À la recherche d'avis sur "un essai biographique"

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Invité
Votre communauté MacGé, vous, me semblez assez bien dans votre façon de penser, de voir les choses. Comme il ne sera jamais publié, j'aimerai avoir des avis extérieurs, de personne autre que mes parents ? Dans un premier temps, je posterai des bribes de mon essai d'écriture. Elle commencera par ma vie d'avant mon accident puis celle d'après.
Je recherche simplement des avis sur la forme pas le fond comme je n'ai pas de nouveaux amis, g des difficultés à m'exprimer, depuis mon AVP. Avant que je lance, me dévoile : Quel est votre avis sur ce que je m'apprête à vous livrer ?
 
Mes amis,

Quand WheelNelly est venue me demander mon avis sur la création de ce sujet, j'ai de suite repensé au message qu'elle vous a cité dans son second post. Il m'en restait des bribes en mémoire. Comme il m'était revenu ma réponse d'alors que je vous reformulerai ainsi.

N'allant que trop rarement dans les forums techniques, je n'avais jamais croisé un message de cette jeune femme. Mais au ton de sa vigoureuse irruption dans ma vie numérique, j'ai bien vite compris sa détermination à nous interpeller sur notre orgueil et cet entrain, bien français, à nous plaindre de la moindre contrariété entravant notre liberté de mouvement. Ce fichu confinement obligatoire nous obligeait à vivre entre nos quatre murs. Malheureux nous étions… Nous souffrions tellement de cette situation. Nous avions juste oublié combien nous étions chanceux de pouvoir marcher sur nos deux jambes ! Ayant de suite compris la délicate situation de cette jeune femme, exprimée en filigrane dans sa première intervention, je l'avais invité à poursuivre le partage de sa situation dans un sujet dédié.

Aussi, lorsqu'elle est venue me faire cette demande si particulière, je lui ai formulé deux propositions, ouvrir un sujet public ou monter un groupe de scribes triés sur le volet. L'intimité d'une conversation entre membres diligents évite bien des écarts de langage de la part du reste de la faune fréquentant ces forums – si vous voyez ce que je veux dire…

Après un instant d'hésitation, la détermination sans bornes pousse aujourd'hui WheelNelly à ouvrir un sujet pour nous demander notre avis sur la construction de son récit autobiographique. Mais pas question pour elle de déballer sa vie sans contrepartie, ni nous d'assouvir une curiosité mal placée sans lui rendre la pareille.

En conséquence mes amis et après en avoir discuté avec Romuald, un ami numérique, puis Anthony, notre administrateur, je vous propose dans un premier temps de vous porter candidat à l'exercice littéraire dans ce sujet. Ensuite, nous vous rassemblerons dans un groupe privé afin de prodiguer conseils et talents littéraires auprès de WheelNelly.

Pour tout vous dire mes amis, je pensais vous demander d'écrire une courte autobiographie suivie d'une explication de texte. De telle sorte que vos récits et commentaires servent de support pour WheelNelly et ainsi l'aider dans la finalisation de son expression écrite. Mais bon, si vous vous cachez derrière un pseudo et un avatar, ce n'est pas pour déballer vos vies en public de cette manière…

Donc en premier lieu, vous êtes invités à vous faire connaitre ici même. Et dans un second temps, il vous sera demandé de fournir au groupe constitué une « preuve littérale » de votre aptitude à suivre le déroulé et ainsi apporter votre soutien à WheelNelly, la belle princesse carrossée de MacGé !

Par conséquent, mes amis, que vous soyez écrivain, agrégé de lettres modernes ou anciennes, professeur de français, féru de biographies, bibliophage ou comme votre modérateur adoré simple polygraphe et que vous souhaitez donner de votre personne pour aider WheelNelly à développer son talent d'écriture ; vous êtes tombés au bon endroit !

