De la vie des macgéens

Moi, j'avais un Teppaz qu'on appelait un électrophone et qui permettait d'écouter des 45 tours ! :kiss:

Ma copine de l'époque, Rose-Marie, me l'avait prêté et j'ai refusé de le lui rendre quand elle m'a laissé tomber pour un connard qui, lui, avait une bagnole pourrie ! :arghh:

Teppaz-Transit.jpg

De toutes manières, il était pourri aussi son électrophone ! :hilarious:
 
Oui, j’avais un mange-disque en plastique rouge quand j’étais gamin, j’adorais !
Qui mangeait des piles à profusion puisqu'on ne pouvait pas le brancher sur le secteur... :dead:
Moi, j'avais un Teppaz qu'on appelait un électrophone et qui permettait d'écouter des 45 tours !
Mon Teppaz je l'ai eu à 13 ans, le premier 45T que j'ai mis dessus, School's out d'Alice Cooper, le 2e, Paint it black des stones ! :up:
 
Je n'étais pas très "disque", mais mes parents avaient une excellente radio Grundig à tubes dotée d'une sorte d'oeil vert qui facilitait la syntonisation des stations ... pour l'époque (milieu des années 60) c'était top !

Dès que mes parents étaient partis se coucher, j'écoutais Radio Caroline - radio pirate émettant depuis un rafiot dans les eaux internationales au large du royaume uni - Et là, je me délectais des derniers tubes anglo-saxons qui n'étaient pas diffusés sur les radios traditionnelles !

C'était vraiment une période super et, en plus, on avait l'impression de "faire quelque chose de mal" en écoutant cette radio ! :hilarious:

Et ensuite, il y a eu les transistors avec, malheureusement, la disparition de "l'oeil vert" qui me subjuguait tant !
 
Certains soirs, lorsque je n'ai rien d'autre à foutre - ce qui est le cas la plupart du temps - je rallume mon matériel décamétrique que j'appelle affectueusement "mon petit Yaesu", et je pars à la chasse des radios du monde émettant encore en AM et plus particulièrement des émissions en BLU (Bande Latérale Unique).

Le chuintement des ondes et leurs mouvements, si mystérieux, me transporte ailleurs et la propagation me fait invariablement penser aux mouvements des océans ... le son vient vers l'avant pour repartir doucement vers l'arrière et revenir ensuite, un peu comme les vagues et les marées et, c'est peut être con, mais ça me fait rêver ! mais en fait, on devine plus qu'on écoute ! :kiss:

Ok ! Après une heure d'écoute, tu te tapes une migraine du feu de Dieu ! Mais bon ! C'est le prix à payer pour une digression à la triste réalité des choses ! :up:
 
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J'avais déjà entendu parler de radio Caroline.
En 1983 les Suisses ont mis en onde une radio que j'écoute encore toute la journée. À l'époque j'habitais juste à la frontière donc c’était facile. Maintenant depuis les Vosges c'est par internet.
Cette radio C'est Couleur3. Une radio musicale avec de la bonne musique.
 
Il y a une vingtaine d'année, je me retrouve dans la rue des Martyrs.
Je me dit que peut-être que.
Je vais boire un café dans le bar tabac, dans la salle y avait pas François.
Mais je suis reparti avec la chanson dans la tête.
Ce matin dans un article de Télérama :
.../... un bouge qui n’a jamais existé : « À l’époque, il n’y avait aucun bar dans cette rue. Je l’ai même choisie pour ça : puisque la chanson décrit un patron armé, des drogués, des prostituées et des mecs tout le temps bourrés, je ne voulais faire prendre de risques à personne... ni en prendre moi-même ! »
:pompous:


Note de moi-même : ça m'étonnait, vu la longueur de la rue et les quartiers traversés. Il y en a deux vers le bas, mais aucun du côté de Pigalle et au-dessus (merci gougueulstrittviou). Du coup pas étonnant que tu ne l'ais pas croisé ;)
 
Une nouvelle histoire à raconter...
En ce moment, je lis L'arabe du futur 6 de Riad Sattouf.
Vers la moitié de ce roman graphique il raconte comment il est réformé du service militaire croyant y échapper avec la loi de Chirac qui le supprime, mais cette loi s'appliquait aux jeunes nés à partir de 79, lui est né en 78...
Je vous dis pas l'état du mec qui croyait s'y soustraire... Mébon, il passe à travers finalement.

