- Statut
D
Deleted member 18124
Invité
Omar a une BMW et plus de boulot. Mais ça, il ne l'a pas dit à sa gonzesse, Virginie, qui a des goûts de luxe, car, si elle le savait, elle le quitterait. Et Omar aurait du mal à vivre sans celle à qui il pense tout le temps. Alors, pour pouvoir continuer à entretenir sa poule de luxe, il décide de braquer une bijouterie. Il sort sa BMW et fonce à toute vitesse vers la bijoueterie. C'est l'après-midi, il fait beau et les rues sont vides. Heureusement car il roule vite. Très vite. Et arrivée à la bijouterie, il défonce la vitrine avec sa voiture. Il sort de la voiture, se précipite sur les bijoux et fait main basse sur tout ce qu'il trouve. Mais c'est sans compter sur le vigile qui déboule de l'arrière boutique (où il faisait des choses avec la patronne) et qui tente de s'interposer. Bagarre. Omar le blesse puis s'enfuit en courant en abandonnant sur place son butin.
Omar sort la BMW
C'est l'après-midi, il fait beau, les rues sont vides.
Il roule vite
Il pense à Virginie.
Il défonce une vitrine de bijouterie et fait main basse sur tout ce qu'il trouve.
Un vigile tente de s'interposer, Omar le blesse
Il s'enfuit, à pied en laissant son butin.
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"autopsie de la folie"
Omar, homme à la stature athlétique, la belle quarantaine, s'ennuie. Après avoir pu tout avoir dans sa vie; fils d'une grande famille d'industriels dans le pétrole, il avait pu après de grandes études, reprendre l'affaire famililale; il était désormais sujet au spleen.
Un jour, par une belle après midi, il décida de sortir sa toute nouvelle BMW. Le moteur s'ébranla dans un doux rugissement. Omar contempla ce bijou d'orfévrerie qu'était cette voiture. il caressa doucement le cuir du volant, puis passa la première et démarra en trombe.
Il faisait beau, un bel après midi de printemps. Les rues étaient désertes, la plupart des gens respectant la sacro sainte période de la sieste. Dans cette petite ville du sud de la France, la vie est somme toute paisible. Omar roula, roula, roula sans savoir où il allait, sans savoir où cette route le ménerait. Cette promenade résumait sa vie désormais. il ne savait plus où il allait. tout allait très vite sans finalement avoir de but précis. Et virgine... Ah qu'il regrettait le temps de leur amour, de ces mêmes après midi où tous deux allaient s'ennivrer de soleil et d'amour dans les calanques. Son souvenir était persistant, Omar n'avait jamais réussi à faire le deuil de cette relation. Plus rien ne le faisait sourire, la vie avait ce goût amer qui l'enfermait peu à peu dans cette solitude et ce triste sourire.
Toujours plongé dans ses pensées, Omar se rendit compte que son chemin l'avait emmené jusqu'au centre ville. Puis il eut cet éclair de volonté: tout devait changer. Rien ne devait désormais plus l'empechait de faire ce que lui voulait. Il voulait se libérér du carcan dans lequel il était enfermé.
C'est à ce moment là qu'il vit la bijouterie. il voulut faire quelque chose de fou, quelque chose pour se sentir vivre. il défonça la vitrine de la bijouterie en utilisant sa voiture comme un bélier, sortit rapidement de l'habitacle, et pris tout ce qui ce trouvait sur son passage. il rafla un superbe collier serti de diamant et de splendides parures, il louchait sur tout ce qu'il voyait. soudain, un vigile arriva et le braqua avec son arme. Omar nullement désemparé se jetta sur lui et lui fracasse la tête avec un vase, puis s'enfuit en courant, laissant son butin derrière lui, laissant sa vie derrière lui...
Il avait tout perdu, en l'espace de quelques minutes, toute sa vie s'était effondrée, sa carrière, sa réputation, Virginie... enfin il allait devenir un autre homme, enfin il pouvait repartir de zéro. il leva les yeux au ciel et à ce moment là...
... l'infirmier de l'hôpital psychiatrique lui dit: " allez Omar, cesse de revasser devant cette fenetre et vient prendre ton traitement...."
Voila, j'espere avoir compris l'exercice
C'est l'après-midi, il fait beau, les rues sont vides.
Il roule vite
Il pense à Virginie.
Il défonce une vitrine de bijouterie et fait main basse sur tout ce qu'il trouve.