Avant de vous laisser la main, j'en terminerai avec un fait connu de tous ici ou presque, je ne suis pas un littéraire. Palsambleu ! Mes références en la matière sont chiches. Je verse depuis l'enfance dans les arts plastiques. Mes bribes de savoirs découlent de mes pairs et de leurs aphorismes. Et parmi ceux-ci, il y a Joseph Beuys. Et son leitmotiv était le suivant. « Nous sommes tous des artistes. » En substance, cela revient à dire la chose suivante. "Si nous ne sommes pas tous capables de créer de belles œuvres, nous sommes cependant tous capables de créer, de puiser en nous les signes d'une créativité à même de changer les fondements de nos vies et ainsi libérer la création du carcan de la société capitaliste afin de porter au monde visible, une culture nouvelle basée sur les relations humaines, l'art social."



(mes amis, inutile de vous préciser la chose suivante mais quand même : tout message contrevenant au bon déroulement du sujet se verra très sévèrement sanctionné…)
 
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Comme je compte bien participer, je me plie à l'exercice. Et je le fais en public car depuis mes premiers pas sur ce forum, je n'ai jamais caché celui que je suis. Vous n'apprendrez donc rien ou presque de nouveau sur moi.

C'est juste pour vous donner un exemple de ce que la belle Nelly, Anthony et moi-même attendons de vous. Ce récit personnel peut couvrir une heure, une semaine, une année ou votre vie entière, peu importe pourvu qu'il soit un reflet fidèle.

Je ne vous force pas la main, les amis, vous pouvez venir vous identifier et attendre un message de notre part pour livrer à la belle Nelly, un bout de vous. Personnellement, je suis très porté sur l'écriture nombriliste. J'ai déjà un dossier compilant textes et notes sur l'égotisme. Et comme il était difficile pour moi de gommer des pans de textes pour l'exercice, j'ai écris un court récit pour l'occasion. Ça n'est pas relu ou presque. Mais l'essentiel est là. Je reconnais bien mon style. Pas franchement académique certes mais il se tient, c'est l'essentiel… ^^

Vers l'âge de sept ans, j'ai voulu faire de la danse. Maman n'était pas contre. Seulement, elle préféra suivre les vues de l'esprit de Papa. La danse, c'est pour les filles ! Je voulais me dandiner, soit. Je fus donc inscrit au club de gymnastique du coin. Sauf que sorti des roues, roulades et autres bonds sur le cheval d'arçon, je détestais le reste des agrès. J'ai finalement bien vite abandonné ce rêve de me mouvoir dans l'espace…

Après que Maman eut foutu Papa dehors, au motif qu'il n'était qu'un minable alcoolique dépensier. Maman chercha alors comment occuper sa marmaille. Mais plus question pour moi de danser, je voulais maintenant dessiner ! Je fus donc inscrit dans un cours au sein d'une MJC. La formation tenait plus de la libre expression que l'apprentissage et la maîtrise du trait, des outils et couleurs. Voyant que ce rêve aussi m'échappait, Maman chercha un cours plus adapté à mon désir de création.

Elle m'emmena voir un atelier tenu par une artiste peintre. Perdue dans la campagne et face au château du village, une fermette à colombages se dressait au milieu d'un pré. Après avoir sonné au portillon, une femme sortit par une porte de la longère aménagée. Elle vînt nous accueillir. Maman déclina nos identités. La femme nous dirigea vers une autre porte de ce bâtiment en long. Celle-ci donnait sur son atelier.

Il y avait là des toiles achevées ou en cours accrochées et posées de-ci de de-là, des cartons à dessin adossés aux murs, des rames de papiers, pots de pinceaux et boîtes pleines de tubes de peinture à l'huile sur les étagères et une table en long. Des années durant, j'ai passé mes mercredis après-midi à apprendre les bases du dessin. Cette professeur me faisait copier les classiques, peindre assis à même l'herbe différents point de vue du quartier alentour et ainsi maîtriser les gestes essentiels de la peinture figurative.

Rapidement mes œuvres habillèrent les murs de la maison. Et tout aussi rapidement, un destin, je me forgeais. Arrivé au lycée, l'art moderne et contemporain remplaça dare-dare l'art figuratif de mes premiers temps. Et après des années d'une scolarité chaotique et hachée, un obstacle me séparait encore de la femme qui m'avait mis le pied à l'étrier, un atelier-logement. Je n'étais pas une fille et pourtant… C'est en compagnie d'un garçon que nous sommes installé dans ce qui est depuis près de vingt ans, notre logement et surtout mon atelier !


