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Tout est dans le titre. Racontez comment vous lavez rencontré(e) et les trésors de persuasion quil a fallu déployer pour lattirer dans votre
vie (bande de nases !).
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ce sujet fait très :" bon les gars postez ici je sais pas comment m'y prendre avec les filles donnez moi des idées"
c'est ptet pour cela qu'il decolle pas le topic
c'est ptet pour cela qu'il decolle pas le topic
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Alex666 a dit:ce sujet fait très :" bon les gars postez ici je sais pas comment m'y prendre avec les filles donnez moi des idées"
c'est ptet pour cela qu'il decolle pas le topic
Alex666 a dit:ce sujet fait très :" bon les gars postez ici je sais pas comment m'y prendre avec les filles donnez moi des idées"
c'est ptet pour cela qu'il decolle pas le topic
S'il ne décolle pas, c'est que personne ne veut se lancer.
Ca veut bien raconter des conneries, mais après ça la joue "vie privée" dès que ça devient perso.
Sans compter ceux qui flippent de se faire chambrer.
PetIrix a dit:S'il ne décolle pas, c'est que personne ne veut se lancer.
Ca veut bien raconter des conneries, mais après ça la joue "vie privée" dès que ça devient perso.
Sans compter ceux qui flippent de se faire chambrer.
je ne serai pas plus "courageux" que tu ne l'es...
MackZeKnife a dit:
Ce n'est pas un manque de courage.
Je n'ai rien à dire, parce que je n'ai jamais fait preuve d'ingéniosité en quoi que ce soit.
Je suis l'anti Don Juan.
Je ne suis pas un séducteur.
Vous raconter mon petit déjeuner serait certainement plus palpitant.
J'ai commencé hier soir en rentrant du boulot à écrire pour ce post comment j'ai rencontré ma compagne.
Silvia m'a demandé ce que je faisais et nous en avons discuté et les souvenirs, les images étaient tellement agréables que je me suis déconnecté de mon mac.
Ce sera pour un autre soir.
(le matin ne s'y prête pas.)
Silvia m'a demandé ce que je faisais et nous en avons discuté et les souvenirs, les images étaient tellement agréables que je me suis déconnecté de mon mac.
Ce sera pour un autre soir.
(le matin ne s'y prête pas.)
Foguenne a dit:... et les souvenirs, les images étaient tellement agréables que je me suis déconnecté de mon mac.
Pour quoi faire
Je suis allée en Chine cet été.. et oui!
Magnifiqe, énorme... évidement!
Ma collegue , qui est chinoise, aurait bien aimé que moi et un de ses ami (qui habite là-bas) nous ayons un petit coup de foudre...
Oui mais voilà, ça ne se programme pas ça!
J'ai tout de même passé 10 jours exceptionnels, à Tianjin et Pékin.
Au retour, dans l'avion, j'étais à côté d'un français d'origine chinoise et de son fils.
10 heures côte à côte
10 heures à parler
10 heures à ...
enfin bref
On s'est revu et depuis, c'est l'amour...
A l'heure où j'écris, il est dans l'avion, direction Pékin, 15 jours pour le travail.
Et moi, j'y retourne l'année prochaine avec lui...
Magnifiqe, énorme... évidement!
Ma collegue , qui est chinoise, aurait bien aimé que moi et un de ses ami (qui habite là-bas) nous ayons un petit coup de foudre...
Oui mais voilà, ça ne se programme pas ça!
J'ai tout de même passé 10 jours exceptionnels, à Tianjin et Pékin.
Au retour, dans l'avion, j'étais à côté d'un français d'origine chinoise et de son fils.
10 heures côte à côte
10 heures à parler
10 heures à ...
enfin bref
On s'est revu et depuis, c'est l'amour...
A l'heure où j'écris, il est dans l'avion, direction Pékin, 15 jours pour le travail.
Et moi, j'y retourne l'année prochaine avec lui...
Des trésors de persuasion, ce n'est pas ce que j'ai employé, je ne suis pas non plus un séducteur.
Il existe par contre plusieurs points amusants à propos de notre histoire.
D'abord, nous avons habité plus d'un an dans des rues voisines sans jamais nous rencontrer. Ses parents étaient boulangers et je suis plusieurs fois allé acheter pain ou croissants chez eux sans la voir.
C'est dans une association que nous avons fini par nous rencontrer.
Elle était secrétaire de l'association, rédigeait le journal d'information interne, et je me suis naturellement proposé pour l'aider. Nous ne le savions pas, mais le journal interne avait été surnommé le journal intime par les autres membres.
