De toute façon vu le niveau d'enneigement, Bormio est pas sûr d'avoir lieu ! Donc tu rateras rien ! 
Je voudrais voir du ski !
- Créateur du sujet rezba
- Date de début
Pas sûr.....Ouaip.
'fin, avec vos âneries, je suis pas près de voir la descente de Bormio sur ma bécane, moi...
Personne aurait un hack pour voir Eurosport sur vlc ? Ça serait plus simple, on transfèrerait ce fil dans "Internet", et mes potes diraient moins de conneries.
Un post dans "Et dire que j'ai raté ça" et on suit n'importe qui à la trace !.....
:siffle:
Ben non, justement. Le Ski n'intéresse aucune télé française. Le ski n'intéresse globalement aucun français, d'ailleurs.
De toute façon vu le niveau d'enneigement, Bormio est pas sûr d'avoir lieu ! Donc tu rateras rien !
S'en foutent, ils mettent tout en artif. Suffit qu'il fasse froid.
A
Anonyme
Invité
Le Ski n'intéresse aucune télé française. Le ski n'intéresse globalement aucun français, d'ailleurs.
mélangeons pas tout...
le ski est une activité, agréable, revigorante, délassante et tonifiante à la fois, toute d'éprouvé, de sensations, de subjectivité, de courbatures, de tartiflette, et même deci-delà, d'érections inavouables dans le froid mordant des télésièges et sous la tiède contention de pantalons trop souples et molletonnés en tentant de dissimuler son statut conjugal réel auprès d'une jeune californienne timide mais jolie aux pommettes rosies par de soudaines envies alpines.
le ski à la télé en est une autre, passive et mollassonne, faite de bière à la main et de chat sur les genoux, concernant un vague sport aux règles et barèmes abscons (cf quelqu'un a compris ce que c'est que le superG
), pénible à regarder car systématiquement mal filmée malgré des endroits merveilleux et des images potentiellement spectaculaires systématiquement aplanies et castrées de toute impression de vitesse ou de vertige par des cameramen que l'on imagine tabagiques et syndiqués, mal commentées par des spécialistes inodores et terre-à-terre avec, à la clé, des champions sans doute pires que les autres par la vacuité psychique abyssale qui transpire de leurs interviews. Une sorte de formule 1 donc, sauf qu'il est infiniement plus difficile de pratiquer la formule 1 pendant les vacances.les français d'une part, les producteurs de télévision français d'autre part, ne s'y sont pas trompés.
ne me dis pas que tu espères compenser le manque de l'un par la virtualité de l'autre ?
De toute façon vu le niveau d'enneigement, Bormio est pas sûr d'avoir lieu ! Donc tu rateras rien !
Bon, Rez', j'ai bien pensé a ton problème. En attendant la neige, voici ce que tu peux faire.
Tu te mets face à ton isight dont le focus sera réglé sur le sommet de ton crâne, au préalable légèrement saupoudré de farine ou de tout autre produit blanc et poudreux.
Il ne te reste plus qu'a trouver deux ou trois Playmobils que tu feras glisser sur ton dôme, pouvant ainsi visualiser sur l'écran des descentes qui gagneront probablement en chutes ce que le style y perdra. Si tu as le temps, tu peux même agrémenter cette morne plaine de décors prévus initialement pour les férus de chemins de fer miniatures. Une petite gare, des arbres (de préférence des sapins, sinon, c'est louche et peu crédible à l'image), des plaques de terre afin de coller à l'actualité météo.
Je sais, ce n'est qu'un pis-aller, mais bon...
Faudrait qu'un copain se dévoue pour saupoudrer la farine en temps réel.
Ou alors pour faire le canon à neige mais faut que ce soit vraiment un bon pote en qui on a toute confiance.
Ou alors pour faire le canon à neige mais faut que ce soit vraiment un bon pote en qui on a toute confiance.
Ah non, moi je veux voir l'intégralité de la compète!
Dans un fil genre "c'est comment devant le mac quand tout le monde regarde".
Attends, je réponds sérieux à l'olmeque, et je te reprends tout de suite derrière...
mélangeons pas tout...
le ski est une activité, agréable, revigorante, délassante et tonifiante à la fois, toute d'éprouvé, de sensations, de subjectivité, de courbatures, de tartiflette, et même deci-delà, d'érections inavouables dans le froid mordant des télésièges et sous la tiède contention de pantalons trop souples et molletonnés en tentant de dissimuler son statut conjugal réel auprès d'une jeune californienne timide mais jolie aux pommettes rosies par de soudaines envies alpines.
le ski à la télé en est une autre, passive et mollassonne, faite de bière à la main et de chat sur les genoux, concernant un vague sport aux règles et barèmes abscons (cf quelqu'un a compris ce que c'est que le superG
les français d'une part, les producteurs de télévision français d'autre part, ne s'y sont pas trompés.
ne me dis pas que tu espères compenser le manque de l'un par la virtualité de l'autre ?
Alors, par quoi commencer....
Par le point d'accord. Les ex-champions et autres spécialistes de la glisse sur deux jambes indépendantes sont des mous du bulbe du commentaire. Pour dire les choses clairement : je coupe le son systématiquement.
