…Dans ma frénésie de l'autre jour, j'ai oublié de lancer le sujet « les bornes d'arcade, c'est mon hobby ». (rires)
J'ai loupé un truc, c'est sûr ! (rires)
Des nerds comme vous ont forcément claqué du pognon dans ces bornes qui s'agglutinaient à l'intérieur des salles d'arcade ! (rires)
Le hic, parce qu'il y a toujours un hic dans un sujet, les jeux vidéos ne me passionnaient pas plus que maintenant. Je ne trouvais jamais mon bonheur parmi les casses-briques, les shoot'em up ou les combats de plate-formes. Moi, je préférais regarder les copains s'exciter sur les joysticks. (rires)
Mais bon, comme je n'ai pas ouvert ce sujet à la con – du professeur Choron – on va causer d'autre chose ! (rires)
Un truc tout aussi vieux qui va vous raviver les synapses avec la même intensité que l'aurait fait mon acte manqué de l'autre jour. (rires)
………………
Les jours de pluie, je n'avais toujours le droit de regarder la télévision. Il faut dire qu'à cette époque, la croyance populaire promettait la myopie aux enfants qui passaient trop de temps devant le tube cathodique. Mais rassurez-vous les amis, c'est fini ! Nos écrans OLED ont résolu le problème ! (rires)
Si bien qu'à la place d'ingurgiter mon goûter devant Dorothée, ma Mamie m'envoyait jouer dans la chambre. Ou lire, elle s'en moquait bien. Du moment que je restais sage. Il n'était donc pas question pour moi de faire du trampoline sur le matelas. Non, la gifle n'était jamais bien loin. Du coup, j'étais calme. Je m'inventais des histoires. Et puis surtout parmi les lits de la « chambre des gosses », comme elle disait, le mien était vraiment bizarre. Déjà que je n'étais pas grand. Mais là, je faisais face à un truc de la taille d'un bateau. (rires)
Ça n'est pas compliqué, la bibliothèque, la table de chevet et la structure du lit ne faisaient qu'un seul meuble. Un bloc en formica imitation bois qui sentait drôle. Mais il me fascinait ce gros bazar. En plus, le matelas était vachement épais. Bref, j'adorais me vautrer dedans et choisir un livre sur l'étagère à portée de main. À l'abri de la pluie, je me prenais pour le capitaine du navire, affalé dans sa cabine, voguant paisiblement sur quelque mer imaginaire. Souvent, pour m'accompagner dans cette traversée, je prenais le dernier numéro des aventures de Picsou. Les autres bouquins, les vrais livres à la couverture d'une épaisseur qui ne se rencontre plus, ils étaient pour le soir. (sourires)
Et comme tous les gosses, la première chose que je faisais avec mon Picsou, c'était chercher les apparitions de mon personnage préféré. Je n'sais pas vous, mais moi, celui qui m'faisait « kiffer grave », c'était ce bon Géo Trouvetou ! Il était incroyable ce personnage. Toujours à te sortir le truc improbable à souhaits pour sauver d'une manière incroyable la situation dans l'histoire. Enfin, c'est l'image que j'en garde. Je n'ai pas relu de Piscou depuis, pff, trop longtemps pour que je m'en souvienne ! (rires)
………………
Ne me dites pas, après cette tranche de vie partagée avec vous, que le sujet est cloisonné, taillé au cordeau ou bien encore dénué de liberté. J'espère avoir laissé assez de ficelles dans ces quelques lignes pour voir couler, et vos larmes de rires, et votre créativité. C'est que moi aussi j'ai envie de m'marrer ! (rires)
J'ai loupé un truc, c'est sûr ! (rires)
Des nerds comme vous ont forcément claqué du pognon dans ces bornes qui s'agglutinaient à l'intérieur des salles d'arcade ! (rires)
Le hic, parce qu'il y a toujours un hic dans un sujet, les jeux vidéos ne me passionnaient pas plus que maintenant. Je ne trouvais jamais mon bonheur parmi les casses-briques, les shoot'em up ou les combats de plate-formes. Moi, je préférais regarder les copains s'exciter sur les joysticks. (rires)
Mais bon, comme je n'ai pas ouvert ce sujet à la con – du professeur Choron – on va causer d'autre chose ! (rires)
Un truc tout aussi vieux qui va vous raviver les synapses avec la même intensité que l'aurait fait mon acte manqué de l'autre jour. (rires)
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Les jours de pluie, je n'avais toujours le droit de regarder la télévision. Il faut dire qu'à cette époque, la croyance populaire promettait la myopie aux enfants qui passaient trop de temps devant le tube cathodique. Mais rassurez-vous les amis, c'est fini ! Nos écrans OLED ont résolu le problème ! (rires)
Si bien qu'à la place d'ingurgiter mon goûter devant Dorothée, ma Mamie m'envoyait jouer dans la chambre. Ou lire, elle s'en moquait bien. Du moment que je restais sage. Il n'était donc pas question pour moi de faire du trampoline sur le matelas. Non, la gifle n'était jamais bien loin. Du coup, j'étais calme. Je m'inventais des histoires. Et puis surtout parmi les lits de la « chambre des gosses », comme elle disait, le mien était vraiment bizarre. Déjà que je n'étais pas grand. Mais là, je faisais face à un truc de la taille d'un bateau. (rires)
Ça n'est pas compliqué, la bibliothèque, la table de chevet et la structure du lit ne faisaient qu'un seul meuble. Un bloc en formica imitation bois qui sentait drôle. Mais il me fascinait ce gros bazar. En plus, le matelas était vachement épais. Bref, j'adorais me vautrer dedans et choisir un livre sur l'étagère à portée de main. À l'abri de la pluie, je me prenais pour le capitaine du navire, affalé dans sa cabine, voguant paisiblement sur quelque mer imaginaire. Souvent, pour m'accompagner dans cette traversée, je prenais le dernier numéro des aventures de Picsou. Les autres bouquins, les vrais livres à la couverture d'une épaisseur qui ne se rencontre plus, ils étaient pour le soir. (sourires)
Et comme tous les gosses, la première chose que je faisais avec mon Picsou, c'était chercher les apparitions de mon personnage préféré. Je n'sais pas vous, mais moi, celui qui m'faisait « kiffer grave », c'était ce bon Géo Trouvetou ! Il était incroyable ce personnage. Toujours à te sortir le truc improbable à souhaits pour sauver d'une manière incroyable la situation dans l'histoire. Enfin, c'est l'image que j'en garde. Je n'ai pas relu de Piscou depuis, pff, trop longtemps pour que je m'en souvienne ! (rires)
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Ne me dites pas, après cette tranche de vie partagée avec vous, que le sujet est cloisonné, taillé au cordeau ou bien encore dénué de liberté. J'espère avoir laissé assez de ficelles dans ces quelques lignes pour voir couler, et vos larmes de rires, et votre créativité. C'est que moi aussi j'ai envie de m'marrer ! (rires)