[QXP] Ex-xpress

claudde

Membre actif
26 Octobre 2004
513
15
bonjour.

j'aurai quelques naïves questions à poser.
ex utilisateurs d'xpress (toutes versions jusque 5) je doit m'y remettre après quelques années pour une plaquette.
et je me retrouves avec la version 7 :
1 : je dois livrer un fichier PDF certifié avec sorties laser. Donc, quelle est la différence entre un fichier ps passé dans un distiller, et un fichier direct PDF d'Xpress : (lequel est le plus fiable)
2 : comment se comportent les dégradés dans xpress
3 : je ne sais plus, les images importées dans xpress doivent-elles être toujours en eps quadri?

merci
 
Je ne saurais trop de conseiller de faire des recherches dans les forums pour commencer. On a quelques membres qui ont déjà répondu à ces questions de manière précise longue et pertinente (parfois dans un débat passionné), ça serait dommage de les forcer à se répéter...
 
Je ne saurais trop de conseiller de faire des recherches dans les forums pour commencer. On a quelques membres qui ont déjà répondu à ces questions de manière précise longue et pertinente (parfois dans un débat passionné), ça serait dommage de les forcer à se répéter...

merci, je vais fouiner.
 
3 : je ne sais plus, les images importées dans xpress doivent-elles être toujours en eps quadri?

Des eps quadri ? J'ai pour ma part toujours (depuis la version 3) travaillé avec des tiff quadri (pour sortie sur presse, bien sûr). Les eps ne seront pertinents qu'en cas de bichro ou de fichiers Illustrator fournis par le client.
Enfin, il me semble.

Pour les autres questions, fouiller en effet dans les archives. Ça ne doit pas être bien loin :)
 
Perso j'ai pris l'habitude de mettre mes images en tiff pour deux raisons : un peu moins lourd et surtout le tiff ne générait pas d'erreur postscript (en tout cas chez moi) contrairement au EPS.

Et en plus le tiff permet des retouches couleurs directement dans Xpress. Surtout utile avec des niveaux de gris et des bitmap (à passer en pantone ou dans une couleur quadri), mais parfois aussi pas mal pour faire des "fond de chèque" vite fait le temps d'un test.
 
L'habitude d'importer des EPS dans XPress vient du fait que "au début" c'était le seul format avec lequel on pouvait transférer les détourages effectués dans Photoshop.
Depuis XPress 3.3 on peut faire la même chose avec les TIFF mais l'habitude est restée... même si maintenant il y encore plus de format à disposition (JPG, PSD...).

Ceci dit, il n'y a pas plus obsolète que l'EPS parmi les formats d'image (bitmap).

Pour ce qui est de la méthode à utiliser pour générer les PDF il n'y en a qu'une seule de vraiment bonne : faire ce que demande l'imprimeur !

:cool:
 
L'habitude d'importer des EPS dans XPress vient du fait que "au début" c'était le seul format avec lequel on pouvait transférer les détourages effectués dans Photoshop.
Oui, et il y avait une autre raison : la prévisualisation des TIFF dans XPress 3.x et 4 (peut-être 5 aussi ?) était abominable, avec des couleurs criardes complètement irréalistes, et ça faisait un peu peur au client quand on lui présentait le doc à l'écran, alors que la prévisualisation des EPS était beaucoup plus proche de la réalité... et pour éviter des réactions (parfois excessivement) effarées des clients, beaucoup d'utilisateurs de XPress ont pris l'habitude de bosser avec des EPS.

... puis ils ont un peu oublié pourquoi, mais ils ont conseillé aux autres d'utiliser des EPS, et les autres ont suivi le conseil, sans bien savoir pourquoi, mais comme ça venait d'un pro, le conseil devait être bon... et aujourd'hui on se retrouve avec une légende urbaine complètement dépassée qui dit toujours qu'il faut utiliser des images EPS...

Alors, soyons clair : les EPS, c'est bon seulement pour les bichromies et les détourages dans XPress... (et encore, la version 6 commençait à pouvoir importer du PSD, et la version 7 importe des PSD à peu près correctement...)... donc, pour les images normales, c'est du TIFF.


... quand à InDesign, c'est TIFF ou PSD, mais surtout pas d'EPS
(y'en a marre des images de type bitmap en EPS... quand est-ce que Adobe aura la bonne idée de supprimer cette hérésie ?)