Un vigile tente de s'interposer, Omar le blesse
Il s'enfuit, à pied en laissant son butin.
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"autopsie de la folie"
Omar, homme à la stature athlétique, la belle quarantaine, s'ennuie. Après avoir pu tout avoir dans sa vie; fils d'une grande famille d'industriels dans le pétrole, il avait pu après de grandes études, reprendre l'affaire famililale; il était désormais sujet au spleen.
Un jour, par une belle après midi, il décida de sortir sa toute nouvelle BMW. Le moteur s'ébranla dans un doux rugissement. Omar contempla ce bijou d'orfévrerie qu'était cette voiture. il caressa doucement le cuir du volant, puis passa la première et démarra en trombe.
Il faisait beau, un bel après midi de printemps. Les rues étaient désertes, la plupart des gens respectant la sacro sainte période de la sieste. Dans cette petite ville du sud de la France, la vie est somme toute paisible. Omar roula, roula, roula sans savoir où il allait, sans savoir où cette route le ménerait. Cette promenade résumait sa vie désormais. il ne savait plus où il allait. tout allait très vite sans finalement avoir de but précis. Et virgine... Ah qu'il regrettait le temps de leur amour, de ces mêmes après midi où tous deux allaient s'ennivrer de soleil et d'amour dans les calanques. Son souvenir était persistant, Omar n'avait jamais réussi à faire le deuil de cette relation. Plus rien ne le faisait sourire, la vie avait ce goût amer qui l'enfermait peu à peu dans cette solitude et ce triste sourire.
Toujours plongé dans ses pensées, Omar se rendit compte que son chemin l'avait emmené jusqu'au centre ville. Puis il eut cet éclair de volonté: tout devait changer. Rien ne devait désormais plus l'empechait de faire ce que lui voulait. Il voulait se libérér du carcan dans lequel il était enfermé.
C'est à ce moment là qu'il vit la bijouterie. il voulut faire quelque chose de fou, quelque chose pour se sentir vivre. il défonça la vitrine de la bijouterie en utilisant sa voiture comme un bélier, sortit rapidement de l'habitacle, et pris tout ce qui ce trouvait sur son passage. il rafla un superbe collier serti de diamant et de splendides parures, il louchait sur tout ce qu'il voyait. soudain, un vigile arriva et le braqua avec son arme. Omar nullement désemparé se jetta sur lui et lui fracasse la tête avec un vase, puis s'enfuit en courant, laissant son butin derrière lui, laissant sa vie derrière lui...
Il avait tout perdu, en l'espace de quelques minutes, toute sa vie s'était effondrée, sa carrière, sa réputation, Virginie... enfin il allait devenir un autre homme, enfin il pouvait repartir de zéro. il leva les yeux au ciel et à ce moment là...
... l'infirmier de l'hôpital psychiatrique lui dit: " allez Omar, cesse de revasser devant cette fenetre et vient prendre ton traitement...."
Voila, j'espere avoir compris l'exercice
A
Anonyme
Invité
Pourquoi courir comme un dératé, se demanda Omar ?
Parce que tu as la police aux fesses, crétin, parceque tu as laissé tomber le sac de bijoux comme un con, juste après avoir buté ce vigile - et qui voudra croire que tu ne le voulais pas ? Tu as quand même défoncé la vitrine avec ta caisse pour faire main basse sur tout ce que contenait les vitrines, comme inocent, on fait mieux...
Mais si cette garce de Virginie à qui il doit 200.000 euros ne l'avait pas sommer de payer aussi ! Il y a pensé toute la matinée, à son frère Gilbert, aussi, celui qui fait deux mètres et qui est coulant comme un parpaing avec ceux qui ne remboursent pas sa soeur...
Alors, il a pris la BM, il a fait une connerie.
Foutue journée !
Parce que tu as la police aux fesses, crétin, parceque tu as laissé tomber le sac de bijoux comme un con, juste après avoir buté ce vigile - et qui voudra croire que tu ne le voulais pas ? Tu as quand même défoncé la vitrine avec ta caisse pour faire main basse sur tout ce que contenait les vitrines, comme inocent, on fait mieux...
Mais si cette garce de Virginie à qui il doit 200.000 euros ne l'avait pas sommer de payer aussi ! Il y a pensé toute la matinée, à son frère Gilbert, aussi, celui qui fait deux mètres et qui est coulant comme un parpaing avec ceux qui ne remboursent pas sa soeur...
Alors, il a pris la BM, il a fait une connerie.
Foutue journée !
- Statut