Mes surs zé mes frères, en cette fin d'année marquée, comme depuis près de deux siècles maintenant, par les fêtes de Noël, qui, pour être païennes d'origine n'en sont pas moins l'expression de la nativité chrétienne, je vous demande de faire preuve d'un peu de compassion pour nos brebis malades.
Depuis plusieurs jours maintenant, une sourde violence s'est installée à l'encontre du plus chétif, du plus pauvre, du moins préparé d'entre nous à l'affrontement d'avec le monde réel.
Ce pêcheur, qui tend si bien le bâton pour se faire battre, n'en est pas moins un être plein de faiblesse et de sensibilité.
Sa débilité apparente, et souvent passagère, ne doit pas masquer nos propres erreurs.
Sa jeunesse certes n'explique pas tout. Il est à craindre en effet qu'une éducation nourrie au sein des images faciles, d'une doltomanie mal digérée et d'un excès de gibolin aient produit, fortuitement, cette sorte de dégénérescence que représente aux yeux de certains le Simplet Minaudeur Gonflé.
Pourtant, qui ne voit que ses maladresses, ses cris désespérés pour mener à bien des entreprises aussi périlleuses qu'une rédaction, ou même sa folle quête d'un travail bien rémunéré correspondant à son absence de talent et de capacités ne sont, en fait, que le seul média par lequel Sa Magnifique Gelée essaie de communiquer avec ceux qu'il souhaite être ses semblables.
Il y a peu encore, une revenante d'entre toutes s'est offusquée de la réintégration après bannissement du Sale Mauvais Geignard.
Ce n'est pas charitable.
En ces heures où le petit Jésus tire les bénéfices d'un plan marketing qui a survécu à toutes les crises boursières, il n'est que temps de prendre sur nous, et de nous préparer pour la prochaine année avec la meilleure des bonnes résolutions :
Ne plus insulter le Sado Masochiste Gesticuleur que dans une occasion sur deux.
C'est en tout cas dans cet état d'esprit ouvert, chaste et modéré que je m'en irais passer la Noël autour de la dinde et de son consommé.
Depuis plusieurs jours maintenant, une sourde violence s'est installée à l'encontre du plus chétif, du plus pauvre, du moins préparé d'entre nous à l'affrontement d'avec le monde réel.
Ce pêcheur, qui tend si bien le bâton pour se faire battre, n'en est pas moins un être plein de faiblesse et de sensibilité.
Sa débilité apparente, et souvent passagère, ne doit pas masquer nos propres erreurs.
Sa jeunesse certes n'explique pas tout. Il est à craindre en effet qu'une éducation nourrie au sein des images faciles, d'une doltomanie mal digérée et d'un excès de gibolin aient produit, fortuitement, cette sorte de dégénérescence que représente aux yeux de certains le Simplet Minaudeur Gonflé.
Pourtant, qui ne voit que ses maladresses, ses cris désespérés pour mener à bien des entreprises aussi périlleuses qu'une rédaction, ou même sa folle quête d'un travail bien rémunéré correspondant à son absence de talent et de capacités ne sont, en fait, que le seul média par lequel Sa Magnifique Gelée essaie de communiquer avec ceux qu'il souhaite être ses semblables.
Il y a peu encore, une revenante d'entre toutes s'est offusquée de la réintégration après bannissement du Sale Mauvais Geignard.
Ce n'est pas charitable.
En ces heures où le petit Jésus tire les bénéfices d'un plan marketing qui a survécu à toutes les crises boursières, il n'est que temps de prendre sur nous, et de nous préparer pour la prochaine année avec la meilleure des bonnes résolutions :
Ne plus insulter le Sado Masochiste Gesticuleur que dans une occasion sur deux.
C'est en tout cas dans cet état d'esprit ouvert, chaste et modéré que je m'en irais passer la Noël autour de la dinde et de son consommé.
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