(le premier qui parle de JPEG pour du Print, je l'étrangle... :siffle:)



Pour ce qui est de la méthode à utiliser pour générer les PDF il n'y en a qu'une seule de vraiment bonne : faire ce que demande l'imprimeur !
+1 :up:

... et si tu ne peux pas avoir l'info de l'imprimeur, par prudence tu fais un fichier PostScript sur une imprimante virtuelle avec le PPD Adobe PDF et tu distilles ton fichier PostScript en PDF 1.3.
 
les autres ont suivi le conseil, sans bien savoir pourquoi, mais comme ça venait d'un pro, le conseil devait être bon... et aujourd'hui on se retrouve avec une légende urbaine complètement dépassée qui dit toujours qu'il faut utiliser des images EPS...
Chaque fois qu'on me dit ça je demande pourquoi : les réponses sont aussi irrationnelles que variées...
;)
 
Chaque fois qu'on me dit ça je demande pourquoi : les réponses sont aussi irrationnelles que variées...;)
Il y a peut-être aussi eu des RIP qui fonctionnaient mieux avec des images EPS qu'avec des TIFF... mais ça se passait il y a 20 ans !!! donc aujourd'hui le RIP en question il y a longtemps qu'il est parti à la benne !!!

... mais ça aussi c'est peut-être une légende urbaine : du genre un jour il y a un mec qui a eu des images en TIFF compressées en LZW qui n'ont pas voulu passer dans son RIP à cause de la compression LZW, et il en a faussement déduit que les TIFF ne marchaient pas dans son RIP et qu'il fallait des EPS...




Moi c'est pareil, à chaque fois que j'ai posé cette question, la seule réponse logique et cohérente que j'ai eue (à part les détourages et les bichromies), c'était que les prévisualisation EPS sont plus belles que les TIFF dans XPress...

... l'autre avantage parfois invoqué, était la possibilité de compresser en JPEG... sauf qu'avec XPress 3.x ou 4, ces images ne se voulaient plus se séparer en quadri, d'où problèmes de flashage : à l'époque, les EPS codés JPEG, c'était la bête noire des flasheurs... (mais ça n'empêchait pas quelques "graphistes" incompétents de continuer à les utiliser...)

... parfois, certains préféraient les images EPS-DCS pour je-ne-sais-quelle-raison (par masochisme peut-être ???), certains appréciaient particulièrement la compression JPEG dans des images DCS (plus efficace et moins destructive que dans une image normale)...

... et pour le reste, j'ai eu des réponses allant de farfelues ou débiles à complètement fausses... en passant par l'inévitable "parceque j'ai toujours fait comme ça" ou "parceque ça fait 20 ans que je fais comme ça"... (avec parfois en plus : "et que je ne vois pas de raison de changer") !!!
 
c'était que les prévisualisation EPS sont plus belles que les TIFF dans XPress...
Après un petit réglage (ignoré par beaucoup d'utilisateurs) dans les Préférences d'XPress j'ai toujours préféré les TIFF parce que les prévisus étaient plus belles, même si la conversion (des previsus) en RVB donnait des couleurs un peu criardes...


l'autre avantage parfois invoqué, était la possibilité de compresser en JPEG... sauf qu'avec XPress 3.x ou 4, ces images ne se voulaient plus se séparer en quadri, d'où problèmes de flashage : à l'époque, les EPS codés JPEG, c'était la bête noire des flasheurs... (mais ça n'empêchait pas quelques "graphistes" incompétents de continuer à les utiliser...)
A une époque j'ai travaillé chez un flasheur qui redoutait lui aussi ce type d'image, jusqu'à ce que je lui montre la petite case à cocher (non cochée par défaut) qui permettait de les traiter comme les autres. Lui n'avait pas osé y toucher parce que "c'est le commercial qui avait tout paramétré et que lui (le flasheur) n'y connaissait rien" (il s'agissait d'un RIP Harlequin).
Ce problème avait en fait plus à voir avec la (l'in)capacité du RIP que avec XPress lui-même.

A incompétent, incompétent et demi...

:cool:
 
Après un petit réglage (ignoré par beaucoup d'utilisateurs) dans les Préférences d'XPress
Oui : à partir de XPress 4, "TIFF couleurs en 24 ou 32 bits" (certaines versions n'avaient que "32 bits" d'autres avaient 24 ou 32...)