Il m'a quand même fallu 6 mois pour me déclarer (je sais, quel courage !); en fait, j'étais à la recherche d'un appartement, elle m'a dit que ses parents en avaient un à louer, au dessus du sien. "Pourquoi pas ?" ai-je répondu, l'air faussement détaché...
La première nuit, je n'ai pas pu fermer l'il de la sentir si proche et le matin, devant mes valises oculaires son sourire amusé m'avait donné envie de disparaître sur le champ...
C'est donc le soir suivant que j'ai tenté ma chance, la discussion s'étant prolongée assez tard chez elle. Nous étions debout dans le couloir, et quand je l'ai embrassée, je l'ai appuyée sur le mur, au dessus du radiateur. Nous avons depuis souvent regardé ce radiateur avec émotion, et quand à l'occasion de travaux il a fallu l'enlever, nous avons longuement hésité et un peu de tristesse nous a envahit, tellement il était chargé de souvenirs pour nous. Il nous arrive d'ailleurs encore de nous embrasser avec passion, appuyés à cet endroit du mur, et de nous remémorer ce moment magique.
Pour me rattraper de mes 6 mois d'hésitation, je lui ai parlé mariage une semaine après, un an après c'était chose faite, un an après encore, notre fille naissait. Elle est âgée maintenant de douze ans et notre amour grandit un peu chaque jour en même temps qu'elle, nous en avons créé du nouveau pour elle et ça a beau être impalpable, c'est la plus belle chose qui existe sur cette terre.
Il existe par contre plusieurs points amusants à propos de notre histoire.
D'abord, nous avons habité plus d'un an dans des rues voisines sans jamais nous rencontrer. Ses parents étaient boulangers et je suis plusieurs fois allé acheter pain ou croissants chez eux sans la voir.
C'est dans une association que nous avons fini par nous rencontrer.
Elle était secrétaire de l'association, rédigeait le journal d'information interne, et je me suis naturellement proposé pour l'aider. Nous ne le savions pas, mais le journal interne avait été surnommé le journal intime par les autres membres.
Il m'a quand même fallu 6 mois pour me déclarer (je sais, quel courage !); en fait, j'étais à la recherche d'un appartement, elle m'a dit que ses parents en avaient un à louer, au dessus du sien. "Pourquoi pas ?" ai-je répondu, l'air faussement détaché...
La première nuit, je n'ai pas pu fermer l'il de la sentir si proche et le matin, devant mes valises oculaires son sourire amusé m'avait donné envie de disparaître sur le champ...
C'est donc le soir suivant que j'ai tenté ma chance, la discussion s'étant prolongée assez tard chez elle. Nous étions debout dans le couloir, et quand je l'ai embrassée, je l'ai appuyée sur le mur, au dessus du radiateur. Nous avons depuis souvent regardé ce radiateur avec émotion, et quand à l'occasion de travaux il a fallu l'enlever, nous avons longuement hésité et un peu de tristesse nous a envahit, tellement il était chargé de souvenirs pour nous. Il nous arrive d'ailleurs encore de nous embrasser avec passion, appuyés à cet endroit du mur, et de nous remémorer ce moment magique.
Pour me rattraper de mes 6 mois d'hésitation, je lui ai parlé mariage une semaine après, un an après c'était chose faite, un an après encore, notre fille naissait. Elle est âgée maintenant de douze ans et notre amour grandit un peu chaque jour en même temps qu'elle, nous en avons créé du nouveau pour elle et ça a beau être impalpable, c'est la plus belle chose qui existe sur cette terre.
DocEvil a dit:Tout est dans le titre. Racontez comment vous lavez rencontré(e)
à l'OFUP (c'est bien la seule chose que j'y ai gagné d'ailleurs !)
DocEvil a dit:et les trésors de persuasion quil a fallu déployer pour lattirer dans votre vie (bande de nases !).
euh .. Et si c'est l'inverse ?
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une histoire de guitare et de math ...
An 2000
Ce 28 juillet-là vers 17 h, je rentrais à Liège venant de Bruxelles, où je venais d'accompagner ma filliotte, en partance pour ses vacances annuelles chez ses cousins ( Avec leurs parents, ils quittaient Bruxelles pour Gigondas, elle avait la chance de les accompagner pour plus de 20 jours ).
Seule, partagée entre le sentiment de soulagement (mauvaise mère ...
) que me procurait l'idée de ces 3 semaines sans responsabilités familiales qui s'ouvraient à moi, et la tristesse que cette séparation engendrait, j'entrais dans ce petit bar "irlandais " et commandais une bière ...
Il était là, lui aussi .
On se connaissait depuis ... longtemps, très longtemps ... il avait 15 ans et moi, 16 ... 25 ans auparavant .
