentable et inaccessible, et c'est comme s'il n'existait plus - seul le Disque Physique Virtuel se montre présent.

    Aussi longtemps qu'il est là, il est impossible d'atteindre le Disque Physique Réel, par exemple pour le re-partitionner : il est dissimulé par l'égide logique du Disque Physique Virtuel --> en résumé : c'est une "belle saloperie" qui verrouille quasiment le disque.

♤

Par défaut, «Carbon Copy Cloner», lorsqu'on demande un 1er clonage du volume d'un OS sur un DDE, commence par archiver dans l'OS-source (at: /Library/Application Support/com.bombich.ccc/Recovery HD.dmg) une copie du dossier de boot intégral résidant dans le volume de la «Recovery HD (le : com.apple.recovery.boot) ce qui fait que la copie-miroir du clone va importer cette même archive. En préalable à chaque re-clonage, il y a mise-à-jour de l'archive par comparaison avec le dossier de boot original de la «Recovery HD».

Toujours par défaut, «CCC», par référence seconde à cette archive Recovery HD.dmg intégrée à l'OS-Source, crée sur le disque d'accueil du clone (le DDE) une partition de récupération dédiée à un clone de la «Recovery HD» et y copie le dossier de boot de l'archive : le com.apple.recovery.boot. Et, à chaque re-clonage, da-capo : mise-à-jour de l'archive intégrée à l'OS-source par comparaison avec l'original de la «Recovery HD», comparaison de l'archive avec le dossier de boot de la «Recovery HD» clonée, et en cas de différence, mise-à-jour du clone de la «Recovery HD» (et après, on dit que les «philosophes» sont tordus : les "développeurs" le sont bien plus, car tout à leur scolastique logicielle envisagée sans "principe d'économie ontologique", ils ne respectent pas le précepte de Guillaume d'Occam : «Ne pas indûment multiplier les "êtres-de-discours"»).

Cet abstrus développement pour dire que 'cloner' pour «CCC» = toujours 1° archiver le dossier de boot de la «Recovery HD» dans la source ; 2° créer une partition d'accueil spécifique sur la destination ; 3° cloner le dossier de boot de l'archive sur le volume de la partition d'accueil dédiée ce qui en fait un clone de la «Recovery HD» par un intermédiaire. Eh bien! lorsqu'on utilise «Carbon Copy Cloner» pour rétro-cloner un clone sur le disque interne d'un Mac, ça se passe avec une admirable symétrie : si le disque est vierge (repartitionnement), «CCC» va utiliser l'archive du clone pour recréer une petite partition et y copier le dossier de boot d'une «Recovery HD». Si par contre il y a déjà une partition «Recovery HD», il y a comparaison du dossier de boot de l'archive du clone avec celui de la partition du disque d'accueil et en cas de différence, mise-à-jour.

Tout cela, à l'insu du plein gré de l'utilisateur... Donc suite à ton rétro-clonage, tu as bien eu droit à une «Recovery HD» automatique sur le disque interne de ton Mac, mais à cause du CoreStorage, tu avais l'impression qu'elle n'existait plus :D.

♧

Si tu voulais y voir clair, formellement parlant, concernant le dispositif de ton disque interne et celui de ton DDE en parallèle (s'il est connecté au Mac), tu pourrais ouvrir une fenêtre du «Terminal» et passer les 2 commandes strictement informatives suivantes :

Bloc de code:
diskutil list

et ↩︎ (presser la touche 'Entrée' du clavier) --> tu contemples alors la structure de partitionnement de tes disques et tu peux voir :


  • qu'il y a bien deux Apple_Boot Recovery HD (partition-support de la «Recovery HD») respectivement en /dev/disk0s3 et /dev/disk1s3 ;

  • qu'il y a bien au moins un Apple_CoreStorage sur la /dev/disk0s2 (le dispositif Groupe de Volumes Logiques requis par le chiffrement «FileVault-2»).