Et là, je vais vous raconter comment moi j'ai fait... :writer:
Déjà, j'avais fait appliquer le report à 23 ans pour raison personnelle, ça pouvait être études, travail, ou autres appréciés par l'administration militaire.
Moi, l'année de mes 23 ans et avant, je travaillais en saison à la montagne l'hiver, l'été en colos.

Un jour, mon père m'attrape et me dis que les gendarmes sont venus chez lui et lui ont remis une injonction à ce que je me présente à Valencienne pour éviter d'être porté déserteur. Je devait ensuite faire les 3 jours (qui en fait ne duraient qu'un jour et demi), à Vincennes. Ils me fournissent un billet de train et une date, environ 3 semaines plus tard...

À ce moment, j'ai commencé ma préparation anti service.
Je suis allé voir un psy pour lui expliquer que je ne pouvait pas vivre en collectivité,(alors que j'ai fait plein de colos), j'ai pleuré un peu, il a écrit une lettre scellée que je n'ai jamais lu, et j'ai payé 200 francs la consulte...

Deuxième étape, je me suis enfermé dans une caravane à la campagne trois jours et trois nuit sans manger ni dormir, uniquement de l'eau, du café sucré et un tube de Guronsan. Au matin de la troisième nuit, un copain est venu me chercher pour me conduire à la gare avec interdiction de parler.
Je vais à Valencienne prendre mon papier de présence, part aussitôt à Vincennes pour les tests.

Arrivé là, je ne parle à personne, je ne vais pas à la cantine et alimente une parano afin de conformer mon esprit à mon projet de ne pas faire le service. Je passe les tests physiques correctement, l'après-midi les tests psycho-techniques aussi sauf le morse où je rends page blanche. Le soir, je refuse le ciné, la nuit je refuse de dormir et me mets près d'une lampe pour lire. Depuis le matin, j'ai dû croquer 3 Guronsan effervescents et boire au robinet ensuite pour pas être repéré à les prendre, (je vous dit pas le bide).

Au matin, c'est là qu'on demande ceux qui veulent voir le psy. J'y vais et durant l'attente, je sens bien que les 4 qui sommes assis à attendre dans le couloir nous sommes épiés.
Au bout de 2 heures, on me dis d'aller voir le médecin à qui je donne ma lettre. C'est un appelé, il lit ma lettre et me dit que ce n'est pas lui qui prendra la décision mais le médecin militaire, et là, je pleure vraiment, je suis ravagé...

Plus tard on me fait passer devant le médecin militaire et son assistant. Il me dit : "alors, on veut pas faire son service ?
Là j'essaye de parler et fond en larmes...
Il me tend le papier d'incorporation et me dit d'aller à la file d'attente du tamponnage. C'est là que j'ai vu un mec réformé qui pleurait expliquant à tout le monde qu'il aurait voulu passer son permis de conduire à l'armée.

Arrive mon tour, le militaire lit mon nom, consulte un dossier et tamponne mon papier...

RÉFORMÉ DÉFINITIF P5

En quittant la caserne pour reprendre le train pour Le Havre, j'ai eu peur d'être suivi et repris pour me mettre en HP.

Je n'avais pas dormi pendant 96 heures.
La première nuit, j'ai dormi 6 heures.
La deuxième, j'ai dormi 36 heures.
Il me manque une journée de vie, mais j'ai pas fait le service. Si j'avais été pris, je partais aussitôt dans l'est en infanterie.
 
