Et l'eau du poisson...
- Créateur du sujet mado
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bobbynountchak a dit:ouais mais tu peux etre sur qu'ils vont encore attendre que je sois parti!!
tu ne rates pas grand chose au final - tout avait été dit dans le dessin du premier message :siffle:
Pitch/fork/work a dit:ils recommenceront
c'est inévitable....et on se demande pourquoi....:rolleyes:
bref...
bon, on peut reprendre..?
l'est ou le Grug...?
:mouais:
...
stook a dit:c'est inévitable....et on se demande pourquoi....:rolleyes:
bref...
bon, on peut reprendre..?
l'est ou le Grug...?
:mouais:
Il est par-ci par-là !
Hum... au cas où certains qui m'ont dans leurs contacts ichat se posent la question, je précise qu'il ne s'agit pas de moi !Grug2 a dit:j'avais une amie pour qui cette expression avait une forte conotation sexuelle…
mais restons dans le sujet il est où le poisson ?
…
:siffle:
Bon tout ça ne nous dit pas où est le poisson !
lumai a dit:Hum... au cas où certains qui m'ont dans leurs contacts ichat se posent la question, je précise qu'il ne s'agit pas de moi !
Bon tout ça ne nous dit pas où est le poisson !
Au fond du bocal, l'air y est plus frais...
dit-il.... Comme dans le mien de bocal, d'ailleurs... je pèle de froid.... :mouais:
Juste en passant, un petit souvenir, d'une belle demoiselle
Et je marchais dans la rue un soir a pas feutrés
Seule a seule je comptais mes pas pour me rassurer
Tout en fumant dans le noir un mégot ajouré
Les heures chassent le temps qui presse et la caravane passe
Je pensais au sommeil pour demeurer éveillée
Mais au carrefour soudain je les ai entr'aperçues
Nez au vent elles déboulaient à brides abattues
Elles tanguaient sous les phares des autos effarouchées
Mais où sont passées les gazelles?
Dans le brun et l'or de leur yeux tout se boulversait
Je riais aux éclats en sanglot dans l'affolement
La rue n'aura jamais fini de me passionner
Des trotoirs, des tapis rouge dévalant à nos pied
Mais où sont passées les gazelles?
Pour l'incroyable cortège vivant tombé des nues
Et je marchais dans la rue à pas feutrés
seule a seule je comptais mes pas pour me rassurer
Les heures chassent le temps qui presse et la caravane passe
Listen to this, they say that french is the language of love
This is, if you want to bet on the survivial of a joke
Rien n'est guère impossible par une nuit étoilée
La rue ne peut reprendre ce qu'elle a déja donné
Et les bras tendus vers la foule
Au hasard Balthazar, la lutte continue
Garde ta langue bien pendue, et la lutte continue.
Et je marchais dans la rue un soir a pas feutrés
Seule a seule je comptais mes pas pour me rassurer
Tout en fumant dans le noir un mégot ajouré
Les heures chassent le temps qui presse et la caravane passe
Je pensais au sommeil pour demeurer éveillée
Mais au carrefour soudain je les ai entr'aperçues
Nez au vent elles déboulaient à brides abattues
Elles tanguaient sous les phares des autos effarouchées
Mais où sont passées les gazelles?
Dans le brun et l'or de leur yeux tout se boulversait
Je riais aux éclats en sanglot dans l'affolement
La rue n'aura jamais fini de me passionner
Des trotoirs, des tapis rouge dévalant à nos pied
Mais où sont passées les gazelles?
Pour l'incroyable cortège vivant tombé des nues
Et je marchais dans la rue à pas feutrés
seule a seule je comptais mes pas pour me rassurer
Les heures chassent le temps qui presse et la caravane passe
Listen to this, they say that french is the language of love
This is, if you want to bet on the survivial of a joke
Rien n'est guère impossible par une nuit étoilée
La rue ne peut reprendre ce qu'elle a déja donné
Et les bras tendus vers la foule
Au hasard Balthazar, la lutte continue
Garde ta langue bien pendue, et la lutte continue.
- Statut