  • que le montage du Volume Logique sur la base du Disque Physique Virtuel rejette un disque supplémentaire : genre /dev/disk2, si /dev/disk0 désigne ton disque interne et /dev/disk1 celui de ton DDE.


Pour en savoir plus concernant le CoreStorage :

Bloc de code:
diskutil cs list

et ↩︎ --> tu peux contempler le tableau de l'artefact logique CoreStorage qui implique pas moins de 4 instances :

+-- Logical Volume Group [Structure Globale]
=============================
------|
------+-< Physical Volume [Disque Physique Virtuel]
-----------------------------------------------------------
------------|
------------+-> Logical Volume Family [Poste de Pilotage]
----------------------------------------------------------------
------------------|
------------------+-> Logical Volume [Volume Artificiel]
-------------------------------------------------------------​


[Si tu postais ces 2 tableaux, je pourrais t'indiquer comment passer le «Rasoir d'Occam» sur cette pulllulation d'«êtres de discours» - qu'eût dit Jean-Jacques, ami de la sancta simplicitas de l'«état de nature», devant cette "course à l'artefact" de la civilisation numérique? :D]

&#9825;
 
  • J’aime
Réactions: albert-r
Le premier donne ça (j'ai viré le numéro du disque, bien que je ne pense pas que ce soit gênant de le publier, mais par précaution et sachant que je ne sais pas :

Bloc de code:
/dev/disk0
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *500.1 GB   disk0
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk0s1
   2:          Apple_CoreStorage                         499.2 GB   disk0s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk0s3
/dev/disk1
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:                  Apple_HFS Macintosh HD           *498.9 GB   disk1
                                 Logical Volume on disk0s2
                                 XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
                                 Unencrypted
/dev/disk2
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *1.0 TB     disk2
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk2s1
   2:                  Apple_HFS Time Machine            500.1 GB   disk2s2
   3:                  Apple_HFS Clone MacBook Pro       499.0 GB   disk2s3
   4:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk2s4
/dev/disk3
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:     Apple_partition_scheme                        *41.0 MB    disk3
   1:        Apple_partition_map                         32.3 KB    disk3s1
   2:                  Apple_HFS Maintenance 1.9.7       41.0 MB    disk3s2

Bloc de code:
|
+-- Logical Volume Group XXXXXXXXXXXXXXXX
    =========================================================
    Name:         Macintosh HD
    Status:       Online
    Size:         499248103424 B (499.2 GB)
    Free Space:   18972672 B (19.0 MB)
    |
    +-< Physical Volume XXXXXXXXXXXXXXXX
    |   ----------------------------------------------------
    |   Index:    0
    |   Disk:     disk0s2
    |   Status:   Online
    |   Size:     499248103424 B (499.2 GB)
    |
    +-> Logical Volume Family XXXXXXXXXXXXXXXXXX
        ----------------------------------------------------------
        Encryption Status:       Unlocked
        Encryption Type:         None
        Conversion Status:       NoConversion
        Conversion Direction:    -none-
        Has Encrypted Extents:   No
        Fully Secure:            No
        Passphrase Required:     No
        |
        +-> Logical Volume XXXXXXXXXXXXXXXXX
            ---------------------------------------------------
            Disk:                  disk1
            Status:                Online
            Size (Total):          498876809216 B (498.9 GB)
            Conversion Progress:   -none-
            Revertible:            Yes (no decryption required)
            LV Name:               Macintosh HD
            Volume Name:           Macintosh HD
            Content Hint:          Apple_HFS

Ca me rappelle le système de partition utilisé par Fedora qui me tuait complètement par sa complexité.
Là, je ne sais plus quoi faire et je ne sais surtout pas si je vais pouvoir recloner ce système.
De plus j'ai des problèmes avec le Finder qui m'a copié des fichiers fantômes partout (tâche de copie arrêtée et redémarrage parce tout semblait bloqué). Maintenant si je veux effacer les documents fantômes j'ai un avertissement comme quoi une application les utilise, même si je redémarre.