Et l'explication

Dans mon texte, je passe toujours par les termes Papa, Maman (avec une majuscule) parce que j'ai toujours appelé mes parents ainsi. C'est aussi plus intimiste, enfantin diront certains. Mais j'aime cette forme de proximité, et avec le lecteur, et avec mes géniteurs, et avec moi-même.

Ensuite, je pars d'un "rêve d'enfant à l'âge de raison" brisé dans l'œuf pour une raison ridicule et contraste avec son contraire à la fin du texte. Les lettrés me tacleront pour ma terminologie mais l'idée d'ellipse, de genèse et de boucle dans le récit compte beaucoup. J'essaie d'utiliser l'effet du déjà lu, du flashback dans le texte. Car en fin de compte, la vie est un cycle et un éternel recommencement.

Cette même idée de boucle est apportée entre le passage sur la découverte de l'atelier-logement de ma formatrice en arts plastiques et la conclusion du récit ouvrant sur le mien.

Après sur la structure, le premier paragraphe énonce un rêve transformé en échec, le deuxième un rêve de second choix glissant vers une amorce d'échec, le troisième remet ce rêve en selle et entrouvre une porte, un espoir, le quatrième détaille un temps fort, mon rêve éveillé et le cinquième poursuit ce temps fort, renvoie au passé et ouvre sur un bonheur enfin atteint.

Et sur la forme, je suis le narrateur. Je suis partie prenante du texte lu. Je ne m'extériorise pas sous la forme d'un narrateur racontant un vécu. Les phrases sont pour la plupart courtes. Les phrases longues sont réservées à la description. À la découverte du lieu magique où je fus formé.

;)
 
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On peut dire que j'ai mal débuté dans la vie ... Né grand prématuré en 1949, les médecins avaient jugé que mon espérance de vie ne dépasserait pas 3 mois et avaient conseillé à mes parents de me laisser à l'hôpital pour pouvoir me prodiguer les soins adéquats.

Une semaine après, j'étais à la maison entouré de l'amour et des soins de mes parents et de mes grands parents à qui je dois d'être encore en vie aujourd'hui (et merci en passant à l'huile de foie de morue dont j'ai été gavé pendant de nombreuses années ... :hilarious: ).

Les 10 premières années ont été relativement difficiles ... chétif et peureux j'étais harcelé à l'école - c'est toujours les plus petits qu'on spotche - et je n'attendais qu'une seule chose, c'était de rentrer chez moi pour retrouver tout l'amour débordant de ma famille !

Les cours de natation étaient d'une horreur sans nom pour moi - en effet, j'avais une véritable phobie de l'eau ce qui provoquait une avalanche de quolibets tant de la part des moniteurs que des autres élèves.

Le supplice était tel que la veille des cours de natation j'étais dans un état de frayeur et d'angoisse dont je me souviens avec horreur encore aujourd'hui - et, ce qui n'arrangeait rien, mes parents n'hésitaient pas à me faire des attestations me permettant d'éviter ce supplice.

Un matin, je me suis levé en me disant : "Bon ! C'est fini tout ça !" et j'étais fermement décidé à mourir s'il le fallait !

Alors, à la piscine, en sortant de ma cabine je me suis jeté dans le "grand bain" avant même de me doucher à la grande surprise des moniteurs - et là, ce fut une sorte de résurrection : je flottais et je nageais comme les autres ... finies les angoisses et envolée la frayeur.

Ce fut le début d'une grande passion ... Je passais brevet sur brevet et je participais même à des compétitions régionales avec un certain succès au grand bonheur de mes parents qui étaient toujours là pour me supporter.

Quand je réfléchis à cette situation, je suis certain que ma vraie vie a débuté ce jour-là ! Le déclic était enfin arrivé !

J'ai commencé à pratiquer le sport de façon immodérée : natation (bien entendu), sports de combat (judo, karate) ce qui, entre nous, m'a permis de foutre une bonne trempe à ceux qui me harcelaient, et parachutisme (ma dernière passion en date ).

