autre mooeurs ! autre train

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Ay! mourir pour toi
A l'instant ou ta main me frôle
Laisser ma vie sur ton épaule
Bercer par le son de ta voix

Ay! mourir d'amour
T'offrir ma dernière seconde
Et sans regret quitter le monde
En emportant mon plus beau jour
Pour garder notre bonheur comme il est là
Ne pas connaître la douleur pour toi
Et la terrible certitude
De la solitude

Ay! mourir pour toi
Prendre le meilleur de nous mêmes
Dans le souffle de ton je t'aime
Et m'endormir avec mes joies
Parle-moi console-moi
J'ai peur du jour qui va naître
Il sera le dernier peut-être
Que notre bonheur va connaître
Serre moi, apaise moi
 
Quand tes cheveux s'étalent
Comme un soleil d'été
Et que ton oreiller
Ressemble aux champs de blé
Quand l'ombre et la lumière
Dessinent sur ton corps
Des montagnes des forêts
Et des îles au trésor
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime
Que je t'aime que je t'aime que je t'aime

 
Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté

 
Tu viens au temps des cerises.
Tu t'en vas sans les cueillir.
Tu te balades, indécise
Chez les sans-chemises
Mais qui veut te retenir,
Dans le ruisseau, s'enlise.

On te dit fière et farouche.
Suffit d'un coup de canon
Pour qu'aussitôt, tu te couches
Sous un homme louche
Qui nous tue en ton nom.

Liberté,
Tu n'es pas sérieuse.
Liberté,
T'as déjà vu des vies heureuses
Que l'on vit solitaire?
Oh! Liberté,
T'es pas fidèle.
Surveille un peu tes ailes,
Liberté sur terre.

Pendant que t'ornais ta pique
Avec la tête d'un roi,
On te gravait, magnifique,
Pour la république
Aux murs des commissariats.
Ris pas, c'est pas comique.

Toi, que l'esclave rachète,
Toi, dont on fait des statues,
Toi, que l'on chante à tue-tête
Dans les jours de fêtes,
Réponds-moi: où es-tu?

Liberté,
Tu n'es pas sérieuse.
Liberté,
T'as déjà vu des vies heureuses
Que l'on vit solitaire?
Oh! Liberté,
T'es pas fidèle.
Avec ou sans tes ailes,
Liberté sur terre.

C'est pas la faute à Voltaire.
C'est pas la faute à Rousseau.
Ceux qui t'ont vue, petite mère,
En tenue légère,
Te baigner dans le ruisseau,
Ils sont tombés par terre,
Par terre.
 
Donne-moi un sourire pareil
A celui que je veux donner
Il sera le nouveau soleil
D'un monde à inventer
Des milliers d'oiseaux migrateurs
De leurs ailes tracent le chemin
De liberté et de bonheur
Aux hommes qui naîtront demain

Vivre libre de tout mon passé
Vivre libre pour te rencontrer
Vivre libre, vivre libres toi et moi
Vivre libre, d'amour, de folie
Vivre libre, tu n'as qu'une vie
Vivre libre, vivre libre c'est ma vie

 
Et moi la fille libérée
Confondant le jour et la nuit
Pratiquant l?amour buissonnier
Comme un défi
Oui moi j?éprouve quelquefois
L?envie d?être apprivoisée
D?arrêter mon cinéma
Et de tout partager

A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour
A quoi sert de vivre libre
Quand on vit
Sans amour

 
On peut vivre sans richesse,
Presque sans le sou;
Des Seigneurs et des princesses :
Il n'y en a plus beaucoup,
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas,
Non, non, non, non,
On ne le pourrait pas !

On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien,
Etre inconnu dans l'histoire,
Et s'en trouver bien,
Mais vivre sans tendresse,
Il n'en est pas question,
Non, non, non, non,
Il n'en est pas question !
 
La tendresse
C'est un geste, un mot, un sourire quand on oublie
Que tous les deux on a grandi
C'est quand je veux te dire "je t'aime" et que j'oublie
Qu'un jour ou l'autre l'amour finit

La tendresse, la tendresse
La tendresse, la tendresse
La tendresse, la tendresse
La tendresse, la tendresse

Allez viens
 
Il faut savoir encore sourire
Quand le meilleur s'est retiré
Et qu'il ne reste que le pire
Dans une vie bête à pleurer

Il faut savoir, coûte que coûte
Garder toute sa dignité
Et malgré ce qu'il nous en coûte
S'en aller sans se retourner

Face au destin qui nous désarme
Et devant le bonheur perdu
Il faut savoir cacher ses larmes
Mais moi, mon cœur, je n'ai pas su

Il faut savoir quitter la table
Lorsque l'amour est desservi
Sans s'accrocher l'air pitoyable
Mais partir sans faire de bruit

Il faut savoir cacher sa peine
Sous le masque de tous les jours
Et retenir les cris de haine
Qui sont les derniers mots d'amour

Il faut savoir rester de glace
Et taire un cœur qui meurt déjà
Il faut savoir garder la face
Mais moi, mon cœur, je t'aime trop

Mais moi, je ne peux pas
Il faut savoir mais moi
Je ne sais pas...