---------- Nouveau message ajouté à 12h14 ---------- Le message précédent a été envoyé à 11h45 ----------

Bon, pour ce qui est des fichiers mal copiés, j'ai fait une synchro de dossier avec CCC. Ca a l'air de marcher.
Ce qui m'interroge dans ma carte de partition, c'est :
1. Y avait-il une partition cachée propre à ma machine (qu'il ne faudrait donc pas que j'efface) ?
2. Que se passera-t-il lorsque je vais vouloir cloner la machine (la première tentative s'est soldée après coup par une demande de CCC pour créer une partition sauvegarde et je me suis demandé ensuite si elle n'avait pas été créée en fait sur mon disque principal - de toute manière tout à sauté par la suite quand j'ai tenté d'installer Yosemite depuis le clone sur le principal).

Je me demande bien aussi ce qui a pu arriver à mon clone pour :
- être transformé au boot en un volume d'installation OSX (tout en gardant son nom de clone)
- devenir non bootable une fois que j'ai viré le fichier d'installation OSX en espérant qu'il retrouverait ses billes.

Si j'avais pu, je pense que j'aurais renvoyé le clone dans la machine, et tant pis pour Yosemite (que je trouve étrangement agréable visuellement mais qui me prive de Dragon Dictate et m'emmerde un chouïa pour le BT)
 
Pour ce qui est du format CoreStorage bien présent sur la partition-Système (la /dev/disk0s2 = section 2 du disque 0) du disque interne de ton Mac (le /dev/disk0 par défaut), alors voici les informations intéressantes (je colorie en vert et en rouge) :

Bloc de code:
|
+-- Logical Volume Group XXXXXXXXXXXXXXXX
    =========================================================
    Name:         Macintosh HD
    Status:       Online
    Size:         499248103424 B (499.2 GB)
    Free Space:   18972672 B (19.0 MB)
    |
    +-< Physical Volume XXXXXXXXXXXXXXXX
    |   ----------------------------------------------------
    |   Index:    0
    |   Disk:     disk0s2
    |   Status:   Online
    |   Size:     499248103424 B (499.2 GB)
    |
    +-> Logical Volume Family XXXXXXXXXXXXXXXXXX
        ----------------------------------------------------------
        Encryption Status:       Unlocked
       [COLOR="SeaGreen"] Encryption Type:         None[/COLOR]
        [COLOR="SeaGreen"]Conversion Status:       NoConversion[/COLOR]
        Conversion Direction:    -none-
        Has Encrypted Extents:   No
        Fully Secure:            No
        [COLOR="SeaGreen"]Passphrase Required:     No[/COLOR]
        |
        +-> Logical Volume [COLOR="Red"]XXXXXXXX-XXXX-XXXX-XXXX-XXXXXXXXXXXX[/COLOR]
            ---------------------------------------------------
            Disk:                  disk1
            Status:                Online
            Size (Total):          498876809216 B (498.9 GB)
            Conversion Progress:   -none-
            [COLOR="SeaGreen"]Revertible:            Yes (no decryption required)[/COLOR]
            LV Name:               Macintosh HD
            Volume Name:           Macintosh HD
            Content Hint:          Apple_HFS

Le Volume Logique n'est pas chiffré (no Encryption Type, no Passphrase Required) : il n'est donc pas le résultat d'une activation de «FileVault-2» ; et aucun processus n'est en cours touchant le dispositif CoreStorage (ni dans le sens du chiffrement, ni dans le sens du déchiffrement (Conversion Status: NoConversion).

Tu n'as donc affaire qu'à un CoreStorage non chiffré (de nombreux utilisateurs se sont vu infliger ce format par l'installateur de «Yosemite»). Mais l'information cardinale est : Revertible: Yes (no decryption required). Ce qui veut dire qu'une simple commande dans le «Terminal» peut re-convertir le format CoreStorage actuel au format jhfs+ sans aucune perte de données ni de propriété démarrable du Système.

