Le désœuvrement, peut-être.
La méchanceté gratuite vis à vis de "l'autre" qui ne peut pas se défendre, probablement.
La connerie, tout simplement.
Sauf qu'un jour ils vont peut-être tomber sur un vieux con avec un calibre 12. A con, con et demi.
De la vie des macgéens
- Créateur du sujet thebiglebowsky
- Date de début
La méchanceté gratuite vis à vis de "l'autre" qui ne peut pas se défendre, probablement.
La connerie, tout simplement.
Sauf qu'un jour ils vont peut-être tomber sur un vieux con avec un calibre 12. A con, con et demi.
Ce qui m'énerve, c'est que Doudou est l'exemple même de la gentillesse et de la sociabilité ... Toujours prêt à se laisser caresser et câliner par tout le monde ... Tout le monde le connaît dans le quartier ainsi d'ailleurs que Pistache !
Je regrette que ce ne soit pas Lucky, mon warrior asocial, qui ait été confronté à cette situation ... Avec lui, l'isobetadine aurait coulé à flots !
Encore hier soir, je refuse de le laisser sortir à 22 H en lui disant "NON" de façon ferme et définitive ... il n'a rien trouvé de mieux que de me regarder dans les yeux, de se placer à côté de sa litière et de pisser sur place en signe de mécontentement ! Sacré Lucky ... je l'adore !
Allez, pour changer...
1983, je suis à Montgenèvre (05), moniteur en classe verte, (oui, là où quand j'avais 10 ans je chassais un fantôme). On est en octobre. Il est 20h et avec ma copine on se promène le long de la route qui va de l'Italie à Briançon devant Montgenèvre.
Tous les deux, on écoute le dernier disque de Charlélie Couture (celui où il y a le loup dans la bergerie), sur mon walkman à deux prises casque.
À un moment, une voiture qui roule super vite, alors qu'on est dans un village, nous arrive par derrière et passe vraiment très près, nous sentons le souffle du déplacement. La caisse, une R5 turbo noire immatriculée en Italie...
Ce soir, c'est une première neige qui tombe, pas beaucoup à cette heure, moins d'un cm.
Quelques jours plus tard, je dois descendre à Briançon porter la 4L du centre pour faire monter des pneus neige. Arrivé au garage, je reconnais la R5, mais le toit à rejoint les portières.
Au premier virage dans la descente vers Briançon, la voiture a fait un tout droit dans un ravin.
4 morts...
1983, je suis à Montgenèvre (05), moniteur en classe verte, (oui, là où quand j'avais 10 ans je chassais un fantôme). On est en octobre. Il est 20h et avec ma copine on se promène le long de la route qui va de l'Italie à Briançon devant Montgenèvre.
Tous les deux, on écoute le dernier disque de Charlélie Couture (celui où il y a le loup dans la bergerie), sur mon walkman à deux prises casque.
À un moment, une voiture qui roule super vite, alors qu'on est dans un village, nous arrive par derrière et passe vraiment très près, nous sentons le souffle du déplacement. La caisse, une R5 turbo noire immatriculée en Italie...
Ce soir, c'est une première neige qui tombe, pas beaucoup à cette heure, moins d'un cm.
Quelques jours plus tard, je dois descendre à Briançon porter la 4L du centre pour faire monter des pneus neige. Arrivé au garage, je reconnais la R5, mais le toit à rejoint les portières.
Au premier virage dans la descente vers Briançon, la voiture a fait un tout droit dans un ravin.
4 morts...
Chépas, et dans le Dauphiné Libéré, y a pas eu beaucoup de précision, à part que la voiture allait trop vite et que c'était la première neige qui était coupable...
Putain, le bol que tu as eu.
Moi sur mon walkman je n'avais qu'une seule prise casque.
Va t'en partager avec une fille.
Et pour finir, on me l'a perdu dans un déménagement (le walkman, hein, pas la fille - pas besoin de déménagement pour perdre une fille, il me suffisait d'être moi).
