Avec ergu "ce serait gratuit" même si cela lui a coûté (un peu) plus cher :
Pour les corrections, un ami de la Horde ©®™ que je ne nommerais pas (mais, il paraît qu'il a une poche...) lui aurait conseillé en low-cost (c'est la crise, il faut bien délocaliser et notre ami écrivain croupi dans une modeste mansarde de Nanterre, même si Mansart n'a jamais construit quoi que ce soit à Nanterre, un comble... et avez-vous remarqué l'allitération entre "modeste" et "mansarde" et le jeu de mot subtil entre "mansarde" et l'expression "un comble", non, pas grave, mais bon, puisqu'on parle littérature...) lui aurait, donc, conseillé des correcteurs ukrainiens (on s'est aperçu par la suite et très vite que ce n'était pas des ukrainiens, mais des ukrainiennes — de la province du Z'arkan — comme quoi, cet ami de la Horde ©®™ — que l'on ne nommera pas par précaution — avait un autre ami de la Horde ©®™ qui, lui, avait des relations dans le milieu russe de Nice, pour ces raisons, on ne le nommera pas non plus et donc, ces ukrainiennes ayant un fort accent slave et une relative maîtrise de la langue de Nice, plutôt que d'en faire une correction en firent une traduction complète !).
Une sacré salade toute cette histoire, j'en conviens...
A la relecture, notre ami ergu approuva les corrections, sans se rendre compte (mais, toi, lecteur, quand le ciel bas et lourd pèse comme un âne mort, tu l'avais remarqué) que son texte avait un arrière goût des Carpates et de lard.
Dès lors, monté sur ses ergots, il s'enquit d'un imprimeur afin de coucher sur papier bouffant toutes ces voix ukrainiennes, mais c'était sans compter sur les russes de Nice qui lui réclamèrent des droits incompréhensibles et pharamineux sur lesdites ukrainiennes...
On ne saura pas tout de cette histoire, ni la fin tragique d'un des manuscrits noyé dans la vodka, mais on comprendra la "relative" gratuité de l'ouvrage...
:o