Je te conseille de liquider ce format encombrant, qui t'empêcherait de manipuler ton disque à fin de re-partitionnement par exemple - et, du coup, avec 'alt', tu re-verras ta partition de récupération «Recovery HD».

Donc dans le «Terminal», tu commences par repasser la commande :

Bloc de code:
diskutil cs list

et &#8617;&#65038; qui te ré-affiche le tableau du Groupe de Volumes Logiques --> ne fais attention qu'à la 4è et dernière rubrique, le Logical Volume --> tu sélectionnes au pointeur et tu copies par &#8984;C dans le presse-papier son UUID (IDentifiant Unique Universel = suite de 32 caractères alpha-numériques distribuées en 5 groupements inégaux reliés par des tirets, l'équivalent de mon XXXXXXXX-XXXX-XXXX-XXXX-XXXXXXXXXXXX). L'intérêt est de ne pas se taper à la mimine la recopie de la séquence... :D

Cela fait, tu passes la commande <la reversion du format CoreStorage est supportée de l'OS démarré à destination de son propre "contenant"> :

Bloc de code:
sudo diskutil coreStorage revert [COLOR="Red"]XXXXXXXX-XXXX-XXXX-XXXX-XXXXXXXXXXXX[/COLOR]

et &#8617;&#65038; (où tu colles peinard par &#8984;V l'UUID à sa place) --> demande de password (commande sudo) --> tape ton mot-de-passe admin à l'aveugle - aucun caractère ne se montrant à la frappe - et derechef &#8617;&#65038; --> en retour de commande, tu vois s'afficher progressivement ceci :

Bloc de code:
Started CoreStorage operation on disk1 Macintosh HD
Switching partition from Core Storage type to original type
Reclaiming space formerly used by Core Storage metadata
Ejected Logical Volume
Removing Physical Volume
Destroying Logical Volume Group
Remounting former Physical Volume as normal disk
Core Storage LV UUID: [COLOR="Red"]XXXXXXXX-XXXX-XXXX-XXXX-XXXXXXXXXXXX[/COLOR]
Core Storage disk: disk0s2
Finished CoreStorage operation on disk1 Macintosh HD

--> à complétion (marquée par le ré-affichage de l'invite de commnande), il te suffit de re-démarrer ton Mac pour finir de "faire atterrir" le volume reconverti au format jhfs+ standard sur la partition ad-hoc du disque physique (une fois la "carpette" du Disque Physique Virtuel retiré de sous ses "pieds", et le volume logique reformaté, il serait peu judicieux d'utiliser non-stop le Mac avant ce re-démarrage, tant que le Volume, ex "Volume Logique", n'a pas "atterri" correctement sur son nouveau support).

&#10057;

En ce qui concerne les «Recovery HD», tu peux noter que tu en possèdes bien 2 comme attendu : une sur ton DDE (la 4: Apple_Boot Recovery HD 650.0 MB disk2s4 qui flanque le volume de ton clone 3: Apple_HFS Clone MacBook Pro 499.0 GB disk2s3 et qui est le fruit des &#339;uvres de clonage de «Carbon Copy Cloner») : et une sur le disque interne de ton Mac (la 3: Apple_Boot Recovery HD 650.0 MB disk0s3, qui flanque comme attendu la partition-Système réservée à OSX et qui supportait le Groupe de Volumes Logiques = /dev/disk0s2).

(avec «CCC», on ne peut pas dire qu'on manque de «Recovery HD», on en a partout --> ici : 1 sur le Mac, 1 sur le DDE, 1 sous forme d'archive du dossier com.apple.recovery.boot dans la /Library de l'OS du Mac et 1 sous forme d'archive du dossier com.apple.recovery.boot dans la /Library du clone :D. Il est où mon «Rasoir d'Occam»?)

