Des discussions qui s'ensuivirent, on peut mettre en exergue l'intervention d'Alèm, dont l'expérience de modérateur saute immédiatement aux yeux, bien que son post soit légèrement teinté de moquerie (j'en pouffe encore) :
"Cela nous permet d'envisager qu'on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse synthétique du substantialisme pour le considérer selon la continuité synthétique.
Finalement, l'expression kantienne de la liberté est à rapprocher d'une intuition synthétique du matérialisme. C'est avec une argumentation identique qu'on peut reprocher à Nietzsche son postmodernisme subsémiotique, et cette problématique illustre un indéterminisme substantialiste en tant que concept empirique de la connaissance."
Moquerie qui n'a pas échappé à tout le monde, il a d'ailleurs fort justement été répondu :
"Comment peut-on comprendre la liberté dans une perspective leibnizienne ? On ne saurait ignorer l'influence de Bergson sur le globalisme universel, pourtant, il est indubitable qu'il restructure le terminisme de l'Homme. Il convient de souligner qu'il en examine l'expression phénoménologique en tant que concept négativiste de la connaissance alors même qu'il désire prendre en considération la raison minimaliste. Alors avec lui, je le dis tout net :
NON NON ET NON !"
On n'en attendait pas moins !