Ce matin dans un article de Télérama :
.../... un bouge qui n’a jamais existé : « À l’époque, il n’y avait aucun bar dans cette rue. Je l’ai même choisie pour ça : puisque la chanson décrit un patron armé, des drogués, des prostituées et des mecs tout le temps bourrés, je ne voulais faire prendre de risques à personne... ni en prendre moi-même ! »
:pompous:


Note de moi-même : ça m'étonnait, vu la longueur de la rue et les quartiers traversés. Il y en a deux vers le bas, mais aucun du côté de Pigalle et au-dessus (merci gougueulstrittviou). Du coup pas étonnant que tu ne l'ais pas croisé ;)
Putain, le looser.
J'avoue que je suis rentré dans le premier bistro que j'ai vu.
Tu m'étonnes, j'aurais pu attendre un moment.
Il est vrai que ça n'avait pas la gueule de la chanson, mais comme c'était la journée...

Je note au passage que le magasin dans lequel je me suis rendu a déménagé.
Il n'est plus dans la rue des Martyrs, mais (oh, pas bien loin), dans la rue Notre Dame de Lorette.
C'est toute ma jeunesse qui se barre en cacahuètes.
 
'spèce de tire-au-cul ! t'enverrai ça aux bat' d'af', moué ! :smuggrin:

J'ai un pote qui m'a raconté qu'à ses trois jours à lui, un de ses 'congénères' a tenté l'inverse sur le mode "j'veux faire mon service pour avoir une arme en main" et tout ce qui s'ensuit. Il aurait tant chargé la mule qu'il a gagné : réformé car potentiellement dangereux.
Et sans guronsan :up:
 
Une nouvelle histoire à raconter...
En ce moment, je lis L'arabe du futur 6 de Riad Sattouf.
Vers la moitié de ce roman graphique il raconte comment il est réformé du service militaire croyant y échapper avec la loi de Chirac qui le supprime, mais cette loi s'appliquait aux jeunes nés à partir de 79, lui est né en 78...
Je vous dis pas l'état du mec qui croyait s'y soustraire... Mébon, il passe à travers finalement.

Et là, je vais vous raconter comment moi j'ai fait... :writer:
Déjà, j'avais fait appliquer le report à 23 ans pour raison personnelle, ça pouvait être études, travail, ou autres appréciés par l'administration militaire.
Moi, l'année de mes 23 ans et avant, je travaillais en saison à la montagne l'hiver, l'été en colos.

Un jour, mon père m'attrape et me dis que les gendarmes sont venus chez lui et lui ont remis une injonction à ce que je me présente à Valencienne pour éviter d'être porté déserteur. Je devait ensuite faire les 3 jours (qui en fait ne duraient qu'un jour et demi), à Vincennes. Ils me fournissent un billet de train et une date, environ 3 semaines plus tard...

À ce moment, j'ai commencé ma préparation anti service.
Je suis allé voir un psy pour lui expliquer que je ne pouvait pas vivre en collectivité,(alors que j'ai fait plein de colos), j'ai pleuré un peu, il a écrit une lettre scellée que je n'ai jamais lu, et j'ai payé 200 francs la consulte...

Deuxième étape, je me suis enfermé dans une caravane à la campagne trois jours et trois nuit sans manger ni dormir, uniquement de l'eau, du café sucré et un tube de Guronsan. Au matin de la troisième nuit, un copain est venu me chercher pour me conduire à la gare avec interdiction de parler.
Je vais à Valencienne prendre mon papier de présence, part aussitôt à Vincennes pour les tests.

Arrivé là, je ne parle à personne, je ne vais pas à la cantine et alimente une parano afin de conformer mon esprit à mon projet de ne pas faire le service. Je passe les tests physiques correctement, l'après-midi les tests psycho-techniques aussi sauf le morse où je rends page blanche. Le soir, je refuse le ciné, la nuit je refuse de dormir et me mets près d'une lampe pour lire. Depuis le matin, j'ai dû croquer 3 Guronsan effervescents et boire au robinet ensuite pour pas être repéré à les prendre, (je vous dit pas le bide).

Au matin, c'est là qu'on demande ceux qui veulent voir le psy. J'y vais et durant l'attente, je sens bien que les 4 qui sommes assis à attendre dans le couloir nous sommes épiés.
Au bout de 2 heures, on me dis d'aller voir le médecin à qui je donne ma lettre. C'est un appelé, il lit ma lettre et me dit que ce n'est pas lui qui prendra la décision mais le médecin militaire, et là, je pleure vraiment, je suis ravagé...

