Police Chicago : comment l'imprimer (TrueType...) ?

Silverscreen

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17 Mars 2001
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Cannes
Bon, un truc UN PEU URGENT pour me dépanner :

j'ai un souci (encore !) : je vais de récupérer une "maquette" d'un prédécesseur envoyée par mon client. Comme c'est moi qui ai hérité de la poursuite de la collection mais sans nouvelle mise en page, je continue dans les traces de celui-celle qui m'a précédée.

1ère mauvaise surprise : la maquette est un PDF et on me joint les polices séparément. Bon, comme j'avais les logos, en "décalquant" un peu je retrouve les bonnes tailles de police et je refais la maquette précédente sous ID2

mais

2e mauvaise surprise : au moment de faire un contrôle en amont, je constate que la police qui sert à faire le titre de la collection est une TrueType, la Chicago d'Apple en fait. (il me semblait bien qu'il y avait pas de version PS de celle-ci...et ça m'a été confirmé ensuite).

Du coup me vient la question : est-ce possible que le précédent maquettiste aie envoyé une police Truetype à l'impression et que ça ait marché ? (il semblerait, j'ai le bouquin fini sous les yeux)

Du coup, je sais pas si je dois faire pareil : en cas si vous connaissez une type 1 ou Opentype très proche de la Chicago, ,je peux tenter.

Le truc, c'est que c'est assez urgent, je dois envoyer les maquettes demain...
(au pire, je peux vectoriser sous AI le titre de la collection et l'utiliser comme logo mais c'est bof...)


Ah, un dernier truc, la couv est en quadri (images) dont le fond coloré change à chaque fois : pourtant c'est un ton direct (en valeurs CMYK, pas Pantone) et traité comme une couche supplémentaire.
Quel est l'intérêt ? Habituellment j'utilise les Pantone pour garder une couleur tjs fidèle (logos) ou parceque la couleur pête mais là c'est une couleur qui change à chaque parution et qui est pas très flamboyante de toute façon : pourquoi ne pas faire la couv en quadri tout court ?

zen.gif
 
1ère mauvaise surprise : la maquette est un PDF et on me joint les polices séparément. Bon, comme j'avais les logos, en "décalquant" un peu je retrouve les bonnes tailles de police et je refais la maquette précédente sous ID2
Tu aurais pu retrouver à peu près tout ça en ouvrant des pages du PDF dans Illustrator (corps des polices, etc.)

2e mauvaise surprise : au moment de faire un contrôle en amont, je constate que la police qui sert à faire le titre de la collection est une TrueType, la Chicago d'Apple en fait. (il me semblait bien qu'il y avait pas de version PS de celle-ci...et ça m'a été confirmé ensuite).
Du coup me vient la question : est-ce possible que le précédent maquettiste aie envoyé une police Truetype à l'impression et que ça ait marché ? (il semblerait, j'ai le bouquin fini sous les yeux)
Du coup, je sais pas si je dois faire pareil : en cas si vous connaissez une type 1 ou Opentype très proche de la Chicago, ,je peux tenter.
Flasher en Truetype ce n'est pas conseillé mai c'est possible et je pense que le Chicago d'Apple ne doit pas poser de problème. le mieux c'est de demander à ton flasheur.
D'autre part, j'ai déjà eu entre les mains des versions Poscript de cette police (mais j'ai vérifié, je ne l'ai plus).

Le truc, c'est que c'est assez urgent, je dois envoyer les maquettes demain...
(au pire, je peux vectoriser sous AI le titre de la collection et l'utiliser comme logo mais c'est bof...)
Bah pourquoi-pas, au contraire, si c'est que le titre de la collection, pourquoi ne pas vectoriser ?

Ah, un dernier truc, la couv est en quadri (images) dont le fond coloré change à chaque fois : pourtant c'est un ton direct (en valeurs CMYK, pas Pantone) et traité comme une couche supplémentaire.
Quel est l'intérêt ? Habituellment j'utilise les Pantone pour garder une couleur tjs fidèle (logos) ou parceque la couleur pête mais là c'est une couleur qui change à chaque parution et qui est pas très flamboyante de toute façon : pourquoi ne pas faire la couv en quadri tout court ?
Si c'est imprimé en à plat à 100 % en ton direct, c'est forcément plus clean que de la quadri. Mais pas forcément utile, c'est vrai au vue de la qualité des impressions actuelles. ce qui est surprenant c'est que cet aspect des choses n'ait pas été discuté avant entre les différents partenaires ...
 
Niconemo a dit:
1ère mauvaise surprise : la maquette est un PDF et on me joint les polices séparément. Bon, comme j'avais les logos, en "décalquant" un peu je retrouve les bonnes tailles de police et je refais la maquette précédente sous ID2
Tu aurais pu retrouver à peu près tout ça en ouvrant des pages du PDF dans Illustrator (corps des polices, etc.).

Des fois, je pense que je suis un peu con... mais bon on ne pense pas toujours à l'évidence
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Merci en tout cas.

Flasher en Truetype ce n'est pas conseillé mai c'est possible et je pense que le Chicago d'Apple ne doit pas poser de problème. le mieux c'est de demander à ton flasheur.
D'autre part, j'ai déjà eu entre les mains des versions Poscript de cette police (mais j'ai vérifié, je ne l'ai plus).
C'est bizarre, sur les sites des fondeurs ils référencent la police mais en précisant qu'elle est la propriété d'Apple et qu'elle n'existe qu'en Truetype.
Peut-être une déclinaison par un fondeur avec un nom genre Chicago qqchose... je vais jeter un œil

(au pire, je peux vectoriser sous AI le titre de la collection et l'utiliser comme logo mais c'est bof...)
Bah pourquoi-pas, au contraire, si c'est que le titre de la collection, pourquoi ne pas vectoriser ?
Oui, c'est ce que je vais faire, c'est encore le plus rapide.

Ah, un dernier truc, la couv est en quadri (images) dont le fond coloré change à chaque fois : pourtant c'est un ton direct (en valeurs CMYK, pas Pantone) et traité comme une couche supplémentaire.
Quel est l'intérêt ? Habituellment j'utilise les Pantone pour garder une couleur tjs fidèle (logos) ou parceque la couleur pête mais là c'est une couleur qui change à chaque parution et qui est pas très flamboyante de toute façon : pourquoi ne pas faire la couv en quadri tout court ?
Si c'est imprimé en à plat à 100 % en ton direct, c'est forcément plus clean que de la quadri. Mais pas forcément utile, c'est vrai au vue de la qualité des impressions actuelles. ce qui est surprenant c'est que cet aspect des choses n'ait pas été discuté avant entre les différents partenaires ...

Mauvais client mais bon client : les procédures sont souvent chaotiques, les factures légères mais la quantité au rdv et c'est pour la bonne cause (la CULTURE...). En fait mon client tourne avec plein d'imprimeurs et de flasheurs : je sais à quel imprimeur envoyer mon boulot... au moment de l'envoyer. Et le reste est à l'avenant, je reçois les infos au compte gouttes (nb de pages, ISBN, texte de 4e de couv etc... avec de nombreux retours en arrière sur des trucs qui avaient été pourtant validés.
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Mais c'est mon premier gros client et sur certaines couvertures, je suis pas mal libre pour la créa ce qui m'a permis d'apprendre pas mal sur le tas.
Heureusement les choses se lissent petit à petit.