C'est non sans emoi que j'ai decouvert cette autorisation de visite. Il semble que je fasse peur a certains moderateurs, surement a cause des revelations secretes que je garde comme "assurance vie".
Je me suis donc rendu de ce pas vers la cellule provisoire de mon ami SM : la chambre de mackie.
L'accès n'y est pas aisé, un dédale de couloirs noirs, puants ou la mort distribuer par ses odieux personnage que sont les modérateurs semble avoir frappé maintes fois. Les rats pullulent, attiré par les cadavres des faux gribouille livré a la bête mackie.
Puis au bout de ce dernier couloir ou m'emmene Rezba, homme au physique ingrat et a la démarche de quasi-modo, je distingue dans la lumière blafarde une porte sur lequel est inscrit : "Lachenbra Mackie - Homme suite aume"
Le vilain gardien ne me laissera entrevoir mon ami que par la meutriere de la porte. Et dans l'horreur de la piece sans elcairage aucun, je découvre mon ami, salit a jamais :
Il est nu, bloti dans un coin de la chambre entre 2 piles de manga et une boite de lego, le visage a jamais ballafré par le rasage recent de sa si belle moustache. Il pleur, et l'emotion monte en moi, je verse a mon tour une larme.
Je prend mon courage a deux mains et l'enjoins a venir me retrouver pour le rassurer.
Comme un cri de détresse, il eclate en sanglot, mackie la bête sauvage, la bave au coin de la bouche l'empeche de venir me retrouver. Mackie le regarde avec ses yeux de bovin et laisse echapper un "alhaur eureu ?"
SM me laissera comprendre que mackie l'a abusé. Il me dira qu'il attend son tranfert avec plus que de l'impatience, que n'importe quelle autre torture sera doux a côté de ce qu'il vit. Comme je le comprend.
Puis le vil Rezba a la démarche gauche m'arrachera de la porte en hurlant un "fini a pu". Je me debat de toutes forces mais inlassablement je me fais entrainer vers la sortie des cachots, j'hurle un dernier "Tient bon mon ami, nous te libereront, les citoyen de macgé t'aime, une revolte gronde".
Voici ce que je viens de vivre. Mes amis, notre SM a été bafouer, il nous faut le venger