Pour ce qui est de la «Recovery HD» du disque de ton Mac, voilà comment je me représente les choses : démarré sur ton clone, tu as dû procéder en 2 fois après avoir complètement ré-initialisé (Table GUID, 1_partition majeure + format jhfs+) le disque de ton Mac. Car manifestement ton clone supporte un OS «Mavericks 10.9.5» --> tu as cloné 10.9.5 sur le disque du Mac et en préalable, comme attendu, ne trouvant pas de «Recovery HD» sur le support vierge, «CCC» s'est empressé de créer une petite partition /dev/disk0s3 qui n'existait pas encore par subdivision de la partition maîtresse (/dev/disk0s2) et de cloner ensuite le dossier de boot archivé dans l'OS «Mavericks» du clone (c'est ça que tu as vu passer). Ce avant le clonage de l'OS sur la grosse partition. Tu avais donc alors une «Recovery HD» version : 10.9.5.

Ensuite, comme tu avais en réserve dans le répertoire des /Applications du clone l'installateur Install OS X Yosemite.app astucieusement téléchargé au préalable (:up:), tu as déclenché depuis le clone démarré cet installateur et --> il a commencé par mettre à jour la «Recovery HD» du disque du Mac à la version : 10.10.1 ; puis, comme il en avait l'instruction subreptice, il a ensuite continué par convertir au format CoreStorage le filesystem du «Mavericks» déjà en place (lorsque la commande de génération d'un CoreStorage s'applique à une partition supportant un OS déjà en place, alors elle s'effectue selon le mode : convert - ce qui explique pourquoi la reversion t'était disponible. Ça n'aurait pas été le cas en l'absence d'OS). La conversion au CoreStorage effectuée, il y a eu mise-à-niveau de l'OS Mavericks vers Yosemite.

À la suite de ces man&#339;uvres multiples, tu t'es retrouvé avec quelques plâtres à essuyer :D.

--------------------​

Et dont celui qui te taraude : comment se fait-il que mon clone (celui de mon "cher" «Mavericks» - qui sait? et si «Yosemite» me déclenchait une crise d'urticaire "anti bleu_schtroumpf", hein? Comment je fais alors pour revenir à «Mavericks» avec toutes mes données en place? :D) - oui, pourquoi mon clone n'apparaît-il plus à l'écran de choix des disques démarrables, dès lors que j'ai viré l'installateur de «Yosemite» de ses applications?


Hé! hé! hé! (risus sardonicus) --> tu as perdu le blessing au "dossier de boot" de ton clone (le /System/Library/CoreServices), càd. l'inscription sur l'en-tête du filesystem qui indique à l'EFI au démarrage qu'il existe un fichier démarreur (le Boot_Loader : boot.efi) dans le dossier de résidence au bout du chemin indexé dans l'en-tête. J'imagine que quand tu as déclenché, après ton clonage, le programme d'installation du Install OS X Yosemite.app contenu dans ton clone, au re-démarrrage sur le disque virtuel InstallESD.dmg qu'il recèle, le blessing s'est fixé sur ce système de fichiers en faisant sauter celui du clone --> tu possèdes actuellement, avec ton clone, un magnifique palimpseste (c'est plus fort que moi :D).

Il doit être possible de redresser la situation dans le «Terminal» encore --> ton DDE (où réside ton clone) attaché au Mac, commence par saisir :

Bloc de code:
ls /Volumes

et &#8617;&#65038; --> tu vois le tableau de tous les Volumes actuellement montés, dont celui de ton clone dont tu repères l'intitulé exact (je vais supposer que c'est : Clone MacBook Pro. Comme il y a des espaces vides, pour forcer la lecture de l'intitulé comme désignant un objet unique, le mettre entre "" ainsi : "Clone MacBook Pro").

Il reste à passer la commande :

Bloc de code:
sudo bless --folder /Volumes/[COLOR="RoyalBlue"]"Clone MacBook Pro"[/COLOR]/System/Library/CoreServices

[mutatis mutandis pour le nom du volume du clone - s'il y a lieu] et &#8617;&#65038; --> password --> mot-de-passe admin à l'aveugle et &#8617;&#65038; encore. Si tu re-démarres avec 'alt', tu devrais revoir le volume de ton clone comme disque démarrable affiché.

