éviter les lézardes sur X'Press
- Créateur du sujet sylgrimm
- Date de début
sylgrimm a dit:
Salut,
ben il y a déjà l'empagement, la police de caractère utilisée, le corps, la longueur de justification puis on peut "jouer" avec les espaces mot?
Il y a aussi les césures?
:zen:Salut,
Avant tout et c'est le plus important, il faut assez de signes par ligne, sans quoi une bonne distribution du texte est impossible à obtenir (soit un bon équilibre entre la force de corps et la largeur de colonne).
Puis,il te faut modifier quelques réglages par défaut qui sont un peu fantaisistes à mon goût (juqu'à la version 4, car après je ne sais pas).
Je me souviens notamment d'approche de paire fixée d'origine sur 220%!! La bonne moyenne est mini 80 et max 120. Voir aussi avec l'approche de groupe.
Veiller encore aux "césures et justification". Normalement, pas plus de 3 consécutives. Nbre de signes avant et après césure à régler au mieux suivant les règles typo en vigueur, au pire en les contournant (ex : 2 signes minimum avant / après césure permet de couper à peu près tout les mots donc de "rentrer" davantage de texte, mais bon faut pas abuser quand même). Je dis donc "en contournant les règles, mais pas trop.
Tout cela à éditer sous le nom que tu veux, puis à inclure dans tes feuilles de style.
Note que si tu fais ta cuisine sans aucun doc ouvert, je crois me souvenir que ces réglages sont fixés et disponibles une bonne fois pour toute pour les fichiers créés ultérieurement.
Ensuite, tu seras certainement amené à modifier ça et là quelques petits détails, manuellement. En "jouant" par exemple avec les approches (-4 / +4) est un maximum sur la dernière ligne ou paragraphe suivant le texte que tu veux faire rentrer/chasser d'une colonne à l'autre. A panacher suivant le cas avec l'échelle horizontale (mais pas trop sinon ça se voit).
Voilà mes souvenirs en vrac, mais depuis les choses ont peut-être évolué. D'autres nous le diront.
Avant tout et c'est le plus important, il faut assez de signes par ligne, sans quoi une bonne distribution du texte est impossible à obtenir (soit un bon équilibre entre la force de corps et la largeur de colonne).
Puis,il te faut modifier quelques réglages par défaut qui sont un peu fantaisistes à mon goût (juqu'à la version 4, car après je ne sais pas).
Je me souviens notamment d'approche de paire fixée d'origine sur 220%!! La bonne moyenne est mini 80 et max 120. Voir aussi avec l'approche de groupe.
Veiller encore aux "césures et justification". Normalement, pas plus de 3 consécutives. Nbre de signes avant et après césure à régler au mieux suivant les règles typo en vigueur, au pire en les contournant (ex : 2 signes minimum avant / après césure permet de couper à peu près tout les mots donc de "rentrer" davantage de texte, mais bon faut pas abuser quand même). Je dis donc "en contournant les règles, mais pas trop.
Tout cela à éditer sous le nom que tu veux, puis à inclure dans tes feuilles de style.
Note que si tu fais ta cuisine sans aucun doc ouvert, je crois me souvenir que ces réglages sont fixés et disponibles une bonne fois pour toute pour les fichiers créés ultérieurement.
Ensuite, tu seras certainement amené à modifier ça et là quelques petits détails, manuellement. En "jouant" par exemple avec les approches (-4 / +4) est un maximum sur la dernière ligne ou paragraphe suivant le texte que tu veux faire rentrer/chasser d'une colonne à l'autre. A panacher suivant le cas avec l'échelle horizontale (mais pas trop sinon ça se voit).
Voilà mes souvenirs en vrac, mais depuis les choses ont peut-être évolué. D'autres nous le diront.
je vois pas grand chose a ajouter si ce n'est une chose.
je te conseille de choisir une des méthodes citée et de 'utiliser qu'une pour tricher : sinon ça devient le bordel dès que tu as une modif et que tu sais plus ce que tu as fait comme "tricherie".
perso j'aime pas trop l'échelle horizontale : je trouve que même leger ça se voit.
par contre il m'est arrivé souvent de fzaire une réelle tricherie. quand je suis emmerdé dans un texte qui ne veut pas se mettre comme il faut pour que le gris typo soit agréable.
je supprime des mots !
si ! si !
