Façon « Nous Deux »

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anntraxh a dit:

:D :D Et meeerde j'ai pas le décodeur belge moi ! :rose: :hein: :rateau: :siffle: :D :D

Anntraxh ... :love:


PS : et bravo aussi à Spyro :rose: j'ai oublié de le signaler, et WebO aussi ! :D :up:
PS2 : vous me pardonnerez je ne suis pas dans mon état normal aujourd'hui :mouais: :rose: ;)
 
poildep a dit:
Tu es toute pardonnée, mais c'est quoi ton état normal ? :confused:

:siffle:

aïe ! non ! pas le trident ! aïe ! :D

:o justement dans mon état normal je t'aurais défrisé avec mon trident ! :mad: :rolleyes: :siffle:

:o Mais là en fait je n'en ferai rien :siffle: :D
 
lumai a dit:
Vouaa !!!
Il fait aussi fer à défriser ton trident ??? :eek::D:D

:o c'est un trident multifonctions !

En vrac quelques exemples d'usage :
fer à défriser, fourche (pratique l'automne), paneau de signalisation, arme de disusasion passive, brochette pour tout barbecue,"barette" à cheveux, peigne etc ... (peigne à myrtilles aussi, enfin peigne à melon en fait :D )

:rolleyes:
 
Lorna a dit:
:hein: euuh arrête après ils vont croire que la montagne "ça me gagne*" :eek: :D


*ché plus d'où je tiens ce slogan ! :rateau: :rolleyes:

Ouais, d'accord, des fois que tu te fâches avec tes potes les diablotins... :D

Autrefois, l'une des pointes du massif qui domine le col de Cheville et borde au Sud le Glacier de Tsanfleuron ne s'appelait pas la Tour St-Martin comme nos cartes l'indiquent aujourd'hui, mais portait un nom bien plus significatif et qu'on a eu tort de lui enlever.
Elle s'appelait la Quille du Diable. Cet énorme rocher en forme de tour ou de bastion colossal servait en effet d'objectif, de but ou de quille dans les divers jeux d'adresse ou de force auxquels se livraient les démons assemblés.
Aussi, quand des pierres descendaient avec bruit du haut de ce gigantesque donjon, lorsque les blocs lancés avec trop d'ardeur par ces joueurs infernaux sur la vaste esplanade glacée s'en allaient rebondir de rocher en rocher jusque sur les pâturages d'Anzeindaz ou sur les bords du petit lac de Derborence, les pâtres regardaient-ils en haut avec frayeur, songeant aux menaces de ces êtres maudits. Ils craignaient pour eux et pour leur troupeaux et se recommandaient à la grâce divine: "Que le bon Dieu nous soit en aide et protège nos génisses".
Pendant la nuit, on prétendait voir ces esprits sataniques, munis de petites lumières ou de lanternes, errer seuls ou par groupes dans les bois, sur les pâturages, dans les pierriers ou dans les hauts couloirs de montagne. Plusieurs même racontaient avoir vu souvent ces pauvres damnés ou suicidés descendre jusque près d'Ardon. On les entendait pousser d'affreux gémissements et leur corps, terribles à voir, étaient si las, mais si las d'errer et de ramper depuis tant d'années sur ces rochers arides où ils devaient s'expier leurs crimes, que plusieurs en avaient les bras usés jusqu'aux coudes et d'autres jusqu'aux épaules.
On entendit ces gémissement et on vit briller ces feux d'une manière particulièrement sinistre avant et pendant les deux épouvantables éboulement de 1714 et de 1740 qui recouvrirent des milliers d'arpents de pâturages et causèrent la mort de plusieurs personnes, ainsi que de nombreuses pièces de bétail.


:affraid:

Lorsque des éboulements surviennent dans cette région, la légende raconte que ce sont en fait les diablotins qui s'amusent en-haut dans la montagne...
 


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