 
Il suffira d'une étincelle,
D'un rien, d'un geste
Il suffira d'une étincelle,
D'un mot d'amour
Pour
Allumer le feu
Allumer le feu
Et faire danser les diables et les dieux
Allumer le feu
Allumer le feu
Et voir grandir la flamme dans vos yeux
Allumer le feu

 
Mais où sont passés les tuyaux,
Où est passée la grande échelle
Mais où sont passés les tuyaux,
Pas d'panique il nous les faut
Mais l'incendie là-bas fait rage
Le ciel était noir de fumée
Et tous les hommes dans les étages
Se disent mais que font les pompiers
Il n'y a pas de temps à perdre
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà pendant c'temps-là
A la caserne on entend les pompiers crier La la la la la la
 
Cela n'est rien, Madame la Marquise,
Cela n'est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Elle a péri
Dans l'incendie
Qui détruisit vos écuries.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien.

Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Mes écuries ont donc brûlé ?
Expliquez-moi
Valet modèle,
Comment cela s'est-il passé ?

Cela n'est rien, Madame la Marquise,
Cela n'est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Si l'écurie brûla, Madame,
C'est qu'le château était en flammes.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien.

Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Notre château est donc détruit !
Expliquez-moi
Car je chancelle
Comment cela s'est-il produit ?

 
Je fais rien que des bêtises, des bêtises quand t’es pas là

J’ai tout démonté le bahut
J’ai tout bien étalé la glue
Comme t’étais toujours pas revenu
J’ai tout haché menu menu

J’ai tout brûlé les beau tapis
J’ai tout scié les pieds du lit
Tout décousu tes beaux habits
Et mis le feu à la penderie
 
La vengeance est un plat qui se mange froid
Et tu vas te glacer d'effroi
En constatant mon appétit
Et loin d'être petit, petit,
Tu peux prendre tes jambes à ton cou
Vite avant que je te le torde
Ce qui ressemblerait encore beaucoup trop
A de la miséricorde

 
Tout nu et tout bronzé
On est bien, on est beau
Quand revient l'été
Tout nu et tout bronzé
Au soleil, sur le sable
Ou sur les galets
Tout nu et tout bronzé
Depuis la mer du Nord
Jusqu'aux Pyrénées
Tout nu et tout bronzé
On prend enfin le temps
Le temps de rêver.

 
Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Vingt ans, dix-huit
Dix-sept ans à la limite
Je ressuscite
Sea, sex and sun
Toi petite
Tu es de la dynamite

Sea, sex and sun
Le soleil au zénith
Me surexcitent
Tes petits seins de bakélite
Qui s'agitent
Sea, sex and sun
Toi petite
C'est sûr tu es un hit


Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
Sea, sex and sun
 
Dès que le vent soufflera...

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme, Tatatin
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Mardi
J'ai troqué mes santiags
Et mon cuir un peu zone
Contre une paire de docksides
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
Qui m' disaient "Sois prudent"
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans

Refrain

Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu tans pis
J'ai eu si mal au coeur
Sur la mer en furie
Qu' j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté ses sous
C'est d' la plaisance, c'est le pied

Refrain

Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Mais elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
La mienne m'attend au port
Au bout de la jetée
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte
D'amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer c'est son malheur

Refrain

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi
Je ferai le tour du monde
Pour voir à chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m' lâcher la grappe
J'irais aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans
N'oublieront mon prénom

Refrain

Ho ho ho ho ho hissez haut ho ho ho

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi
Il est fier mon navire
Il est est beau mon bateau
C'est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau (Hissez haut)
Tabarly, Pageot
Kersauson ou Riguidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles

Refrain

C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prends l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Je m' souviens un Vendredi
Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin

Refrain (ter)

Dès que le vent soufflera
Nous repartira
Dès que les vents tourneront
Je me n'en allerons

(Renaud)
 
Parés à virer,
Les gars, faudrait haler.
On se reposera quand on arrivera
Dans le port de Tacoma.

C'est dans la mer qu'on met les mâts, houla la houla,
C'est dans la mer qu'on met les mâts, houla houlala.

Parés à virer,
Les gars, faudrait haler.
On se reposera quand on arrivera
Dans le port de Tacoma.


 
Debout les gars ! Réveillez-vous !
Y va falloir en mettre un coup.
Debout les gars ! Réveillez-vous !
On va au bout du monde.
 
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la

J'ai couru à travers le monde
De Shangaï jusqu'à San Fernando
Sous le vent et la tempête
Pour toi j'ai mené mon bateau
Je reviens le coeur en fête
Jusqu'aux portes de Saint-Malo

 
Statut
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