De la vie des macgéens

Ils n’attendent que ça !?

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:woot: ... Tidju ! J'ai été surpris ce matin ! ... :woot:
Mais en redimensionnant l'écran ... c'est ok ! ouf ! :cat:
 
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J'ai été surpris ce matin ! ... :woot:
Eh bah moi ! Si toutefois cela t’intéresse ami macgéen… La surprise jaillit dans la soirée de vendredi – ou la vie sauvage !

Médor faisait sa ronde de nuit tandis que je brodais à haute voix le message destiné à te calmer. Comprenant à son attitude inquiète qu’il prenait pour lui les mots que tu devais lire plus tard, je remettais mon joujou en poche et me concentrais sur son parcours. Circuit que j’ai défini et qu’il reproduit fidèlement, à quelques errements près – mais rassure-toi ami macgéen, d’un signe ou d’un son le Médor revient sur le droit chemin. Et plutôt que continuer à t’égarer avec ce modus operandi de l’éducation canine, laisse-moi t’annoncer la bonne nouvelle.

Je dis bonne mais je ne sais pas comment prendre ce que j’ai vu, tard dans la nuit… Un lampyre, ami macgéen, un lampyre ! Avec deux mois d’avance sur les précédentes rencontres, ma première luciole de l’année avançait lentement entre les brins d’herbe fraîchement coupés et déjà bien cramés. Un coup je la voyais, un coup elle disparaissait. Et je suis resté là un moment à suivre son petit manège, abasourdi par cette rencontre plus que précoce.

Hier, pour cette même balade du Médor, j’ai oublié de contrôler que je n’avais pas eu la berlue. Mais ce soir, quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle avait fait de petits. Eh oui ! Et non je n’ai pas assisté à une mise bas de ver luisant mais bien à un doublement des individus aperçus. Ils étaient deux à quelques mètres l’un de l’autre, parmi ces mêmes brins d’herbe, à se déhancher pour avancer. La bedaine luisante jouant du cache-cache avec mon regard. Merveilleux et inquiétant.

Allons-nous avoir un été battant des records de température ? Ont-ils changé les dates sur leur calendrier de reproduction ? Ont-ils bien vu que nous n’étions qu’en mai ? Ai-je rêvé ? N’essaie-je pas au moyen de ce biais d’amadouer quelques amoureux des vers luisants ?

Tant d’interrogations, ami macgéen, auxquelles tu ne manqueras pas de répondre si toutefois cela te dit.

Bonne nuit !
 
Allons-nous avoir un été battant des records de température ? Ont-ils changé les dates sur leur calendrier de reproduction ? Ont-ils bien vu que nous n’étions qu’en mai ? Ai-je rêvé ?
Etant donné que je me suis levé dans une brume pessimiste ce matin, je dirais simplement que le (lam)pire reste à venir ! :cat:
 
Eh bah moi ! Si toutefois cela t’intéresse ami macgéen… La surprise jaillit dans la soirée de vendredi – ou la vie sauvage !

Médor faisait sa ronde de nuit tandis que je brodais à haute voix le message destiné à te calmer. Comprenant à son attitude inquiète qu’il prenait pour lui les mots que tu devais lire plus tard, je remettais mon joujou en poche et me concentrais sur son parcours. Circuit que j’ai défini et qu’il reproduit fidèlement, à quelques errements près – mais rassure-toi ami macgéen, d’un signe ou d’un son le Médor revient sur le droit chemin. Et plutôt que continuer à t’égarer avec ce modus operandi de l’éducation canine, laisse-moi t’annoncer la bonne nouvelle.

Je dis bonne mais je ne sais pas comment prendre ce que j’ai vu, tard dans la nuit… Un lampyre, ami macgéen, un lampyre ! Avec deux mois d’avance sur les précédentes rencontres, ma première luciole de l’année avançait lentement entre les brins d’herbe fraîchement coupés et déjà bien cramés. Un coup je la voyais, un coup elle disparaissait. Et je suis resté là un moment à suivre son petit manège, abasourdi par cette rencontre plus que précoce.

