En fait, dans toute cette histoire, ce qui est le coeur du débat, c'est l'épithète ["programmée"].
Elle induit, avant même de commencer à discuter, une idée de complot, de machination, de "on-nous-dit-rien" ou de "on-nous-manipule". Après, c'est fastoche : on peut déblatérer jusqu'à plus soif.
En clair : comment une question n'est pas une question dans la mesure où elle appelle d'emblée sa réponse.
PS : c'est une bonne illustration des thèmes d'un philosophe belge, Michel Meyer, qui est assez passionnant (enfin, quand je le comprends, surtout... )
Elle induit, avant même de commencer à discuter, une idée de complot, de machination, de "on-nous-dit-rien" ou de "on-nous-manipule". Après, c'est fastoche : on peut déblatérer jusqu'à plus soif.
En clair : comment une question n'est pas une question dans la mesure où elle appelle d'emblée sa réponse.
PS : c'est une bonne illustration des thèmes d'un philosophe belge, Michel Meyer, qui est assez passionnant (enfin, quand je le comprends, surtout... )