J'ai toujours voulu prouver à mes parents que, prématuré ou pas, c'était grâce à eux que j'étais capable d'être parmi les meilleurs ... c'était ma façon de les remercier.

En 1969, je me suis engagé en qualité de volontaire chez les paras ... non pas par patriotisme exacerbé, mais par besoin de me dépasser en me disant que si je résistais à cette épreuve durant 2 années, je serai capable de résister à tout !

Et ce jour-là, pour la première fois, j'ai vu ma Mère pleurer ! :(

Et j'ai résisté jusqu'au bout en me souvenant de ce qu'on m'avait dit le premier soir : "Ici, vous souffrirez jusqu'à la limite de vos forces, mais dites vous bien qu'à l'avenir, vous ne souffrirez jamais autant que ce que vous avez souffert ici !"

Et ils avaient raison, cette période a forgé mon caractère et a conditionné le reste de ma vie ... Who dares wins !

Ensuite, la vie "normale" a repris son cours, émaillée de grandes joies - mon mariage, la naissance de mes 3 enfants et de mes 4 petits enfants - et de drames - la mort de mes parents tant aimés, le décès de mon épouse en 2014 après 42 années d'un mariage sans nuages - bref, les drames que chacun d'entre nous est susceptible de connaître au cours de notre passage ici bas.

Ce qui m'a sauvé après un démarrage un peu "difficile", c'est l'amour de mes parents et de ma famille en général et l'amour des autres - Quant à moi, les épreuves rencontrées durant la première partie de ma vie m'ont permis de garder la niaque et de résister envers et contre tout aux aléas qui font partie de notre quotidien.

Alors, je dis : "Merci la vie" ... Même si parfois c'est difficile !
 
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Pour Nelly

Mon avis est que tu as entièrement raison d'écrire ce que tu ressens ... L'écriture est pour moi la meilleure des thérapies car elle permet de "mettre à plat" tous les sentiments et de faire un "rewind" quand l'envie se fait sentir - nos sentiments sont mouvants et parfois volatiles ... en garder une trace immuable tel un film qu'on peut revoir à l'envie est, à mon sens indispensable.

Quand mon épouse est décédée en 2014, j'ai commencé à noircir des tonnes de papier pour ne jamais oublier les sentiments que j'éprouvais à son égard - une façon de transcrire l'amour et le bonheur que j'avais connus avec elle.

J'appelais cela mon "labyrinthe des chagrins" et encore aujourd'hui, de temps en temps, je le reprends et je le complète au gré de mes envies.

Dans ma signature, tu constateras que je suis "A la recherche des bonheurs oubliés ou perdus" ... Et bien, ces bonheurs je les retrouve en relisant mon fatras de feuilles noircies ... avec quelques larmes en plus !

Alors vas-y Nelly !!! :up:
 
Votre communauté MacGé, vous, me semblez assez bien dans votre façon de penser, de voir les choses. Comme il ne sera jamais publié, j'aimerai avoir des avis extérieurs, de personne autre que mes parents ? Dans un premier temps, je posterai des bribes de mon essai d'écriture. Elle commencera par ma vie d'avant mon accident puis celle d'après.
Je recherche simplement des avis sur la forme pas le fond comme je n'ai pas de nouveaux amis, g des difficultés à m'exprimer, depuis mon AVP. Avant que je lance, me dévoile : Quel est votre avis sur ce que je m'apprête à vous livrer ?

Comme tu le dis, tes écrits ne seront jamais publiés ce qui te permet de passer outre l'obligation de respecter les formes littéraires bien établies.

Mon "labyrinthe des chagrins" m'est avant tout destiné et plus tard, il appartiendra à mes enfants et petits enfants.

C'est la raison pour laquelle, j'ai choisi la forme d'un "journal" dans lequel je retranscris un peu tout et n'importe quoi parce que tu t'apercevras que c'est le "n'importe quoi" qui s'échappe le plus vite !

Je le complète quand j'en ai envie et quand les souvenirs me reviennent sans aucun respect de la chronologie des événements - je note simplement la date à laquelle j'ai écrit ces mots !