Hier, pour cette même balade du Médor, j’ai oublié de contrôler que je n’avais pas eu la berlue. Mais ce soir, quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle avait fait de petits. Eh oui ! Et non je n’ai pas assisté à une mise bas de ver luisant mais bien à un doublement des individus aperçus. Ils étaient deux à quelques mètres l’un de l’autre, parmi ces mêmes brins d’herbe, à se déhancher pour avancer. La bedaine luisante jouant du cache-cache avec mon regard. Merveilleux et inquiétant.

Allons-nous avoir un été battant des records de température ? Ont-ils changé les dates sur leur calendrier de reproduction ? Ont-ils bien vu que nous n’étions qu’en mai ? Ai-je rêvé ? N’essaie-je pas au moyen de ce biais d’amadouer quelques amoureux des vers luisants ?

Tant d’interrogations, ami macgéen, auxquelles tu ne manqueras pas de répondre si toutefois cela te dit.

Bonne nuit !
Cela ne doit pas être si exceptionnel… quand j’étais étudiant il y a une trentaine d’années je vivais à la campagne, et j‘ai des souvenirs très clairs de verts luisants pendant le blocus, soit dans cette période de l’année.
 
mais bien à un doublement des individus aperçus. Ils étaient deux à quelques mètres l’un de l’autre,

Tu es sur qu'il ne s' agissait pa de deux phares de voitures ??
Aorès avoir un peu forcé sur l' apéro??
 
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Réactions: Human-Fly et peyret
Cela ne doit pas être si exceptionnel… quand j’étais étudiant il y a une trentaine d’années je vivais à la campagne, et j‘ai des souvenirs très clairs de verts luisants pendant le blocus, soit dans cette période de l’année.
Tu as raison ! Après vous avoir envoyé ce message, l’idée que ce n’était pas une rencontre exceptionnelle me traversa l’esprit. Je suis donc allé sur Wikipedia lire la fiche du lampyridae.

Et figure-toi, ami macgéen, la luciole ou plutôt sa larve arrête de se nourrir en mai juin pour se transformer en nymphe. Et de celle-ci émergera un coléoptère adulte. Et chose incroyable, la larve peut aussi émettre de la lumière !

Donc… Rien d’exceptionnel dans mes rencontres du weekend !
Bonne semaine ami macgéen ! Ton modérateur se couchera un peu moins bête.
 
Il y a un nid sous mon cabanon à bois.
@thebiglebowsky , surveille tes chats.
T’inquiète ! Ces poilus croient que le jus de thon telle la pluie tombe du ciel, que les croquettes poussent sous terre comme les cacahouètes et que les boîtes à chats mûrissent dans les arbres. :smuggrin:
 
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Réactions: Human-Fly


Oui, j'ai apprécié aussi ce passage du post d'aCLR.
J'avoue n'avoir jamais lu ce livre.

Par contre, en des temps presque immémoriaux, ma classe de seconde avait eu la grande chance de rencontrer Michel Tournier qui était venu nous rendre visite, dans notre salle de classe. Sur l'invitation de notre prof de français.
Nous venions de lire "Vendredi ou les Limbes du Pacifique".
Nous avons donc pu poser à l'auteur plein de questions sur ce livre.
Je lui ai sans doute posé au moins une question ou deux...
Je ne me souviens ni de mes questions ni de ses réponses, hélas...
Je savais bien que j'avais de la chance de voir cet écrivain et de lui poser des questions, mais j'avoue qu'avec le temps, j'ai de mieux en mieux mesuré la chance que j'avais eu ce jour-là...

Comme pour la plupart des différences occasions de rencontres, de dialogues, de voyages que j'ai pu avoir dans ma jeunesse ; je n'en ai mesuré la réelle portée que plus tard.