&#10056;
 
Dernière édition par un modérateur:
quite fascinating.
J'ai testé la commande pour le clone. Il est réapparu avec un nom normal mais persiste à me relancer un programme d'installation (je n'aurais peut-être pas dû le laisser sur le disque).

Je vais prendre le temps de lire ta prose et de la comprendre au maximum pour ne pas faire de bourde.
Je n'ai pas de dysfonctionnement, mais apparemment je suis tout de même assis sur un empilement de volumes étrange. Ca froisse mon sens de l'esthétique, j'avoue.

Mais je n'ai même pas encore de Time Machine activé et je n'ai pas envie de faire tout sauter avec une fausse manip'

---------- Nouveau message ajouté à 19h01 ---------- Le message précédent a été envoyé à 18h57 ----------

Que dire de plus des intentions d'Apple ?
Pourquoi colle-t-il ce type de partitions pendant l'installation de Yosemite ?
Est-ce qu'il y aurait un intérêt quelconque à garder un core storage ? Apple risque-t-il d'en faire quelque chose ?
Il est clair en tout cas qu'il risque de me gêner pour faire un clone.

---------- Nouveau message ajouté à 19h27 ---------- Le message précédent a été envoyé à 19h01 ----------

Bon ! Allez! Je me suis lancé avant ta réponse en me disant que j'allais effectivement être royalement emmerdé pour me refaire un clone. J'en ai assez bavé pour tout réinstaller.
Effectivement, j'ai des changements sur le disque renvoyé par diskutil list

Bloc de code:
/dev/disk0
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *500.1 GB   disk0
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk0s1
   2:                  Apple_HFS Macintosh HD            499.2 GB   disk0s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk0s3


Ce qui m'étonne, c'est la disparition du nom de volume (donc plus de xxx à coller).

Je vais sans doute me grouiller pour refaire un clone, en me demandant si je refais comme la fois précédente (Time Machine + clone le même disque). J'ai bien une possibilité de faire un clone sur un autre disque dévolue à la base à un TM. C'est de l'USB2, mais je commence à me demander si l'USB3 est vraiment sensible dans un clonage.

Merci c'est plus clean, en espérant que je n'ai rien dégommé dans la foulée (la fameuse partition propre à la machine par exemple, mais il semblerait que ça ne change rien et que les outils du hardware test sont maintenant à aller chercher sur le net (avec un cmd d).
 
Dernière édition:
Le partitionnement du disque de ton Mac à l'arrivée :

Bloc de code:
/dev/disk0
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:                  GUID_partition_scheme            *500.1 GB   disk0
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk0s1
   2:                  Apple_HFS Macintosh HD            499.2 GB   disk0s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk0s3

est tout à fait conforme au dispositif régulier :


  1. tu as, en /dev/disk0s1, la petite partition EFI de 209,7 MB qui est l'en-tête standard du Tableau de partition GUID (elle sert, occasionnellement, à faire transiter vers le programme interne du Mac les MÀJ du Firmware embarquées elles-mêmes dans des MÀJ d'OSX - sinon, chez ceux qui ont installé l'aiguilleur de boot «rEFInd», c'est là que «rEFInd» installe ses exécutables dans un dossier intitulé BOOT) ;

  2. tu as, en /dev/disk0s2, ta partition majeure Macintosh HD de 499,2 Mo qui a récupéré le format de volume standard jhfs+ ;

  3. enfin tu as, en /dev/disk0s3, ta partition de récupération Recovery HD de 650 MB.

--> à mon avis, tout est en ordre. RAS.
--------------------​

En ce qui concerne ton clone, la commande de blessing l'a rendu à nouveau repérable par l'EFI. Mais c'est une curieuse histoire que le démarrage dessus, au lieu de lancer l'OS, lance en fait le programme d'installation de l'installateur logé sans doute dans les Applications.

