Orsoni, qui finalement avait rejoint son beau frère Emile dans les nues. Qui sait là-bas il y a sans doute de quoi faire de la pêche! Ou sinon, avec René, ils pourront toujours s'amuser à faire les 2 gangsters contre le gentil flic, pour les siècles des siècles, amen. Mais, Gill, les pieds sur terre, ne pensait pas à ça. De toute façon, ces considérations, ça faisait 20 ans qu'il n'en avait plus rien à faire. Quand il était jeune, il était très croyant... Il avait même pensé à faire carrière dans l'église, mais sa véritable personnalité s'est développé et il s'est rendu compte qu'il aimait trop le corps des femmes pour pouvoir se contenter seulement de celui des jeunes garçons. Et il savait qu'il avait fait le bon choix, même si pendant longtemps il a continuer à se poser des questions sur la religion. Mais maintenant, il se rendait bien compte qu'il avait eut une vie des milliards de fois plus interessante qu'un pauvre prêtre de campagne. Même cette opération, le faisant ressembler à un indigène de ce pays, pays des fromages qui puent, il ne la regrettait pas. Parce que si leurs fromages puaient vraiment, par contre ils avaient des femmes vraiment bonnes. Et encore une fois, ses pensées se redirigèrent vers Juliette, la "grande" Juliette. Rien que pour elle, il bénissait son opération. Elle avait déjà eu une relation avec René, et Gill n'avait eut qu'à en cueillir les fruits. Et cette française, c'était quelque chose! C'est pas une vulgaire Kournikova ou autre Claudia Schiffer! Elle était interessante de visage, de corps, de discution, et surtout... de connaissances sur les diverses façons de faire l'amour. Malheureusement, le fait qu'elle était maqué avec un certain Louis coupait toute possibilité à Gill d'envisager une relation sur le long terme. Et le propre boulot de Gill l'empechait aussi.
Il se reprit. La situation actuelle était catastrophique. Il ne savait pas si les trois pantins étaient toujours en vie, et qui était la personne qu'ils avaient vus. Sans doute Artie, pensa-t-il grace à sa puce qui l'aidait à reflechir. Il ne savait pas que Artie, connu sous le nom de Louis ici, était le fameux Louis de Juliette.
Il reprit donc sa marche vers le hangar, sans laisser un dernier regard sur le flic étendu par terre, qui aurait pu, en d'autres circonstances, mettre à mal ses projets. Là, il savait qu'il avait grâce à cet évenement digne d'X-Files, un enemi de moins, ce qui ne le dérangait pas du tout, car il sentait que tout n'était pas fini, et qu'il y en aurait encore beaucoup sur sa route. Ne serait-ce ensuite pour disparaître sans qu'un de ses collègues de la CIA ne réussise à le retrouver. Mais il en était pas encore là. Il fallait d'abord qu'il récupère les diamants, diamants qui vont sans doute disparaitre avant qu'il arrive, s'il ne se magne pas le train. Il arriva donc au pas de course à l'entrée du hangar 4 des entrepots EDC. Et alors, il vit Artie, son enemi juré. Il se dirigait vers la sortie... Vers Gill, qui ne savait comment se cacher. Louis-Artie chantonait la dernière chanson à la mode, très décontract, comme si de rien n'était:
<<Juliette,
Est une coquette,
Si j'avais de l'argent,
J'l'aurais jusqu'a la fin des temps!>>
Et il éclata de rire... Gill était paniqué. Où se cacher?
Gill Bates agit alors. Il n'était plus temps de se cacher. Il fallait jouer ces cartes, que la verité sorte enfin de cette pelote trop embobiné.
Il se lanca donc devant Artie en sortant son pistolet:
- Ne bouge plus, salopard, on a deux mots à se dire.
-... Oups... Un revenant... T'es mort, toi, j't'ai tué il y a deux heures?
-Ta gueule, aujourd'hui c'est moi qui pose les questions. Un: Les diamants qui sont dans ce hangar sont à moi!
-Les... les diamants? Et Artie partit d'un second éclat de rire. Les diamants, cher revenant? Il n'y a plus aucun diamant dans cette pièce, tu arrive cinq minutes trop tard!!
...
Il se reprit. La situation actuelle était catastrophique. Il ne savait pas si les trois pantins étaient toujours en vie, et qui était la personne qu'ils avaient vus. Sans doute Artie, pensa-t-il grace à sa puce qui l'aidait à reflechir. Il ne savait pas que Artie, connu sous le nom de Louis ici, était le fameux Louis de Juliette.
Il reprit donc sa marche vers le hangar, sans laisser un dernier regard sur le flic étendu par terre, qui aurait pu, en d'autres circonstances, mettre à mal ses projets. Là, il savait qu'il avait grâce à cet évenement digne d'X-Files, un enemi de moins, ce qui ne le dérangait pas du tout, car il sentait que tout n'était pas fini, et qu'il y en aurait encore beaucoup sur sa route. Ne serait-ce ensuite pour disparaître sans qu'un de ses collègues de la CIA ne réussise à le retrouver. Mais il en était pas encore là. Il fallait d'abord qu'il récupère les diamants, diamants qui vont sans doute disparaitre avant qu'il arrive, s'il ne se magne pas le train. Il arriva donc au pas de course à l'entrée du hangar 4 des entrepots EDC. Et alors, il vit Artie, son enemi juré. Il se dirigait vers la sortie... Vers Gill, qui ne savait comment se cacher. Louis-Artie chantonait la dernière chanson à la mode, très décontract, comme si de rien n'était:
<<Juliette,
Est une coquette,
Si j'avais de l'argent,
J'l'aurais jusqu'a la fin des temps!>>
Et il éclata de rire... Gill était paniqué. Où se cacher?
Gill Bates agit alors. Il n'était plus temps de se cacher. Il fallait jouer ces cartes, que la verité sorte enfin de cette pelote trop embobiné.
Il se lanca donc devant Artie en sortant son pistolet:
- Ne bouge plus, salopard, on a deux mots à se dire.
-... Oups... Un revenant... T'es mort, toi, j't'ai tué il y a deux heures?
-Ta gueule, aujourd'hui c'est moi qui pose les questions. Un: Les diamants qui sont dans ce hangar sont à moi!
-Les... les diamants? Et Artie partit d'un second éclat de rire. Les diamants, cher revenant? Il n'y a plus aucun diamant dans cette pièce, tu arrive cinq minutes trop tard!!
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