A
Anonyme
Invité
Bonjour.
Dans l'entreprise où je travaille, il m'arrive comme tout un chacun (du moins, le croyais-je) d'aller parfois aux toilettes.
Je travaille au septième étage d'une tour qui en comporte neuf.
Or, ayant souvent constaté l'absence consternante de papier hygiénique dans les toilettes du septième autant que la présence d'un nombre assez abondant de collègues venus dans le même but que moi et au même moment (les cons), j'ai cherché si le bâtiment n'abritait pas des toilettes un peu moins fréquentées.
Je les ai trouvées.
Au neuvième étage.
Là haut, il n'y a jamais personne. Jamais. Quand j'y entre, les lumières sont éteintes, l'endroit sent la poussière et l'abandon (véridique). Je suis tranquille.
Or, il se trouve que, comme dans beaucoup d'entreprise, je pense, et pour de bête considérations symboliques, sans doute, la proportion de chefs augmente au fur et à mesure que l'on s'élève dans les étages.
J'en ai donc déduit le théorème suivant (attention, ça tue sa mère tellement c'est novateur et pertinent) :
LES CHEFS NE FONT PAS CACA SUR LEUR LIEU DE TRAVAIL.
Voilà.
J'attend de vous des contributions à la passionante étude sociologique qui s'ouvre sur ce postulat de base, vos retours d'expérience comme vos tentatives d'explications sont les bienvenues.
Dans l'entreprise où je travaille, il m'arrive comme tout un chacun (du moins, le croyais-je) d'aller parfois aux toilettes.
Je travaille au septième étage d'une tour qui en comporte neuf.
Or, ayant souvent constaté l'absence consternante de papier hygiénique dans les toilettes du septième autant que la présence d'un nombre assez abondant de collègues venus dans le même but que moi et au même moment (les cons), j'ai cherché si le bâtiment n'abritait pas des toilettes un peu moins fréquentées.
Je les ai trouvées.
Au neuvième étage.
Là haut, il n'y a jamais personne. Jamais. Quand j'y entre, les lumières sont éteintes, l'endroit sent la poussière et l'abandon (véridique). Je suis tranquille.
Or, il se trouve que, comme dans beaucoup d'entreprise, je pense, et pour de bête considérations symboliques, sans doute, la proportion de chefs augmente au fur et à mesure que l'on s'élève dans les étages.
J'en ai donc déduit le théorème suivant (attention, ça tue sa mère tellement c'est novateur et pertinent) :
LES CHEFS NE FONT PAS CACA SUR LEUR LIEU DE TRAVAIL.
Voilà.
J'attend de vous des contributions à la passionante étude sociologique qui s'ouvre sur ce postulat de base, vos retours d'expérience comme vos tentatives d'explications sont les bienvenues.