Les images, maintenant. Il se trouve qu'Eurosport a su révolutionner l'image de la discipline, avec des caméras relativement bien placées (autant que les pistes le permettent, souvent), et des savoirs-faire indéniables. Les passages des descendeurs ou des super-géantistes en surimpression sont généralement très parlant. Et même mal cadrées, je reste accroc de ces images.
La vitesse n'est pas souvent spectaculaire, c'est vrai. Et les sauts sont généralement mal cadrés. Mais même les sauts ne sont pas très spectaculaires. Le but d'un saut de descente n'est pas d'être spectaculaire, d'ailleurs. Il faut coller le plus possible au relief, pour ne pas perdre de temps. C'est le principe même de l'optraken.
Sauf à avoir une caméra embarquée, ça n'est pas très spectaculaire, puisque le but de jeu, en descente, c'est d'avoir la meilleure glisse, et la meilleure pénétration dans l'air possible, pour optimiser une trajectoire qui est un équilibre entre la plus courte (donc la plus rapide), et la plus sûre. Tout ça entre 80 et 130 km/h, selon le moment du parcours.
La glisse, faut vraiment en avoir fait beaucoup pour pouvoir l'appréhender à travers des images. Avoir les skis à plat, ou pas, that is the question.
Le super G non plus, ce n'est pas très spectaculaire, je te le concède. Surtout quand on y comprend rien.
Le principe du super G, c'est que c'est une piste un peu plus courte qu'une piste de descente, plus tournante, donc moins rapide (un 90 km/h de moyenne), et que tu n'as pu reconnaitre qu'à pied, et pendant un temps court. En descente, tu passes plusieurs jours sur la piste, à glisser, et à t'imprégner de ta trajectoire. En super G, tu découvres la piste le matin, tu la mémorises mentalement, et tu dois la restituer très rapidement, pour anticiper tes trajectoires au mieux. C'est la discipline qui est la plus proche du ski-plaisir. Elle n'a pas d'équivalent dans les sports de vitesse. Il y a un plaisir jubilatoire à regarder comment les coureurs anticipent leurs trajectoires, sur quel partie du parcours ils vont aller gagner des centièmes, comment ils vont se sortir des pièges de la vitesse.
Enfin bref. Pour moi, c'est tout sauf le chat sur les genoux, cette activité. C'est le souvenir de jeux olympiques d'hiver pendant lesquels je travaille la journée, toute la journée sur les skis, et à 5 heures, larguer les moufflets à leurs parents et foncer, sans même se déchausser, voir les retransmissions en différé à la crèperie du coin, et m'émerveiller de voir ces gonzesses et ses types qui faisaient à merveille ce que je trouvais de mieux à faire au monde.
De tous les métiers que j'ai fait, skier est celui qui m'a le plus apporté de plaisir. Et de thune. Faut dire aussi que j'ai été qu'escort boy amateur, hein, pas professionnel.
Faudrait qu'un copain se dévoue pour saupoudrer la farine en temps réel.
Ou alors pour faire le canon à neige mais faut que ce soit vraiment un bon pote en qui on a toute confiance.
Mes amis, je sais ce que la vue d'un crane comme le mien, poncé à souhait, brillant au firmament, peu provoquer parfois d'émois intimes chez la gente féminine et gay réunie.
Mais j'ai quand même du mal à comprendre pourquoi certaines de mes connaissances, dont vous faites visiblement partie, rêvent de se faire des gros rails de poudre sur mon pariétal de marbre.
Mes amis, je sais ce que la vue d'un crane comme le mien, poncé à souhait, brillant au firmament, peu provoquer parfois d'émois intimes chez la gente féminine et gay réunie.
Mais j'ai quand même du mal à comprendre pourquoi certaines de mes connaissances, dont vous faites visiblement partie, rêvent de se faire des gros rails de poudre sur mon pariétal de marbre.
Tu noteras quand même qu'ils t'ont tout de suite proposé de tout faire en autonome, ce qui montre la haute estime qu'ils ont dans les qualités de tes réflexes.
À ce qu'on m'a dit, Bobby avait envisagé l'utilisation de Patoche comme alternative mais l'Amok aurait dit que le ski de descente allait un peu vite pour un Corse et qu'il vaudrait mieux l'envisager (si l'on peut dire) pour les retransmissions de curling.
Tu noteras quand même qu'ils t'ont tout de suite proposé de tout faire en autonome, ce qui montre la haute estime qu'ils ont dans les qualités de tes réflexes.
À ce qu'on m'a dit, Bobby avait envisagé l'utilisation de Patoche comme alternative mais l'Amok aurait dit que le ski de descente allait un peu vite pour un Corse et qu'il vaudrait mieux l'envisager (si l'on peut dire) pour les retransmissions de curling.
On voit bien que tu ne connais pas Patoch' : il est tellement flemard qu'il s'est fait tatouer trois ronds noirs sur le dessus du crâne. Comme ca, au bowling il n'a qu'a se laisser glisser, laissant aux autres l'effort du lancer !
A
Anonyme
Invité
[MGZ] BackCat;4114822 a dit:
T'es sûr qu'ils n'ont pas fait de progrés dans les techniques de fartage depuis l'époque où je pratiquais vaguement dans les pâturages derrière la maison ? :eek: :o