A
Mon oeuf à moi...
- Créateur du sujet JPTK
- Date de début
- Statut
A
Anonyme
Invité
A
Anonyme
Invité
A
Anonyme
Invité
A
Anonyme
Invité
Puisque ça parle musique, moi ce titre de fil ça me fait penser à ....
Mon oeuf à moi il me parle d'aventures
Et quand elles brillent dans ses yeux
J' pourrais y passer la nuit
Il parle d'amour
Comme il parle de cuisine
Et moi j' l' suis où il veut
Tellement je crois tout c' qu'il m' dit
Tellement je crois tout c' qu'il m' dit
Oh! oui,
Mon ½uf à moi
voilà :rose:
Mon oeuf à moi il me parle d'aventures
Et quand elles brillent dans ses yeux
J' pourrais y passer la nuit
Il parle d'amour
Comme il parle de cuisine
Et moi j' l' suis où il veut
Tellement je crois tout c' qu'il m' dit
Tellement je crois tout c' qu'il m' dit
Oh! oui,
Mon ½uf à moi
voilà :rose:
A
Anonyme
Invité
D
Deleted member 18124
Invité
Les ½ufs de Pâques impériaux sont les réalisations les plus célèbres de Carl Fabergé. Entre 1885 et 1916, les tsars Alexandre III et Nicolas II commandent cinquante-quatre de ces objets éblouissants pour les offrir aux tsarines Marie et Alexandra Feodorovna à l'occasion des fêtes pascales. On en connaît aujourd'hui quarante-sept. Chacun d'eux a caché une « surprise » à l'intérieur, astucieusement ouvragée. Chaque ½uf est un chef-d'½uvre d'ingéniosité et de savoir-faire!
La coutume d'offrir ces ½ufs le matin de Pâques et d'échanger trois baisers, était profondément ancrée dans les m½urs de la Russie orthodoxe. Ce jour était considéré comme le plus important de l'année et l'½uf, symbole de la résurrection, en était un élément essentiel. Carl Fabergé s'inscrit donc dans une tradition déjà bien établie. Mais il va l'enrichir de son imagination débordante et de son infinie créativité. Alexandre III ne s'y trompe pas. Enchanté par la première création du joaillier, il lui en commande désormais une nouvelle chaque année, et après sa mort, son fils Nicolas II poursuit la coutume en offrant deux ½ufs, un à sa mère et l'autre à la nouvelle tsarine, son épouse Alexandra Feodorovna.
La coutume d'offrir ces ½ufs le matin de Pâques et d'échanger trois baisers, était profondément ancrée dans les m½urs de la Russie orthodoxe. Ce jour était considéré comme le plus important de l'année et l'½uf, symbole de la résurrection, en était un élément essentiel. Carl Fabergé s'inscrit donc dans une tradition déjà bien établie. Mais il va l'enrichir de son imagination débordante et de son infinie créativité. Alexandre III ne s'y trompe pas. Enchanté par la première création du joaillier, il lui en commande désormais une nouvelle chaque année, et après sa mort, son fils Nicolas II poursuit la coutume en offrant deux ½ufs, un à sa mère et l'autre à la nouvelle tsarine, son épouse Alexandra Feodorovna.
iDuck a dit:Les ½ufs de Pâques impériaux sont les réalisations les plus célèbres de Carl Fabergé. Entre 1885 et 1916, les tsars Alexandre III et Nicolas II commandent cinquante-quatre de ces objets éblouissants pour les offrir aux tsarines Marie et Alexandra Feodorovna à l'occasion des fêtes pascales. On en connaît aujourd'hui quarante-sept. Chacun d'eux a caché une « surprise » à l'intérieur, astucieusement ouvragée. Chaque ½uf est un chef-d'½uvre d'ingéniosité et de savoir-faire!
La coutume d'offrir ces ½ufs le matin de Pâques et d'échanger trois baisers, était profondément ancrée dans les m½urs de la Russie orthodoxe. Ce jour était considéré comme le plus important de l'année et l'½uf, symbole de la résurrection, en était un élément essentiel. Carl Fabergé s'inscrit donc dans une tradition déjà bien établie. Mais il va l'enrichir de son imagination débordante et de son infinie créativité. Alexandre III ne s'y trompe pas. Enchanté par la première création du joaillier, il lui en commande désormais une nouvelle chaque année, et après sa mort, son fils Nicolas II poursuit la coutume en offrant deux ½ufs, un à sa mère et l'autre à la nouvelle tsarine, son épouse Alexandra Feodorovna.
Ah ça ! Il était prévisible que sur une histoire d'½uf, il y en a un qui pointerait le bout de son bec !
D
Deleted member 18124
Invité
Pascal 77 a dit:Ah ça ! Il était prévisible que sur une histoire d'½uf, il y en a un qui pointerait le bout de son bec !
Ben oui.
- Statut