A
Anonyme
Invité
Silverscreen a dit:Traduire le 1er post par "je l'ai essayé rapidos en étant bourré d'a prioris...QUOTE]je dirais "en étant bourré" tout court
Indesign M'emmerde
- Créateur du sujet frmars
- Date de début
C'est vrai que piquer une telle colère pour un soft me paraît inquiétant et semble dénoter un manque de vacances...
J'ai dix ans de production avec XPress. Il ressemble à une 4L : c'est pas beau, y a pas la clim. ni de lecteur de cédé, mais pour transporter 100 kg de patates, cela suffit amplement.
Depuis plus de 2 ans, je produis avec InDe. Lui ressemblerait plutôt à une Mégane dernière génération (faut dire que je ne connais pas trop les automobiles donc mes métaphores sont un peu limitées). C'est confortable avec de superbes accoudoirs. Bien sûr, le tableau de bord est un peu compliqué et de temps en temps je suis obligée de relire le mode d'emploi pour tout comprendre. Par contre, c'est bien plus agréable pour faire 300 km.
Pour aborder confortablement InDe, outre XPress, il est recommandé de bien connaître au préalable... Illustrator. Car de nombreux automatismes du second se retrouvent dans le premier.
Il y a de nombreux paoistes qui ne connaissent que Xpress et ils souffrent considérablement de la prise en main d'InDe. Ce n'est pas agréable de se dire, après 10 ans ou plus de production : "je vais devoir réapprendre tous mes automatismes et découvrir de nombreuses nouvelles techniques" et on peut, à juste titre, se sentir rabaissé.
Mais il faut arrêter de croire que pour utiliser un logiciel il suffit d'ouvrir le soft et de se dire, tiens, je vais comprendre comment il fonctionne d'ici ce soir. Les logiciels deviennent de plus en plus compliqués (c'est le cas de Photoshop, d'Illustrator ou d'InDe) et leurs possibilités de plus en plus grandes. La période de formation (seul ou accompagné) devient donc de plus en plus nécessaire. Et ça, c'est quelque chose que l'on oublie bien trop souvent.
Je suis d'autant plus agacée par cela, que cela contribue à rabaisser la perception des métiers liés à l'informatique comme la PAO.
J'ai dix ans de production avec XPress. Il ressemble à une 4L : c'est pas beau, y a pas la clim. ni de lecteur de cédé, mais pour transporter 100 kg de patates, cela suffit amplement.
Depuis plus de 2 ans, je produis avec InDe. Lui ressemblerait plutôt à une Mégane dernière génération (faut dire que je ne connais pas trop les automobiles donc mes métaphores sont un peu limitées
). C'est confortable avec de superbes accoudoirs. Bien sûr, le tableau de bord est un peu compliqué et de temps en temps je suis obligée de relire le mode d'emploi pour tout comprendre. Par contre, c'est bien plus agréable pour faire 300 km.Pour aborder confortablement InDe, outre XPress, il est recommandé de bien connaître au préalable... Illustrator. Car de nombreux automatismes du second se retrouvent dans le premier.
Il y a de nombreux paoistes qui ne connaissent que Xpress et ils souffrent considérablement de la prise en main d'InDe. Ce n'est pas agréable de se dire, après 10 ans ou plus de production : "je vais devoir réapprendre tous mes automatismes et découvrir de nombreuses nouvelles techniques" et on peut, à juste titre, se sentir rabaissé.
Mais il faut arrêter de croire que pour utiliser un logiciel il suffit d'ouvrir le soft et de se dire, tiens, je vais comprendre comment il fonctionne d'ici ce soir. Les logiciels deviennent de plus en plus compliqués (c'est le cas de Photoshop, d'Illustrator ou d'InDe) et leurs possibilités de plus en plus grandes. La période de formation (seul ou accompagné) devient donc de plus en plus nécessaire. Et ça, c'est quelque chose que l'on oublie bien trop souvent.
Je suis d'autant plus agacée par cela, que cela contribue à rabaisser la perception des métiers liés à l'informatique comme la PAO.
Avant toute chose, c'est à l'initiateur du sujet que je réponds, non à Valérie75 : erreur de manip !
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Pour te consoler (frmars) et après avoir pris connaissance des réactions de chacun quant à ta grosse colère, j'aimerais ajouter qu'il fut pour certains d'entre nous d'autres sources de désenchantement incitant aux jurons les mieux sentis comme, par exemple, cette "merveilleuse" période où il a fallu lâcher tire-lignes et Rotring, cartons enduits de kaolin et autres calques pour aborder sans attenter à ses jours... Xpress ! Puis les 2 autres, et fissa, le client attend !
Néanmoins, InDesign ou le dinausore, reste à savoir gérer une approche de paire (détail typographique pris au hasard dans les règles désormais inusitées pour la majorité de tout ce qui se pagine aujourd'hui).
Mais cela, aucun manuel d'aucun logiciel n'en fera plus mention, tant il faut d'espace pour décrire les gadgets dont leur concepteurs les affublent au fil de leurs versions à tendance ventripotente. Le problème n'est pas tant de frimer en usant de moult raccourcis clavier, mais bien de respecter les usages du métier en usant des outils que l'on connaît, que l'on peut "s'offrir".
La Terre est un endroit merveilleux où tout se teste, s'adapte, s'adopte. Le mieux et le plus détestable, chacun choisit suivant ses besoins, son analyse, son goût, ses compétences et plus que tout, son envie. Les contraintes s'effacent ou se supportent, se dépasser ou se laisser dépasser, à chacun de doser.
Qu'importe l'avis, souris !
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Pour te consoler (frmars) et après avoir pris connaissance des réactions de chacun quant à ta grosse colère, j'aimerais ajouter qu'il fut pour certains d'entre nous d'autres sources de désenchantement incitant aux jurons les mieux sentis comme, par exemple, cette "merveilleuse" période où il a fallu lâcher tire-lignes et Rotring, cartons enduits de kaolin et autres calques pour aborder sans attenter à ses jours... Xpress ! Puis les 2 autres, et fissa, le client attend !
Néanmoins, InDesign ou le dinausore, reste à savoir gérer une approche de paire (détail typographique pris au hasard dans les règles désormais inusitées pour la majorité de tout ce qui se pagine aujourd'hui).
Mais cela, aucun manuel d'aucun logiciel n'en fera plus mention, tant il faut d'espace pour décrire les gadgets dont leur concepteurs les affublent au fil de leurs versions à tendance ventripotente. Le problème n'est pas tant de frimer en usant de moult raccourcis clavier, mais bien de respecter les usages du métier en usant des outils que l'on connaît, que l'on peut "s'offrir".
La Terre est un endroit merveilleux où tout se teste, s'adapte, s'adopte. Le mieux et le plus détestable, chacun choisit suivant ses besoins, son analyse, son goût, ses compétences et plus que tout, son envie. Les contraintes s'effacent ou se supportent, se dépasser ou se laisser dépasser, à chacun de doser.
Qu'importe l'avis, souris !