A une époque j'ai travaillé chez un flasheur qui redoutait lui aussi ce type d'image, jusqu'à ce que je lui montre la petite case à cocher (non cochée par défaut) qui permettait de les traiter comme les autres. Lui n'avait pas osé y toucher parce que "c'est le commercial qui avait tout paramétré et que lui (le flasheur) n'y connaissait rien" (il s'agissait d'un RIP Harlequin).
Ce problème avait en fait plus à voir avec la (l'in)capacité du RIP que avec XPress lui-même.
Non, non... ce n'est pas un problème de RIP : là, le problème vient uniquement du couple XPress+EPS/JPEG, puisque avec XPress 3.3x et 4 (et peut-être 5), quel que soit l'imprimante sélectionnée, donc quel que soit le RIP, quand l'utilisateur envoie le doc à l'impression en demandant la séparation par XPress, XPress envoie les images EPS codées JPEG en composite sur le film du noir... donc elles sortent normalement en gris.

D'ailleurs c'est facile à vérifier : tu sors un fichier PostScript en séparation depuis XPress 4 à partir d'un doc contenant une image EPS codée JPEG, et tu ouvres le fichier PostScript, et là tu vois bien que cette image est en couleur sur la séparation du noir et qu'elle est absente sur les 3 autres couches... donc elle a bien été envoyée par XPress en composite sur la couche du noir uniquement : c'est bien XPress qui déconne.

La seule solution pour flasher correctement les EPS/JPEG en séparation avec un RIP "normal" (genre le Viper 1.9 (très basique) que j'avais à l'époque), c'est de demander au RIP de faire la séparation lui-même, donc d'envoyer au RIP une demande d'impression en composite et d'activer l'option de séparation In-Rip.



Je ne connais pas suffisament l'Harlequin pour te répondre précisément sur ce cas, mais je sais que, très tôt, alors que les autres RIP n'avaient que des fonctions basiques, Global Graphic a ajouté à l'Harlequin quelques petites fonctions supplémentaires bien pratiques qui permettaient de régler automatiquement certains problèmes connus, répétitifs et pénibles... donc la petite case à cocher dont tu parles, c'est une de ces petites fonctions "magiques" spéciales de l'Harlequin, qui permet de réparer l'erreur d'XPress et donc de séparer correctement les EPS-JPEG mal traitées par XPress.

Ensuite, dans la version 6 de XPress, Quark a réussi à corriger le problème, et les EPS codées JPEG sont bien envoyées séparées correctement sur les 4 plaques CMJN.

Et dans InDesign, il n'y a jamais eu ce problème...
 
Cela dit, comme la plupart du temps on montre plutôt une sortie papier que l'écran au client, le problème de la prévisu écran ne concerne que peu de monde (ceux qui acceptent cette hérésie de mettre un client derrière un graphiste pendant que celui-ci travaille).
Concernant le niveau de prévue des TIFF, moi je l'ai toujours mis au mini pour justement avoir le droit de le retoucher en couleurs dans Xpress. Est-ce tj d'actualité dans le 6 (le besoin d'import au mini pour pouvoir retoucher la couleur) ?
Je préfère aussi avoir des images importées à 100 % (à condition de la réduire dans photoshop si besoin) et sans débord inutile afin d'avoir ET des tiff le plus légers possibles ET un fichier Xpress de même.
Car quand on importe une image, qu'on la réduit à 25 % et qu'il reste encore 200 mm de débord en dehors du bloc image, le poids du fichier s'en ressent.
Alors quand c'est une planche de cartes de visite mise en maquette A (soit 10 cartes par planche A4 en général) avec 10 pages, la différence de poids est énorme.

pourquoi je racotnes ça ? Ah oui ! Je me demande, si je mets des prévues TIFF à 32 au lieu de 8, par exemple, est-ce que ça va augmenter le poids de mon fichier Xpress ? SI oui, il faut vraiment y réfléchir à 2 fois à la nécessité de "belle vue".
 
(ceux qui acceptent cette hérésie de mettre un client derrière un graphiste pendant que celui-ci travaille).
Et aussi les exés qui acceptent de finir le travail ou de faire les corrections avec le client...





Je me demande, si je mets des prévues TIFF à 32 au lieu de 8, par exemple, est-ce que ça va augmenter le poids de mon fichier Xpress ?
Oui : chaque prévisualisation sera 4 fois plus lourde, et comme la prévisualisation est enregistrée dans le fichier XPress, le fichier XPress s'alourdit.

