Maffés, minis thés

Tu lis les 400 culs au fond de ton aquarium ? :rateau:
 
J'ai sous le manteau depuis un bout de temps ce papier, témoignage féminin, à ne pas forcément mettre entre toutes les mains. Et depuis qu'il est dans mes signets, j'y reviens régulièrement sans trop comprendre ce qui m'y inquiète, ou ce qui m'y intrigue.
Et puis, à la faveur d'une parole murmurée dans mon cortex, j'ai compris où était le centre des interrogations. Dans ce paragraphe :

"Le relâchement final est identique, quoique je le trouve plus difficile à maîtriser. Paradoxal : maîtriser son abandon ! Mais c’est bien la marche à suivre si vous voulez profiter au maximum des sensations qui vous assiègent - je n’aime pas laisser un tel désordre émotionnel s’installer, car je veux jouir pleinement de chaque instant, de chaque mouvement, de chaque pensée."

Voilà pourquoi certains d'entre nous prennent le risque de tisser ces relations spéciales, faites d'intimité et de distance, de complicité et d'éloignement, qui leur permet de s'abandonner, comme on s'abandonne aux seuls êtres aimés, tout en restant lucide, pour profiter pleinement de l'instant.

Enfin, je me comprends.
En attendant, j'essaye de maitriser mon abandon.


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Voilà pourquoi certains d'entre nous prennent le risque de tisser ces relations spéciales, faites d'intimité et de distance, de complicité et d'éloignement, qui leur permet de s'abandonner, comme on s'abandonne aux seuls êtres aimés, tout en restant lucide, pour profiter pleinement de l'instant.

Je déteste plus que tout toute forme d'affirmation de vérité unique. C'est pourquoi je prendrai la précaution de préciser, qu'aujourd'hui, pas forcément hier et qu'en sera t'il demain, rien ne vaut, pour moi, l'érotisme de ces relations spéciales, comme tu dis.

Et derrière ce mot, spéciales, j'ai choisi d'entendre cette alchimie particulière, entre l'intime et le distant, la complicité sans aucune fusion, ni dépersonnalisation. J'ai exclu le contexte sado maso du texte, considérant que l'extrait choisi, sorti de son contexte, n'y faisait pas explicitement référence.
 
Les désirs passent, voyagent. Furtifs objets. Faut il les faire durer ? Ouvrir la porte du prochain ?
Je me nourris de leur diversité, accepte leurs richesses inattendues, je me régale de leurs douceurs imprévisibles. Je les apprivoise. Je ne cherche plus à leur donner un sens. Ils s'éparpillent.

Ils me nourrissent oui. Jusqu'au détriment de la chair, l'autre. Me remplissent le ventre. Une autre forme de festin. Un banquet où les convives surgissent dont on ne sait où. Où les serveurs amènent des plats et autres délices extravagants aux fumets irrésistibles. Ne pas demander la composition, l'alchimie des ingrédients. Juste déguster.
 
Un autre blog. J'aime sa façon d'écrire, de décrire.
Je l'ai rencontrée.
J'irai l'écouter, les écouter, elles et leur slam érotique.


Elles étaient belles, et émouvantes.

Quand Keren Ann, qui jouait après elles, ne trouve que des mots désobligeants et déplacés pour parler de leur prestation, mettons ça sur le compte d'une frustration presque légitime. Sa musique convenue, sa présence pédante ne laisseront que peu de trace ce soir là.

La dénonciation de l'érotisme, sous toutes ses formes, a de beaux jours..
 
La dénonciation de l'érotisme, sous toutes ses formes, a de beaux jours..

Comment il disait Reiser ?
Non, c'est vrai, on a plus le droit de dire des choses comme ça en public... :rolleyes:

Tiens, en parlant de public.
La dernière livraison de Marcela Iacub, Par le trou de la serrure, me fait de l'œil. Je vais aller y voir de plus près.


Et sinon, marcela, c'est quand tu veux, où tu veux, tu sais... :siffle:
 
Je sors un peu de la littérature mais dernièrement je suis tombée sur Destricted...point de mal rassurez-vous mais cela m'a intriguée. Attirée par les noms de Clark et de Noé qui ont déjà eu l'occasion de m'en mettre plein là où j'aime en recevoir...
Je n'ai pas encore vu ce que cela valait. Pas malin allez-vous me dire. Mais je me suis dit que ne coûtait de vous informer de son existence. Si jamais ça vous titille, ça me ravirais.
J'aime que l'on travaille la pornographie ;-) D'ailleurs je les aurait bien écouté avec toi Mado ces jeunes femmes....
 
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Réactions: l'écrieur
J'ai du avaler trop de couleuvres. Et qu'on ne me dise pas qu'elles sont inoffensives. Mordue de l'intérieur. Dans toutes mes chairs. Avec consentement. Et aveuglement. Ce putain de venin s'endort mais ne se dissout jamais. Ses réveils sont fulgurants et imprévisibles.Tantôt le dégoût, tantôt l'extase. Toujours plus forts. Les antidotes renforcent le poison. Je voudrais être exsangue parfois. Lui faire boire mon sang. Au goutte à goutte, avec délectation.
 
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Réactions: Craquounette
Je sens que je vais avoir l'air d'une gourde, mais tant pis.
Parce que là, je suis nez à nez, si je puis dire, avec un truc que je ne comprends pas.
Le parfum, là, Vulva original. Si je comprends tout, ce n'est pas vraiment un parfum, c'est de l'extrait de liqueur de vagin ? Ils doivent avoir recruté un wagon de femmes fontaines, et ils remplissent des flacons. Soit.
Mais c'est fait pour qui ? Pour les hommes ou pour les femmes ? J'ai du mal, je voudrais qu'on m'explique.

Et puis il y a une autre question qui me taraude... On sent vraiment toutes pareil ???
 
Tu es sûr ?
Parce que dans le petit film qui est sur le site, le grand beau monsieur, il ne ressemble pas beaucoup à ton gaston, et les deux filles, elles ont l'air de luxe, mais à peine gonflable. Je ne dirais pas gonflées, d'ailleurs. Et je m'y connais en poupée, crois-moi.
Non, tu ne réponds pas à mes questions, vilain garçon.
 
C'est la pub - crois-tu vraiment que tous les utilisateurs de parfums Hugo Boss sont des beaux gosses top fashion aux abdominaux bien découpés ?

Si on veut que Gaston achète, il faut que Gaston fantasme !











Sinon, oui, je suis vilain et oui je répond n'importe quoi - what else ?
 
Vous pourriez vous interresser un peu à mes questions, au lieu de vous mastouillez le nombril ?
Je vous ai demandé si on avait toutes la même odeur ? Et si ça vous excitait, cette odeur ! Les garçons ça ne pense qu'à leur engin !
 
Toutes la même odeur ? Certainement pas. Au même titre que les autres odeurs.
Excitantes, les odeurs ? Bin ça dépend du contexte et de leur saveur, quoi.
Car nous n'avons évidemment pas tou(te)s le même goût, tiens.
 

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