Pour la petite histoire, Michel Tournier écrivit en 1967 une libre adaptation de l'aventure de Robinson Crusoé, de Daniel Defoe.
La version de Tournier, à l'approche assez philosophique (Tournier était philosophe), fut écrite en 1967.
Le titre était "Vendredi ou les Limbes du Pacifique", et le livre obtint le Grand Prix du Roman de l'Académie Française.
Le livre, parfois jugé trop ardu pour pouvoir toucher un public large, fut retravaillé par son auteur qui en publia une version simplifiée en 1971, "Vendredi ou la Vie Sauvage", considéré comme un roman pour la jeunesse.

Mais je lirai peut-être un jour "Vendredi ou la Vie Sauvage". :)
 
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Réactions: aCLR
Au début j’ai tapé « ou la faune sauvage » pis je me suis dis que mes amis macgéens n’allaient pas comprendre. Du coup, j’ai opté pour « vie » au lieu de mon « faune » tapoté depuis l’iPhone. Eh bah non ! Ça n’allait pas non plus ! Fallait que les intellos – que je déteste plus encore que les photographes – ramènent leur science et me fichent mon moral en l’air ! Si je m’écoutais, au frais ils finiraient !
 
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Réactions: baron et Human-Fly
Au début j’ai tapé « ou la faune sauvage » pis je me suis dis que mes amis macgéens n’allaient pas comprendre. Du coup, j’ai opté pour « vie » au lieu de mon « faune » tapoté depuis l’iPhone. Eh bah non ! Ça n’allait pas non plus ! Fallait que les intellos – que je déteste plus encore que les photographes – ramènent leur science et me fichent mon moral en l’air ! Si je m’écoutais, au frais ils finiraient !

Loin de moi l'idée de dire du mal de "Vendredi ou la Vie Sauvage".
Je ne l'ai pas lu.

Mon père, qui était un prof de français qui enseignait au collège et qui était d'ailleurs très bien noté, faisait lire à ses élèves (je ne sais plus dans quelle classe) Vendredi ou la Vie Sauvage.
Lui, avait lu les deux livres et avait une nette préférence pour le livre qu'il faisait lire à ses élèves.
Il trouvait "Vendredi ou les Limbes du Pacifique" trop alambiqué et prétentieux à son goût, alors que "Vendredi ou la Vie Sauvage" disait pratiquement la même chose en allant directement à l'essentiel, selon lui.

Et je n'ai jamais eu le moindre mépris pour les "romans pour la jeunesse".
Il m'est arrivé d'en lire en ayant (hélas) dépassé l'âge... ;)
 
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Réactions: Yip et aCLR
Loin de moi l'idée de dire du mal de "Vendredi ou la Vie Sauvage".
Ouais c’est ça !? Non seulement tu continues de ramener ta science mais en plus j’ai l’impression que tu me fais passer pour un ado attardé ! Gare à toi ! Ma bombe de Baygon rouge n’est pas loin !?
 
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Réactions: Human-Fly
Une nouvelle maladie ?

Celle dont j'entends parler, moi, c'est la variole du singe.
Quant à tes subtiles insinuations, j'y avais répondu ici, avant même que tu les formules.

Insinuation ?

T'as jamais entendu parler de la "petite vérole" ? C'est juste un lapsus vérole/variole.

Si tu y vois autre chose, ben c'est que t'as de la merde dans ta tête. Ce qui ne m'étonnerais pas.

Voilà autant pour tes... insinuations. Pauvre type.
 
Dernière édition:
Ça c'est à cause de la vérole du singe.
Dis-donc Monsieur Osiris !? C’est moi que tu traites de primate ?! Nan parce que dans mon histoire, Vendredi ce n’est pas moi !? Hein ! C’est le jour de la semaine où les larves de lucioles se sont mises à faire du hula hoop sous mes mirettes ! Alors camembert ! Ta conception de l’évolution humaine – et de la mienne en particulier – je vais te la faire ravaler à grands coups de journées chômées, hé hé !