Plus tard on me fait passer devant le médecin militaire et son assistant. Il me dit : "alors, on veut pas faire son service ?
Là j'essaye de parler et fond en larmes...
Il me tend le papier d'incorporation et me dit d'aller à la file d'attente du tamponnage. C'est là que j'ai vu un mec réformé qui pleurait expliquant à tout le monde qu'il aurait voulu passer son permis de conduire à l'armée.

Arrive mon tour, le militaire lit mon nom, consulte un dossier et tamponne mon papier...

RÉFORMÉ DÉFINITIF P5

En quittant la caserne pour reprendre le train pour Le Havre, j'ai eu peur d'être suivi et repris pour me mettre en HP.

Je n'avais pas dormi pendant 96 heures.
La première nuit, j'ai dormi 6 heures.
La deuxième, j'ai dormi 36 heures.
Il me manque une journée de vie, mais j'ai pas fait le service. Si j'avais été pris, je partais aussitôt dans l'est en infanterie.
Mauvais vrrranzais ! :banghead:
Moi j'ai réussi à me faire dispenser comme "soutien de famille". Je vous dispense des détails.
Quant à mon frère ainé, il n'a pas été accepté aux EOR. On lui a dit qu'il avait un frère "entaché vis à vis de la patrie". Un anarchiste, quoi. Ancien combattant de mai 68.
 
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Une nouvelle histoire à raconter...
En ce moment, je lis L'arabe du futur 6 de Riad Sattouf.
Vers la moitié de ce roman graphique il raconte comment il est réformé du service militaire croyant y échapper avec la loi de Chirac qui le supprime, mais cette loi s'appliquait aux jeunes nés à partir de 79, lui est né en 78...
Je vous dis pas l'état du mec qui croyait s'y soustraire... Mébon, il passe à travers finalement.

Et là, je vais vous raconter comment moi j'ai fait... :writer:
Déjà, j'avais fait appliquer le report à 23 ans pour raison personnelle, ça pouvait être études, travail, ou autres appréciés par l'administration militaire.
Moi, l'année de mes 23 ans et avant, je travaillais en saison à la montagne l'hiver, l'été en colos.

Un jour, mon père m'attrape et me dis que les gendarmes sont venus chez lui et lui ont remis une injonction à ce que je me présente à Valencienne pour éviter d'être porté déserteur. Je devait ensuite faire les 3 jours (qui en fait ne duraient qu'un jour et demi), à Vincennes. Ils me fournissent un billet de train et une date, environ 3 semaines plus tard...

À ce moment, j'ai commencé ma préparation anti service.
Je suis allé voir un psy pour lui expliquer que je ne pouvait pas vivre en collectivité,(alors que j'ai fait plein de colos), j'ai pleuré un peu, il a écrit une lettre scellée que je n'ai jamais lu, et j'ai payé 200 francs la consulte...

Deuxième étape, je me suis enfermé dans une caravane à la campagne trois jours et trois nuit sans manger ni dormir, uniquement de l'eau, du café sucré et un tube de Guronsan. Au matin de la troisième nuit, un copain est venu me chercher pour me conduire à la gare avec interdiction de parler.
Je vais à Valencienne prendre mon papier de présence, part aussitôt à Vincennes pour les tests.

Arrivé là, je ne parle à personne, je ne vais pas à la cantine et alimente une parano afin de conformer mon esprit à mon projet de ne pas faire le service. Je passe les tests physiques correctement, l'après-midi les tests psycho-techniques aussi sauf le morse où je rends page blanche. Le soir, je refuse le ciné, la nuit je refuse de dormir et me mets près d'une lampe pour lire. Depuis le matin, j'ai dû croquer 3 Guronsan effervescents et boire au robinet ensuite pour pas être repéré à les prendre, (je vous dit pas le bide).

