Cherche le nom d'un vieil objet.

Leyry Hynemonth

a découvert une nouvelle définition de l'ennui.
Club iGen
18 Décembre 2004
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Nîmes
www.lyhn.fr
Bonjour !

Je cherche le nom de quelque chose que l'on ne voie plus très souvent de nos jour....

C'est un rouleau, plus ou moins long selon le besoin.
Généralement sur fond blanc, des rayures rouges ou bleues, inclinées par rapport au rouleau.
Et le rouleau tourne...... Ça donne un effet de bandes qui se déplacent.
Ce principe est repris pour les barres de défilement "infinies" de Mac OS X (9 aussi) quand il veut indiquer que ça travaille... mais qu'on ne sais pas quand ça sera fini.
roll.bmp

Je crois qu'on en trouve aussi sur les attractions... ect.


Variation : Toujours le rouleau, mais on ne voit qu'une seule partie de celui-ci; il n'y à plus du rayures, seulement la couleur de contraste est disposé de sorte à ce qu'on ai l'impression d'un tube qui se rempli au fur-et à mesure que le rouleau tourne.


Voilà Voilà...

Si quelqu'un connais le nom de ce truc là...... :zen:


Merci.
 
tu parles de quoi ?
de l'informatique ou de la "vraie vie"?

dans la vraie vie souvent nommée carotte
( coiffeur- tabac etc )
 
He... dans la vrais vie.


Je heu... heu... heuu..;

Suis dubitatif quant à ta réponse.

Pourtant, c'est vrais que ça a été employé pour des vitrines de commerçants.

Me voilà bien dans le caca..... trouver une carotte d'occase.... :( :mad:


Merci quand même
 
dubitatif
c'est le mot (dubi à tifs)


ces enseignes ( lumineuses et tournantes) sont toujours utilisées de nos jours pour signaler les coiffeurs
- au Canada
-en Asie
(dont Japon et Hong Kong)
 
Nonon, pas la sarbacane. C'est bien le truc dont parle Pascal....


Me manque plus qu'à trouver un nom qui ne puisse pas être confondu avec autre chose....

Au fait... si quelqu'un peut donner des CDB à pascal.... moi... je suis un peut bloqué là :rose:
 
Au fait... si quelqu'un peut donner des CDB à pascal.... moi... je suis un peut bloqué là :rose:
on s'en fout :D
passons au fun

Me manque plus qu'à trouver un nom qui ne puisse pas être confondu avec autre chose....
Ahh mais c'est facile

le bidule à Leyry
( ca peut faire sourire les filles)

( eviter la nouille à leyry parce que là on se fout de ta tronche directe)


le bidule kelenomonsentape

cébocasertarien

l'enseigne
-l'enseigne de vaisseau
si t'as des marins dans le coin

l'enseigne de vaisseaux
si ce sont des chirurgiens ( ou serial killers)

etc etc
 
Nonon, pas la sarbacane. C'est bien le truc dont parle Pascal....


Me manque plus qu'à trouver un nom qui ne puisse pas être confondu avec autre chose....

Au fait... si quelqu'un peut donner des CDB à pascal.... moi... je suis un peut bloqué là :rose:

et si tu essayais enseignedebarbier… pour voir :D
 
on s'en fout :D
passons au fun


Ahh mais c'est facile

le bidule à Leyry
( ca peut faire sourire les filles)

( eviter la nouille à leyry parce que là on se fout de ta tronche directe)


le bidule kelenomonsentape

cébocasertarien

l'enseigne
-l'enseigne de vaisseau
si t'as des marins dans le coin

l'enseigne de vaisseaux
si ce sont des chirurgiens ( ou serial killers)

etc etc

Un autre Un Autre !!!
(Toujours vert ;) )
 
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Réactions: da capo
Y'avait Gkatarn aussi, mais là c'est plus vieil objet, c'est antiquité :D
 
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Réactions: jahrom
HISTOIRES DE MOTS
Le poteau de torture — Ludmila Bovet
Les enseignes, qui dans les rues des villes, pendant des siècles, signalaient aux passants l’emplacement d’un commerce ou d’une auberge, ont presque toutes disparu. Cette tradition se maintient, cependant, à la devanture des coiffeurs pour hommes sous l’aspect d’un cylindre tricolore, parfois lumineux, muni d’une boule à chaque bout et pouvant tourner sur lui-même, selon les cas. Avant ces modèles sophistiqués, l’enseigne était un simple bâton de bois peint planté dans le mur extérieur de la boutique, comme celle du barbier juif incarné par Charlie Chaplin dans Le dictateur. Cet emblème typiquement nord-américain figure en effet dans le décor du ghetto d’une ville sise dans l’imaginaire pays de Tomania (alias Germania), ghetto où les inscriptions telles que barber’s shop ou laundry done here voisinent avec d’autres en pseudo-yiddish (rien de surprenant pour un film tourné aux États-Unis en 1939-1940). Le terme poteau de barbier qui désigne cette enseigne au Québec est un calque de l’anglais barber’s pole. Le mot et la chose sont arrivés ici après la Conquête de la Nouvelle-France par l’Angleterre car, sous le Régime français, l’enseigne du barbier était tout autre.
 
tu parles de quoi ?
de l'informatique ou de la "vraie vie"?

dans la vraie vie souvent nommée carotte
( coiffeur- tabac etc )

A mon avis, la carotte c'était pour les tabacs: http://www.ruavista.com/carotte.htm. Mais coiffeurs-barbiers je ne vois pas le rapport.
En annexe: pourquoi tant de troquets-tabacs s'appellent-ils "La Civette" ?
Réponse:
Tabac de la Civette
Quoi qu'en dise Aristote, et sa docte cabale,
Le tabac est divin ; il n'est rien qui l'égale...
Il purge, réjouit, conforte le cerveau;
De toute noire humeur promptement le délivre;
Et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre.
C'est Sganarelle qui dit cela, et les priseurs ne pourront que se féliciter de la consultation d'un médecin si autorisé.

Admettons donc que le tabac est divin, et disons au priseurs pourquoi on a donné le nom de Civette à un débit de tabac, situé à Paris, près du Théâtre-Français, et dont la renommée est si bien établie que quantité de débits en province ont pris la même enseigne.
La civette est un quadrupède qui tient du chien, du loup, du renard, du chat, de l'hyène, et d'autres bêtes encore. C'est l'arlequin des quadrupèdes. Il vit dans les pays chauds. Il répand un parfum très fort et rend une liqueur odorante, épaisse, d'une consistance semblable à celle des pommades, et dont le parfum, quoique violent, est agréable au sortir même du corps de l'animal. La matière des civettes ne doit pas être confondue avec le musc, qui est une humeur sanguinolente qu'on tire d'un animal tout différent de la civette, espèce de chevreuil sans buis, ou de chèvre sans cornes.
« Le parfum de cet animaux est si fort, qu'il se comnmnique à toutes les parties de leur corps : le poil en est imbu, et la peau pénétrée au point que l'odeur s'en conserve longtemps après leur mort. Les civettes sont naturellement farouches, et même un peu féroces ; cependant on les apprivoise aisément, au moins assez pour les approcher et les manier sans grand danger. » (Buffon).
Dans le commerce, on entend par civette la matière fournie par l'animal de ce nom.
Quelques particules de civette placées dans un vase destiné à renfermer le tabac à priser, lui donnent le parfum si prisé des priseur
s.
Et voilà ce que l'homme met dans son nez, ou plutôt contre quoi il met son nez.