L'autre jour au "zapping" de Canal Plus je tombe un certain m. Cauet qui déguisé en canard fait son plat préféré (de la daube) pour séduire sa femelle (Maïté). Bref. L'exercice consistait en l'occurence à massacrer un bon vieux tube de rock sur le refrain "comme des canards". Mais bon c'est une émission de divertissement... Passons.
Depuis plusieurs jours, donc j'ai ce riff en tête, et, rien à faire, je n'arrivais pas à remettre le nom du morceau et de ses créateurs. Inutile de chercher un enregistrement de l'émission, il serait plus qu'illusoire de penser que les auteurs aient été cités et puis me taper du Cauët, merci bien, je préfère reprendre un bon café là, merci.
Aujourd'hui, donc, matin levé, je prends mon Google(TM) à deux mains et je saisis [cauet "comme des canards"], hop !
Et bien sûr, je trouve !
Mes amis, vous le saviez, certanement, mais daignez pardonner mon inculture crasse. La France le sait, le Web le sait, la jeunesse le sait ! L'original c'est : "Comme des connards", magistralement interprétée par son seul et unique auteur, j'ai nommé Mickael Youn ! Et vous aurez bien du mal à trouver une autre vérité.
Pendant qu'on y est à rétablir des vérités... Je lisais l'autre jour sur un blog que si vous faites une recheche en P2P sur "Il est libre Max" vous tomberez sur l'évidence que ce morceau est de et interprété par... Maxime le Forestier, bien-sûr. Bon le fait qu'il ne l'ait jamais interprété ni écrite ne doit pas vous troubler. Si l'histoire ne pouvait pas être ré-interprété de temps en temps comme ça nous arrange, ça ne serait pas marant (hein le borgne, on se comprend...).
Bon pour ceux que ça intéresse, le morceau s'appelle My Sharona de The Knack et c'est la "véritée vraie"...
enfin...
Aujourd'hui en tout cas.
Car si vous faites le test du P2P, vous en douterez déjà : le morceau est attribué aux mythiques Ramones une fois sur deux et c'est peut-être la vérité de demain. Tant pis pour les Knack, il n'avaient qu'à passer chez Cauët ou à la starac (comme Maxime).
Et dans quelques années tout le monde saura enfin que Comme des canards est une chanson des Ramones dont le leader n'est autre que Mickael "Young" (le frère de Neil).
Repères bibliographique concernant cet article :
1984, Georges Orwell.
Depuis plusieurs jours, donc j'ai ce riff en tête, et, rien à faire, je n'arrivais pas à remettre le nom du morceau et de ses créateurs. Inutile de chercher un enregistrement de l'émission, il serait plus qu'illusoire de penser que les auteurs aient été cités et puis me taper du Cauët, merci bien, je préfère reprendre un bon café là, merci.
Aujourd'hui, donc, matin levé, je prends mon Google(TM) à deux mains et je saisis [cauet "comme des canards"], hop !
Et bien sûr, je trouve !
Mes amis, vous le saviez, certanement, mais daignez pardonner mon inculture crasse. La France le sait, le Web le sait, la jeunesse le sait ! L'original c'est : "Comme des connards", magistralement interprétée par son seul et unique auteur, j'ai nommé Mickael Youn ! Et vous aurez bien du mal à trouver une autre vérité.
Pendant qu'on y est à rétablir des vérités... Je lisais l'autre jour sur un blog que si vous faites une recheche en P2P sur "Il est libre Max" vous tomberez sur l'évidence que ce morceau est de et interprété par... Maxime le Forestier, bien-sûr. Bon le fait qu'il ne l'ait jamais interprété ni écrite ne doit pas vous troubler. Si l'histoire ne pouvait pas être ré-interprété de temps en temps comme ça nous arrange, ça ne serait pas marant (hein le borgne, on se comprend...).
Bon pour ceux que ça intéresse, le morceau s'appelle My Sharona de The Knack et c'est la "véritée vraie"...
enfin...
Aujourd'hui en tout cas.
Car si vous faites le test du P2P, vous en douterez déjà : le morceau est attribué aux mythiques Ramones une fois sur deux et c'est peut-être la vérité de demain. Tant pis pour les Knack, il n'avaient qu'à passer chez Cauët ou à la starac (comme Maxime).
Et dans quelques années tout le monde saura enfin que Comme des canards est une chanson des Ramones dont le leader n'est autre que Mickael "Young" (le frère de Neil).
Repères bibliographique concernant cet article :
1984, Georges Orwell.