Pour calculer le poids de la prévisualisation en 8 bit à 72 ppi d'une image CMJN à 300 ppi, il faut :
- diviser 2 fois par 300/72 pour passer de 300 ppi à 72 ppi
- diviser par 4 pour passer de 32 bits à 8 bits...

... une image A4 CMJN 300 ppi pèse environ 35 Mo (avec du bord perdu), donc la prévisualisation 8 bits pèse (environ) 500 Ko...
... et la prévisualisation 32 bits pèse environ 2 Mo.
 
j'en reviens a ma naïveté première : les images enregistrées dans photoshop en tiff (cmjn), doivent être compréssées ou non? et si oui? lzw?

je posais aussi la question des transparences : cela fonctionne t'il correctement? Je ne sais pas pourquoi, je m'en méfie.

En fait à vous lire, tout s'est compliqué en quelques années. à priori la première simplicité de convertir les fichiers xpress eps à flasher, en une version PDF, qui ne bouge pas, renvoi tout le travail du photograveur chez le graphiste. les normes PDF/X, PDF/X-3 autres m'embrouillent un peu. mais bon, on y arriveras…
 
Personnellement j'évite la compression et les transparences. Mais je n'ai aucune raison CONCRÈTE de le faire, juste de la méfiance.
 
j'en reviens a ma naïveté première : les images enregistrées dans photoshop en tiff (cmjn), doivent être compréssées ou non? et si oui? lzw?
Oui, bien sur en LZW, ça gagne toujours un peu de place.
Si on ne travaille pas avec XPress on peut aussi utiliser les compressions ZIP ou JPG sans problème.

je posais aussi la question des transparences : cela fonctionne t'il correctement? Je ne sais pas pourquoi, je m'en méfie.
Ca fonctionne très bien, mais c'est comme un régulateur de vitesse dans une voiture : il ne faut pas faire n'importe quoi avec et ce n'est pas toujours pertinent. Il faut apprendre à s'en servir.

En fait à vous lire, tout s'est compliqué en quelques années. à priori la première simplicité de convertir les fichiers xpress eps à flasher, en une version PDF, qui ne bouge pas, renvoi tout le travail du photograveur chez le graphiste. les normes PDF/X, PDF/X-3 autres m'embrouillent un peu. mais bon, on y arriveras…
En fait cette impression est due au transfert de compétence : avant c'était le flasheur (dont moi !) qui se tapait tout le (sale) boulot et il fallait le payer, maintenant c'est celui qui prépare le PDF qui se fade le boulot de préparation (en se félicitant de ne plus avoir de frais de flashage).
La différence c'est que le flasheur connaissait (bien) sa machine (la flasheuse) et (pas trop mal) les besoins de ses clients (les imprimeurs), alors que le graphiste n'a que rarement accès à ces informations...

Mais sur le fond je trouve qu'aujourd'hui les choses sont nettement plus simples, plus compatibles et mieux organisées qu'il n'y a ne serait ce que 10 ans !

:up:
 
Cela dit, comme la plupart du temps on montre plutôt une sortie papier que l'écran au client, le problème de la prévisu écran ne concerne que peu de monde (ceux qui acceptent cette hérésie de mettre un client derrière un graphiste pendant que celui-ci travaille).
Concernant le niveau de prévue des TIFF, moi je l'ai toujours mis au mini pour justement avoir le droit de le retoucher en couleurs dans Xpress. Est-ce tj d'actualité dans le 6 (le besoin d'import au mini pour pouvoir retoucher la couleur) ?
Je préfère aussi avoir des images importées à 100 % (à condition de la réduire dans photoshop si besoin) et sans débord inutile afin d'avoir ET des tiff le plus légers possibles ET un fichier Xpress de même.
Car quand on importe une image, qu'on la réduit à 25 % et qu'il reste encore 200 mm de débord en dehors du bloc image, le poids du fichier s'en ressent.
Alors quand c'est une planche de cartes de visite mise en maquette A (soit 10 cartes par planche A4 en général) avec 10 pages, la différence de poids est énorme.

pourquoi je racotnes ça ? Ah oui ! Je me demande, si je mets des prévues TIFF à 32 au lieu de 8, par exemple, est-ce que ça va augmenter le poids de mon fichier Xpress ? SI oui, il faut vraiment y réfléchir à 2 fois à la nécessité de "belle vue".