Nous nous étions perdus de vue pendant des années, chacun avait vécu sa vie, ses vies .
Nous nous étions revus ces derniers mois , lors de divers concerts de Blues ou de Jazz , nous avions parlé de l'Afrique , de nos expériences, de la musique, nous avions dansé ensemble . Sans plus .
Mais ce soir là, il me proposa de l'accompagner à une fête, un mini-festival , avec des groupes peu connus sans doute, mais excellents, suivi d'une jam de Blues .
Pourquoi pas ... ? Rien ne m'en empêchait !
Arrivés là, ce fut un plaisir que d'écouter la musique , d'autres amis s'y trouvaient aussi, puis la jam débuta ... il est guitariste , et je lui demandais pourquoi il ne jouait pas ...
"ok , me dit-il"
nous retournâmes vers sa voiture , où se trouvaient sa guitare et son ampli , et il me dit : "t'as bien fait de venir avec moi, il est lourd , l'ampli !!! "
Et voilà ! je portai donc l'ampli !
Ils jouèrent , jusqu'au petit jour, et ce fut une nuit de plaisir et de bonheur musical , que nous avons quitté à l'aurore, fatigués, il m'a reconduite chez moi, et comme j'habitais à l'époque un second étage ... et lui un troisième, ailleurs, et tant qu'à porter l'ampli ...
Flash-back ... 25 ans auparavant , la classe de seconde latin-math (on comptait 6,5,4,3... à l'époque, à l'Athénée en Belgique) quitte le local de Mademoiselle H****, prof de math, terrible prof de math, caricaturale dans sa dureté et son impitoyable attitude envers ses étudiants ( elle habitait rue des Dragons, à S****, ça ne s'invente pas ! ) , en croisant la classe de troisième qui pénètre en ce lieu , tête basse ...
un regard se serait échangé , ce jour-là, entre lui et moi, m'a-t-il dit ... un regard qui ... 25 ans, après ...
les cordes peuvent parfois vibrer, peut-être se rompre, mais je n'oublierai jamais le son de cette nuit-là.
An 2000
Ce 28 juillet-là vers 17 h, je rentrais à Liège venant de Bruxelles, où je venais d'accompagner ma filliotte, en partance pour ses vacances annuelles chez ses cousins ( Avec leurs parents, ils quittaient Bruxelles pour Gigondas, elle avait la chance de les accompagner pour plus de 20 jours ).
Seule, partagée entre le sentiment de soulagement (mauvaise mère ...
Il était là, lui aussi .
On se connaissait depuis ... longtemps, très longtemps ... il avait 15 ans et moi, 16 ... 25 ans auparavant .
Nous nous étions perdus de vue pendant des années, chacun avait vécu sa vie, ses vies .
Nous nous étions revus ces derniers mois , lors de divers concerts de Blues ou de Jazz , nous avions parlé de l'Afrique , de nos expériences, de la musique, nous avions dansé ensemble . Sans plus .
Mais ce soir là, il me proposa de l'accompagner à une fête, un mini-festival , avec des groupes peu connus sans doute, mais excellents, suivi d'une jam de Blues .
Pourquoi pas ... ? Rien ne m'en empêchait !
Arrivés là, ce fut un plaisir que d'écouter la musique , d'autres amis s'y trouvaient aussi, puis la jam débuta ... il est guitariste , et je lui demandais pourquoi il ne jouait pas ...
"ok , me dit-il"
nous retournâmes vers sa voiture , où se trouvaient sa guitare et son ampli , et il me dit : "t'as bien fait de venir avec moi, il est lourd , l'ampli !!! "
Et voilà ! je portai donc l'ampli !
Ils jouèrent , jusqu'au petit jour, et ce fut une nuit de plaisir et de bonheur musical , que nous avons quitté à l'aurore, fatigués, il m'a reconduite chez moi, et comme j'habitais à l'époque un second étage ... et lui un troisième, ailleurs, et tant qu'à porter l'ampli ...
Flash-back ... 25 ans auparavant , la classe de seconde latin-math (on comptait 6,5,4,3... à l'époque, à l'Athénée en Belgique) quitte le local de Mademoiselle H****, prof de math, terrible prof de math, caricaturale dans sa dureté et son impitoyable attitude envers ses étudiants ( elle habitait rue des Dragons, à S****, ça ne s'invente pas ! ) , en croisant la classe de troisième qui pénètre en ce lieu , tête basse ...
un regard se serait échangé , ce jour-là, entre lui et moi, m'a-t-il dit ... un regard qui ... 25 ans, après ...
les cordes peuvent parfois vibrer, peut-être se rompre, mais je n'oublierai jamais le son de cette nuit-là.
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