Mike Bombich, le développeur de «CCC», qui est un maniaque du détail, ne fait jamais terminer un clonage sans une mise-à-jour du kernelcache du clone (c'est le cache de démarrage de l'OS, qui se compose du code du kernel + de l'enveloppe des kexts solidarisées par l'option : all_loaded) --> c'est ce fichier en fait que le démarreur de l'OS (/System/Library/CoreServices/boot.efi) charge globalement au boot - c'est pourquoi je trouve on ne peut plus bizarre l'idée qu'il manquerait cette cible, pour s'en aller démarrer le programme d'installation à la place.

Tu es sûr que le programme d'installation se lance illico, ou bien tu as le temps d'atteindre la fenêtre d'ouverture de session et d'ouvrir ta session avant que le programme ne se lance? Si c'était le second cas, il suffirait de fermer le programme et de voir si rien ne le lance en ouverture de session. Si c'est le 1er cas, je n'ai pas trop d'idées : il faut croire que le boot.efi se gourre de cible.

Si, le volume du clone monté sur ton Bureau de session de l'OS du Mac, tu vas chercher ton installateur de «Yosemite» pour a) le recopier dans ton OS du Mac pour le sauvegarder ; b) le supprimer du clone --> est-ce que, en re-démarrant sur le clone, le boot.efi retrouve le kernelcache, ou s'il y a des ennuis de ce côté, du moins le kernel tout seul en lui refilant la tâche de charger les kexts une à une (boot très lent alors) --> est-ce qu'à la fin tu accèdes à l'écran d'ouverture de session, ou bien est-ce que vois la roue crantée giratoire propre à «Mavericks» tourner indéfiniment?

<en cas de blocage, tu peux toujours demander à «CCC» de recloner ton clone sur le 2è DDE (vacant) que tu as --> reconstruction d'un kernelcache garanti au final dans le clone du clone et peut-être bien enfin clone (de clone) bootable <dommage de perdre un clone de «Mavericks»>. Sinon, je peux toujours te refiler une commande dans le «Terminal» qui ferait la même chose d'entrée sur le clone "original"....
 
Dernière édition par un modérateur:
Je vais laisser tomber le clone de Mavericks.
Par contre, là je rame pour le nouveau clone. Je ne sais pas pourquoi, mais CCC ne me fait pas la partition de sauvegarde au début. Il va sans doute me la proposer à la fin. Je pense que ça doit être du au fait que le DD externe utilisé est partitionné d'un côté Clone, de l'autre TM

---------- Nouveau message ajouté à 21h53 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h47 ----------

J'ai essayé sans partitionner et j'ai le même résultat.
CCC me donne la partition recovery HD comme "non applicable"...
Comprend pas...

---------- Nouveau message ajouté à 22h17 ---------- Le message précédent a été envoyé à 21h53 ----------

Bon, CCC dit qu'il ne met pas de partition recovery HD parce qu'il ne trouve pas d'OSX installé sur le disque.
J'imagine que c'est pour être sûr qu'il y aura correspondance entre le système et la partition recovery. Mais du coup ça l'oblige à un redimensionnement de la partition.

Je viens de tester le transfert avec l'USB3, faut pas déconner ça n'a rien à voir : dans les deux fois plus vite.
Je vais finir par remiser mes "vieux" USB2, moi...
En tout cas pour un clone, ça fait une différence.

---------- Nouveau message ajouté à 23h16 ---------- Le message précédent a été envoyé à 22h17 ----------

Une autre question à la con me vient : aucun moyen d'éviter la multiplication des entrées dans le menu contextuel "ouvrir avec" dès qu'on branche un clone. C'est pénible à force.