Au matin, c'est là qu'on demande ceux qui veulent voir le psy. J'y vais et durant l'attente, je sens bien que les 4 qui sommes assis à attendre dans le couloir nous sommes épiés.
Au bout de 2 heures, on me dis d'aller voir le médecin à qui je donne ma lettre. C'est un appelé, il lit ma lettre et me dit que ce n'est pas lui qui prendra la décision mais le médecin militaire, et là, je pleure vraiment, je suis ravagé...

Plus tard on me fait passer devant le médecin militaire et son assistant. Il me dit : "alors, on veut pas faire son service ?
Là j'essaye de parler et fond en larmes...
Il me tend le papier d'incorporation et me dit d'aller à la file d'attente du tamponnage. C'est là que j'ai vu un mec réformé qui pleurait expliquant à tout le monde qu'il aurait voulu passer son permis de conduire à l'armée.

Arrive mon tour, le militaire lit mon nom, consulte un dossier et tamponne mon papier...

RÉFORMÉ DÉFINITIF P5

En quittant la caserne pour reprendre le train pour Le Havre, j'ai eu peur d'être suivi et repris pour me mettre en HP.

Je n'avais pas dormi pendant 96 heures.
La première nuit, j'ai dormi 6 heures.
La deuxième, j'ai dormi 36 heures.
Il me manque une journée de vie, mais j'ai pas fait le service. Si j'avais été pris, je partais aussitôt dans l'est en infanterie.
C'est marrant ça !
J'ai eu le parcours inverse du tien !

Etant né grand prématuré, j'ai toujours été "couvé" par mes parents (à qui je dois "doublement" la vie !) et, durant ma prime jeunesse, j'ai toujours été le petit préma qu'on protège des dangers extérieurs !
Jusqu'au jour ou ... j'en ai eu marre de chez marre !

J'avais une revanche à prendre sur la vie et je voulais prouver à mes parents que le "petit préma" était capable du meilleur !

Et, à 10 ans, je me suis jeté à corps perdu et à outrance dans le sport ... tout y est passé, natation, courses d'endurance, sports de combat (judo, karaté ...), muscu etc... et à ma grande surprise, j'étais bon dans ce que j'entreprenais ... o_O

9 années plus tard, et à l'énorme surprise de mes parents, j'étais devenu un sportif accompli, fort mentalement et endurant !

Puis arriva la fameuse convocation pour le service militaire et j'y ai vu, non pas une perte de temps potentielle, mais l'occasion d'ajouter une cerise sur mon gâteau ! :hilarious:

M'étant renseigné, et n'ayant pas envie de "subir" cette obligation, j'ai décidé de me porter volontaire pour le 1er bataillon de parachutistes (le top du top), surtout après avoir lu que seul un candidat sur 20 était accepté ! ... le challenge qu'il me fallait !

Et les épreuves de sélection ont commencé durant un mois ... Sans me vanter, je les ai survolées pour finir dans le top 5 des candidats !

Ensuite, j'ai signé pour 15 mois minimum et j'ai vécu l'une des plus belles aventures de ma vie au lieu de me morfondre dans une caserne miteuse ... Que du bonheur ! Aujourd'hui, j'y pense encore avec nostalgie ... nostalgie que je partage encore avec quelques potes de l'époque ... ceux qui ont survécu ! :hilarious:

Juste un seul regret ... celui d'avoir fait pleurer ma Mère quand je lui ai annoncé mon engagement ! :sorry:

Allez les petit prémas ... Haut les coeurs ! ... Vous pouvez le faire, suffit d'avoir une bonne niaque et c'est dans la poche ! :up:
 
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Réactions: boninmi et Toum'aï
Quant à mon frère ainé, il n'a pas été accepté aux EOR.
Après les tests psycho-techniques, j'ai eu 16 sur 20, ils m'ont proposé aux EOR... :jawdrop:
Nan mais ça va pas... :rage:
J'ai juste répondu comme il faut aux tests pour pas laver les chiottes :poo: tous les jours si j'étais pris... :nailbiting:
 
J'ai eu le parcours inverse du tien !
J'étais un peu anti-militariste mais surtout je skiais tous les jours en saison à la montagne, et ça je ne voulais pas qu'on me le retire.
 
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Réactions: thebiglebowsky