Lidentité numérique selon vous quest-ce que cest, à quoi ça peut servir, pour qui, pourquoi et comment ?
Un truc pour semer le boxon nan!!!
N'importe comment tout est traçable sur le net. :zen:
Donc on aurait pas à craindre dêtre encore plus "traçable" avec un identifiant numérique que sans ?
Cest mon avis aussi.
Tu peux clore ce sujet depuis outils de la discussion :zen:
vu que tu es d'accord, il n'y a plus rien à dire ...
Posées comme ça, les questions me semblent de peu d'intérêt, tout juste bonnes à faire frémir les paranoïaques ou les technophobes et, par rebond, renchérir dans la provocation les innocents (au sens de niais...) et technolâtres.Lidentité numérique selon vous quest-ce que cest, à quoi ça peut servir, pour qui, pourquoi et comment ?
Posées comme ça, les questions me semblent de peu dintérêt, tout juste bonnes à faire frémir les paranoïaques ou les technophobes et, par rebond, renchérir dans la provocation les innocents (au sens de niais...) et technolâtres.
Il faudrait sans doute commencer par mettre le mot identité au pluriel, ça permettrait de prendre un peu lair et douvrir quelques perspectives.
Il n’y a aucune certitude que le système il soit déjà démocratique au départ, ni qu’il reste indéfiniment démocratique s’il l’était avant, ni que l’usage de ce système de ce système reste toujours dans les mains d’individus respectueux des principes démocratiques.
Les informations conservée le sont le plus souvent sur le sol américain, qui est soumis au Patriot Act depuis 2001 ; en France la LCEN organise le fichage des gens honnêtes ; et il ne se passe pas une année sans que les fichiers constitués par ces identités numériques, et détenus par de grandes entreprises, soient piratés et tombent aux mains de réseaux mafieux.
On peut constater que même si on commence actuellement à avoir des droits sur son identité numérique, dans l’immense majorité des cas il est parfaitement impossible de les faire valoir en pratique, soit parce que c’est une autorité qui les bafoue dans une juridiction où ils n’ont pas cours, soit parce que les contrevenants sont hors d’atteinte (en Chine, en Russie, etc.). Par ailleurs, comme le système n’est pas non plus vraiment démocratique, le danger vient également des autorités locales qui sont censées dans le principe garantir ces droits.
La peur n’évite pas le danger, mais la prudence, si.
Or le danger est avéré, et le principe du « droit à l’oubli » n’est presque jamais appliqué, pas même de manière officielle. La question n’est donc plus de savoir « si » les informations privées liés à une identité numérique pourront être détournées et mises à profit sans notre accord, mais seulement « quand ».(...)
Ce qu’il faut retenir, c’est que sans fichage, le vol de fichier reste impossible. Et que sans communication d’une information, celle-ci ne peut être détournée.
Ce n'est pas parce qu'on tente de la défendre qu'on y parvient. Je parle de fait, pas de souhaits non réalisés.Ni que les citoyens défendent leur démocratie lorsqu’on la leur confisque.
Là, tu parles dans le vide.Est-ce en continuant de refuser la validité de l’identité numérique qu’on empêchera la mafia de pirater des données liées aux identités numériques ?
Si tu affirmes que l'identité numérique n'a pas d'existence légale, alors c'est à toi de préciser de quoi tu veux parler. bompi t'a déjà fait la remarque.De quels droits parlez-vous ?
Nous n’avons pour l’instant aucun droit reconnu par la République Française, puisque le concept même d’identité numérique n’a simplement pas cours légal.
Qu'est-ce que c'est encore que cette ânerie ? :rolleyes: Ce n'est pas en collant bout-à-bout des généralités qu'on dit des vérités.La prudence n’évite pas d’être fichés de partout ; la peur empêche de se ficher soi-même.
Comme je l'ai rappelé plus haut, l'identité numérique a déjà une existence légale.Le danger est avéré, le droit à l’oubli est inapplicable, et si c’était précisément dû au fait que l’individu ne dispose pas d’une identité numérique dont il soit considéré, en système démocratique, comme légalement propriétaire, et sur laquelle il puisse faire valoir ses droits ?
Le fichage de quoi ? Ce n'est pas le tout de dire qu'un fichier existe. Encore faut-il savoir ce qu'on a mis dedans.Le fichage est désormais un fait accompli…
Le problème n'est pas de savoir si l'accès aux informations est légal ou pas (un vol d'informations qui devient légal, ce n'est plus du vol), mais plutôt de savoir de quelles informations il s'agit, et ce que ceux qui y auront eu accès (de façon autorisée, frauduleuse, ou inopportune mais légale) pourront en faire.Le vol d’informations numériques n’a pas vocation à devenir légal, quelle que soit l’issue de cette discussion…
En effet, s'exposer sur Internet apporte potentiellement un bénéfice personnel dans une recherche d'emploi.Aujourd'hui, Internet c'est aussi un formidable support de communication pour trouver un emploi, se créer une notoriété voir aller plus loin et se créer un (sur-profil), très vendeur.
Pour cela, pas besoin d'aller dans une agence, il existe des outils gratuits. Un petit tour sur Peoplze ou Youseemii pour connaître notre image sur le net. Ensuite, il suffit de mettre en place une stratégie pour mettre en avant nos qualités, laissez mijoter et récupérez les bénéfices dans votre boîte mail.
En effet, les agrégateurs de profils et les réseaux sociaux à caractère professionnel, parfois gratuits, souvent payants, permettent d'avoir très facilement une visibilité sur le marché du travail. Malheureusement, tout comme pour toutes les informations privées ou relativement confidentielles qu'on met sur Internet et qui y restent généralement à vie, c'est en croyant bien faire aujourd'hui qu'on crée les difficultés de demain.
Totalement d'accord, à part peut-être sur la simplicité.Encore une fois, je le répète. Il faut que les internautes se forment à l'utilisation d'Internet. Beaucoup de fautes relevées seraient très simple à corriger.
La difficulté que je soulignais, c'est que dans cet exercice il est nécessaire de modifier souvent les informations présentées.Ensuite, il y a toujours des traces sur Internet oui. Quand je dis de faire un "sur-profil", je ne parle pas de mentir sur son C.V, mais de savoir tourner l'information à son avantage. Ça s'apprends ces choses là et les politiques sont très doués dans cette exercice