---------- Nouveau message ajouté à 23h34 ---------- Le message précédent a été envoyé à 23h16 ----------

Là, je dirai que c'est bon :
Bloc de code:
/dev/disk0
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *500.1 GB   disk0
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk0s1
   2:                  Apple_HFS Macintosh HD            499.2 GB   disk0s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk0s3
/dev/disk1
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *1.0 TB     disk1
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk1s1
   2:                  Apple_HFS Clone Yosemite          499.4 GB   disk1s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk1s3
   4:                  Apple_HFS Time Machine            499.6 GB   disk1s4
 
Là, je dirai que c'est bon :
Bloc de code:
/dev/disk0
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *500.1 GB   disk0
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk0s1
   2:                  Apple_HFS Macintosh HD            499.2 GB   disk0s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk0s3
/dev/disk1
   #:                       TYPE NAME                    SIZE       IDENTIFIER
   0:      GUID_partition_scheme                        *1.0 TB     disk1
   1:                        EFI EFI                     209.7 MB   disk1s1
   2:                  Apple_HFS Clone Yosemite          499.4 GB   disk1s2
   3:                 Apple_Boot Recovery HD             650.0 MB   disk1s3
   4:                  Apple_HFS Time Machine            499.6 GB   disk1s4

Tout a l'air en place, en effet :).

[Remarque perso : quand bien même «CCC» n'aurait pas réussi à créer une partition «Recovery HD» effective sur le DDE - création dont on peut incriminer l'automatisme dans le sens Mac => Support du clone, parce qu'elle génère un volume redondant par rapport à celui du disque du Mac - ne pas oublier que le logiciel archive toujours le dossier de la «Recovery HD» (= le apple.com.recovery.boot qui contient toutes les ressources logicielles de la partition de récupération et donc de quoi la ré-créer si elle faisait défaut) a priori dans la source (l'OS du Mac - at: /Library/Application Support/com.bombich.ccc/Recovery HD.dmg), de sorte que dans le clone, image de l'OS, se retrouve toujours disponible un miroir de cette archive. C'est d'ailleurs exclusivement cette archive-miroir du clone que «CCC» utilise, dans le sens du rétro-clonage clone => Mac, pour re-créer une «Recovery HD» sur le disque du Mac lorsque celui-ci a été ré-intialisé et en est a priori dépourvu.

Dans les anciennes versions (les déclinaisons de la n° 3) de «CCC», il était possible à l'utilisateur, par le biais du menu : Centre de Disques, de piloter volontairement la création, non-création ou re-création d'une «Recovery HD» sur un disque donné, éventuellement en mode "célibataire" d'un OS --> je trouve qu'en supprimant ce quodlibétisme dans sa récente version n°4 et en instaurant un automatisme de création de la «Recovery HD» dont le fonctionnement échappe à l'utilisateur et qui vire à la redondance dans le sens du clonage sur un DDE, Mike Bombich a tendance à oublier sur le bord du chemin les fidèles de son logiciel depuis «Tiger 10.4» qui aimeraient bien continuer de pouvoir garder la main sur le gouvernail au lieu de jouer les touristes sur le pont.

Toujours personnellement parlant, j'ai été conduit à récupérer le programme dmtest qu'Apple avait rendu disponible au fouineurs du paquetage en éditant naguère son «Lion Recovery Disk Assistant pour Mac OSX». Ce binaire, pas du tout documenté, permet à l'aide de 2 seules ressources extraites du dossier de boot de n'importe quelle «Recovery HD» au choix (le BaseSystem.dmg et la BaseSystem.chunklist) prises pour sources, de créer une partition en appendice de n'importe quel volume sélectionné par son point de montage (il y génération d'un petit repartitionnement "caudal" d'exactement 650 Mo conservatif des données du volume-maître) et de créer sur ce néo-volume le dossier de boot : com.apple.recovery.boot attendu. Je me suis amusé à en créer sur une clé USB, par exemple, et chaque fois il y a subpartitionnement du volume choisi en destination et génération de la «Recovery» conforme. Cet outil, ma foi des plus commode, permet d'envisager tous les re-partionnements dynamiques voulus du disque d'un Mac en mode "live" <en conservant l'OS> - pourvu que les 2 ressources requises pour recréer une «Recovery HD» soient archivées dans un endroit disponible.]
 
Dernière édition par un modérateur:
Merci pour toutes ces explications.
J'avais d'ailleurs ouvert une demande d'aide à Apple.
Je peux laisser tomber...