C'est l'été ! Si, si je vous assure, enfin ici au sud du sud..
Je ne sais pas vous, mais moi j'ai tout de suite plus de temps et d'envie pour lire la presse papier. La sérieuse et la moins sérieuse. Ceci dit, même la sérieuse aime bien prendre des libertés avec sa ligne rédactionnelle traditionnelle. Avec plus ou moins de bonheur faut bien le dire (certains se souviennent sûrement des dossiers racoleurs intéractifs du Nouvel Obs il y a quelques années).
Bref, tout ça pour vous faire partager un de mes petits bonheurs quotidiens depuis quelques jours.
Le cahier été de Libé. Au delà de la thématique principale, racoleuse s'il en est (les cultures du sexe), mais dont le traitement des sujets est assez instructif , il y a surtout la chronique de Jean Baptiste Harang :love: Un régal.
Il y a quelques jours, le chroniqueur semble avoir déliré à partir d'un vieux texte de Jean Paul Dubois intitulé Compte rendu analytique d'un sentiment désordonné, pour faire une critique parodique d'un texte qui se serait appelé compte rendu analytique d'un pays désordonné. Jean Baptiste Harang nous décrit ainsi une France Défigurée, au bon vouloir de son putatif auteur. Un peu comme si on pouvait décider de reconfigurer le Pays à sa guise, comme on le fait pour son salon.
extraits :
Rayer la ville de Limoges de la carte sous prétexte qu'elle ne sert à rien et qu'il n'y a jamais mis les pieds.
Envoyer Saint Etienne au bord du lac Léman pour la bonne raison que c'est bien le tour des stéphanois de canoter tranquille.
Déplacer Marseille en banlieue parisienne afin que les matchs OM/PSG soient de vrais derbys.
Tordre le nez de la Bretagne pour qu'elle touche la Cornouaille, et adieu le projet de tunnel sous la manche
Aujourd'hui c'était sur un dico des mots manquants
Bon j'ai acheté Psychologies aussi pour voyager hier mais les sujets seraient plus polémiques et j'ai surtout pas envie de ça.
J'ai parlé de la presse écrite, mais bientôt je serai vraiment en vacances :rose:, et je me régalerai sûrement avec les grilles estivales de ma radio préférée. Pour la télé, je sais pas, je regarde pas
Je ne sais pas vous, mais moi j'ai tout de suite plus de temps et d'envie pour lire la presse papier. La sérieuse et la moins sérieuse. Ceci dit, même la sérieuse aime bien prendre des libertés avec sa ligne rédactionnelle traditionnelle. Avec plus ou moins de bonheur faut bien le dire (certains se souviennent sûrement des dossiers racoleurs intéractifs du Nouvel Obs il y a quelques années).
Bref, tout ça pour vous faire partager un de mes petits bonheurs quotidiens depuis quelques jours.
Le cahier été de Libé. Au delà de la thématique principale, racoleuse s'il en est (les cultures du sexe), mais dont le traitement des sujets est assez instructif , il y a surtout la chronique de Jean Baptiste Harang :love: Un régal.
Il y a quelques jours, le chroniqueur semble avoir déliré à partir d'un vieux texte de Jean Paul Dubois intitulé Compte rendu analytique d'un sentiment désordonné, pour faire une critique parodique d'un texte qui se serait appelé compte rendu analytique d'un pays désordonné. Jean Baptiste Harang nous décrit ainsi une France Défigurée, au bon vouloir de son putatif auteur. Un peu comme si on pouvait décider de reconfigurer le Pays à sa guise, comme on le fait pour son salon.
extraits :
Rayer la ville de Limoges de la carte sous prétexte qu'elle ne sert à rien et qu'il n'y a jamais mis les pieds.
Envoyer Saint Etienne au bord du lac Léman pour la bonne raison que c'est bien le tour des stéphanois de canoter tranquille.
Déplacer Marseille en banlieue parisienne afin que les matchs OM/PSG soient de vrais derbys.
Tordre le nez de la Bretagne pour qu'elle touche la Cornouaille, et adieu le projet de tunnel sous la manche
Aujourd'hui c'était sur un dico des mots manquants
Bon j'ai acheté Psychologies aussi pour voyager hier mais les sujets seraient plus polémiques et j'ai surtout pas envie de ça.
J'ai parlé de la presse écrite, mais bientôt je serai vraiment en vacances :rose:, et je me régalerai sûrement avec les grilles estivales de ma radio préférée. Pour la télé, je sais pas, je regarde pas