bon il s'agit pas, surtout pas, d'enlever beaucoup ! mais comme les gens abuse souvent des donc / alors ... et autre mots inutiles.
je lis attentivement le texte et j'en fais sauter un.
ni vu ni connu et ouvent ça débloque des situations.
tu trouveras peut-^tre ça pas "pro" mais je crois au contraire que parfois intervenir sur un texte par touche invisible est pas si con que ça
je te conseille de choisir une des méthodes citée et de 'utiliser qu'une pour tricher : sinon ça devient le bordel dès que tu as une modif et que tu sais plus ce que tu as fait comme "tricherie".
perso j'aime pas trop l'échelle horizontale : je trouve que même leger ça se voit.
par contre il m'est arrivé souvent de fzaire une réelle tricherie. quand je suis emmerdé dans un texte qui ne veut pas se mettre comme il faut pour que le gris typo soit agréable.
je supprime des mots !
si ! si !
bon il s'agit pas, surtout pas, d'enlever beaucoup ! mais comme les gens abuse souvent des donc / alors ... et autre mots inutiles.
je lis attentivement le texte et j'en fais sauter un.
ni vu ni connu et ouvent ça débloque des situations.
tu trouveras peut-^tre ça pas "pro" mais je crois au contraire que parfois intervenir sur un texte par touche invisible est pas si con que ça
Ah oui, tu as raison au sujet des "césures radicales" ! C'est vrai que j'ai aussi usé du même stratagème, voire tourné quelques phrases différemment. Au même titre qu'on peut demander à l'auteur d'un texte de revoir sa copie lorsque c'est trop long (ou trop court).
Une connaissance qui a bossé un temps dans l'édition de livre d'art reprenait le texte avec l'auteur et le traducteur pour les parties traduites, le livre a mis un temps certain à se faire mais parait-il était très réussi.
Bien régler ses préfs évidemment, particulièrement les C&J, c'est la base (En faire une copie à mettre avec les archives du boulot s'il est conséquent...). Et je ne peux que conseiller la préparation du travail en amont avec une bonne calibration de la page: faire des essais avec le texte sur un chapitre par exemple en essayant de trouver la justification la plus adaptée (si tu peux y toucher) et le bon nombre de caractère à la ligne; essaie des typos différentes, des légères variations d'approches (év. une très légère la déformation horizontale, sur un chapitre entier, pour que cela se voit le moins, mais je déconseille formellement cet extrême). Une justification trop large fait qu'on se perd dans les lignes, si elle est trop courte tu gagneras des césures et là bonjour les retouches à chaque correction de textes...
La solution de Yama n'est pas forcément à écarter, j'ai pu la pratiquer dans certaines mises en page de contrat pour une banque privée, avec l'avocat à mes côtés, ça va sans dire, les résultats sont spectaculaires (elle rejoignait celle de Monoeil: garder le sens en changeant un mot long pour un court par exemple) ! Je préfère avoir l'accord de l'auteur (surtout pour du juridique !) mais je ne peux nier dans des plaquettes inodores et incolores avoir sabré si j'avais trop de textes ou des césures incommodes...
Bien régler ses préfs évidemment, particulièrement les C&J, c'est la base (En faire une copie à mettre avec les archives du boulot s'il est conséquent...). Et je ne peux que conseiller la préparation du travail en amont avec une bonne calibration de la page: faire des essais avec le texte sur un chapitre par exemple en essayant de trouver la justification la plus adaptée (si tu peux y toucher) et le bon nombre de caractère à la ligne; essaie des typos différentes, des légères variations d'approches (év. une très légère la déformation horizontale, sur un chapitre entier, pour que cela se voit le moins, mais je déconseille formellement cet extrême). Une justification trop large fait qu'on se perd dans les lignes, si elle est trop courte tu gagneras des césures et là bonjour les retouches à chaque correction de textes...
La solution de Yama n'est pas forcément à écarter, j'ai pu la pratiquer dans certaines mises en page de contrat pour une banque privée, avec l'avocat à mes côtés, ça va sans dire, les résultats sont spectaculaires (elle rejoignait celle de Monoeil: garder le sens en changeant un mot long pour un court par exemple) ! Je préfère avoir l'accord de l'auteur (surtout pour du juridique !) mais je ne peux nier dans des plaquettes inodores et incolores avoir sabré si j'avais trop de textes ou des césures incommodes...
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