Je pense que c'est la machine qui est au service de l'homme, et non l'inverse.
Tous ces calculs et ces interrogations sont d'un autre âge...
 
Oui, bien sur en LZW, ça gagne toujours un peu de place.
Avec un petit bémol : XPress nativement ne sait pas importer des TIFF compressés en LZW...

... et en fait il ne le peut que grâce à une extension qui est normalement installée et activée par défaut... sauf si elle a été désactivée pour une raison quelconque.

Et les TIFF LZW plantent certains RIP (dont le mien...) donc, à éviter sans demander avant à l'imprimeur.



Si on ne travaille pas avec XPress on peut aussi utiliser les compressions ZIP ou JPG sans problème.
ZIP, sans problème...

... JPEG avec les problèmes standard du JPEG, donc à bien connaître et à bien maîtriser... et au final tu te retrouves quand-même avec une image que tu crois en TIFF et qui est en fait en JPEG : même piège qu'avec les put@#& de salo+/§> d'EPS codées en JPEG.


En fait cette impression est due au transfert de compétence : avant c'était le flasheur (dont moi !) qui se tapait tout le (sale) boulot et il fallait le payer, maintenant c'est celui qui prépare le PDF qui se fade le boulot de préparation (en se félicitant de ne plus avoir de frais de flashage).
Oui... mais c'est plus qu'un transfert de compétence, c'est aussi un transfert de responsabilité : il n'a plus de frais de flashage, mais il n'a plus personne non plus pour rectifier ses malfaçons et ses erreurs de conception de son fichier..., et la fabrication du PDF ajoute en plus des risques d'erreurs et de malfaçons...

... donc souvent celui qui prépare le PDF se félicite de ne plus avoir de frais de flashage, mais sans bien comprendre que si il merde son fichier natif et/ou son PDF, il y aura des problèmes au flashage, problèmes dont il sera responsable, et qu'il sera aussi responsable des erreurs à l'impression... et que là l'imprimeur lui répondra : "Mais Monsieur, c'est VOTRE PDF, fait PAR VOUS à partir de VOTRE fichier natif, donc ce sont VOS ERREURS, et je n'en suis pas responsable... si vous voulez, on peut corriger et ré-imprimer, mais ce sera entièrement à vos frais"...

... alors à manier avec prudence !!!



La différence c'est que le flasheur connaissait (bien) sa machine (la flasheuse) et (pas trop mal) les besoins de ses clients (les imprimeurs), alors que le graphiste n'a que rarement accès à ces informations...
Et que le flasheur était formé au travail de flashage... et le boulot de préparation d'un PDF n'est pas très différent d'un travail de flashage...

... et c'est là que je trouve que le système est quand-même quelquepart un peu pervers, car on demande maintenant aux graphistes de faire un travail de préparation comme pour du flashage, ce qui d'abord n'est pas leur travail, et dont ensuite on sait qu'ils ne sont pas formés pour le faire, qu'ils n'ont pas les infos nécessaire pour le faire et qu'ils ne sont pas capables de le faire, comme ils l'ont largement montré par le passé...

... tout en leur mettant sur le dos toute la responsabilité de ce travail qu'ils ne savent pas faire !!! (et c'est parfois assez horrible...)
 
hello, bien d'accord avec le commentaire de claude72. J'ai fait du flashage, j'ai travaillé sur mac + à faire de la quadri et de la séparation "manuelle" des fichiers informatique, (un peu une tambouille bizarre, mais qui marchait). Et puis là, paf, il faut m'y remettre…

bon, autre chose. à mon écran, j'ai des couleurs formidables, saturées, bref, c'est un travail superbe, mais quand j'imprime sur ma jet d'encre (oui, je sais), tout est pâle : Normal?

merci
 
Et les TIFF LZW plantent certains RIP (dont le mien...) donc, à éviter sans demander avant à l'imprimeur.
Je suis toujours dans l'idée que c'est un PDF que l'on fourni à l'imprimeur, auquel cas on peut bien utiliser les formats que l'on veut dans le fichier natif du moment que le PDF est correct...

Par contre dans le cas où l'on fourni un fichier natif le mieux est effectivement de se renseigner avant.

;)