Hier, par exemple, à la date du 6 mai j'ai simplement écrit : "Il fait beau ! Ni trop chaud ni trop froid ... si tu étais encore là, nous aurions été à Ostende, sur la jetée, pour regarder les bateaux ... J'aurais bien ri en te regardant te battre avec les mouettes ... tu les détestais !"

Peut-être qu'un jour, dans quelques années, je vais retomber sur ce mot écrit le 6 mai 2020 et ce mot m'arrachera un sourire ... ou une larme, qui sait ?

L'important est de se raccrocher à quelque chose, de ne rien oublier ... et pour moi, ces quelques 150 pages sont précieuses ... elles me rappellent que j'ai aimé, que j'ai été aimé et que j'ai été heureux ... la vie, quoi !

Maintenant, c'est à toi de choisir le style qui te convient ... moi j'ai choisi le style débridé et décousu ... libre à toi de choisir TON style ... l'important est de savoir que la lumière sera au bout de cette thérapie (peut-être ?)
 
Bonjour à tous,

Je m'inscris moi aussi pour faire partie du groupe après accord.
Nelly, tu demandes notre avis sur la forme, mais comment la séparer du fond et ne pas être d'emblée profondément ému ?
Je peux en dire de même pour les textes d'aCLR et de The Big.
Je posterai le moment venu, à tête reposée. D'une certaine façon, j'ai eu et j'ai une vie quelconque. Mais en balayant le cours de cette vie, je m'étonne de l'inattendu et des rencontres, dont ce fil pourrait très bien faire partie.
 
Je ne crois pas que ton but soit de faire une biographie pure et dure - cela n'aurait pas de sens en tant que "thérapie".

Si je peux me permettre et si j'étais à ta place, le point de départ pourrait être celui de ton accident qui représente le fait dramatique qui a engendré ton besoin de t'exprimer et de débuter cette "thérapie".

Au fur et à mesure, j'y ajouterais des flash back faisant référence à ta vie antérieure, familiale, professionnelle, amoureuse et qui te permettront de te situer dans une sphère plus générale afin de ne rien oublier.

Mon point de départ a été le décès de mon épouse - jamais auparavant je n'aurais envisagé de créer un journal.

J'ai donc démarré le 18 avril 2014 en couchant sur papier les sentiments éprouvés dans l'instant dramatique que j'avais vécu et automatiquement, les références au passé se sont greffées et se sont imbriquées dans l'histoire que je voulais évoquer.

Au début de l'écriture, on se trouve dans un marasme difficile à détricoter mais, au fur et à mesure des jours les idées s'éclaircissent et on peut se permettre de réagir dans l'instant : une pensée, un souvenir fugace et hop, en quelques minutes tout est couché sur le papier.

Mais, je le répète, l'écriture et le partage sont des thérapies extraordinaires ... Qu'importe la forme ! L'important est de pouvoir faire un "rewind" quand on le désire !
 
Je fus certainement la responsable de ses premières foulées d’après ce qu’en disent mes parents. Comme elle n’était pas des plus pressées, il paraîtrait que je l’aurais légèrement poussé dans la descente de la maison louée pour l’été.
En dévalant cette petite butte, elle réussit à ralentir son élan en se mettant droit sur ses jambes.

C'est exactement le genre de souvenirs qui justifient de tenir un journal ... non seulement c'est écrit, mais c'est aussi visuel ! Je t'imagine bien pousser "délicatement" ta petite soeur dans la descente ! :hilarious:
 
Merci de nous faire confiance et de partager ces moments de vie avec nous ! :merci:

Comme j'ai une imagination débordante et parfois débridée, je visualise bien tes moments de bonheur au travers de tes écrits ... ta petite soeur qui dévale la pente ... ton amour pour les chevaux ... les chênes centenaires ... ton french kiss ... :kiss:

Mais je présume que le pire est à venir ... :(

Toutefois, tu me sembles une personne de caractère susceptible de surmonter bien des épreuves - et comme moi, tu es Sagittaire ! ;)

Je te fais confiance pour la suite ...
 
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