Salut à vous, amis photographes.
Moi, analyste de la culture non photographe, j'ai besoin de vos lumières sur ce procédé.
Il faudrait qu'on m'explique cinq ou six trucs sur le cibachrome/ilfochrome.
Je connais en gros le principe : une feuille plastique/papier (? ça, c'est pas toujours clair), dont on insère dans l'émulsion des [FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]cristaux d'halogénures d'argent selon trois couches bleue verte rouge, et des coupleurs [/FONT][FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]jaunes, magenta et cyan pour que les colorants se forment dans les couches exposées proportionnellement à la quantité de lumière reçue (respectivement la lumière bleue, verte et rouge), pour restituer les couleurs photographiées.
Enfin, ça, c'est ce que j'ai repiqué là.
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus sur le procédé. Ni sur la qualité des rendus, incontestable. Mais en revanche, j'ai des questions sur ce qu'on en fait après, sur ce qui fait qu'un cibachrome atteint aujourd'hui des sommets dans le marché de l'art, en dehors de la réputation du photographe.
1. La plupart des cibachromes que je vois sont - parfaitement - collés sur des supports, et notamment des supports alus. C'est une particularité des cibachromes, cette capacité à être montés magnifiquement sur des supports ?
2. La plupart des cibachromes que je vois sont des tirages plutôt mats. Y'a aussi deux types de cibachromes, des mats et des brillants, comme pour les tirages tradi ? Lorsqu'on parle d'un cibachrome laminé, ou marouflé, ces opérations sont effectuées par le tireur, en machine, ou elles résultent d'une intervention artistique complémentaire (de l'auteur ou du tireur) ?
3. Ilford et Kodak insistent sur la durée de vie de ces tirages : 300 ans. C'est un procédé qui n'a que 45 ans, donc il s'agit-là de prospective. Sur quoi cette prospective se fonde-t-elle ?
4. Le prix d'un tirage cibachrome est fonction de la taille du tirage, ou plutôt de la technique mise en ½uvre, ou du tireur ?
5. On parle souvent, ici comme ailleurs, des mêmes "tireurs" de ciba, très réputés. J'ai même lu ici et ailleurs des discussions sur leur qualité de "co-auteur". Vous pensez-quoi de cette notion de co-auteur ?
6. Y'a mieux que le cibachrome, disponible ou en prévision ?
Ça fait beaucoup de questions, hein ? Ben vous pouvez découper les posts de réponses, ça fera une FAQ dédiée au cibachrome, et vous serez en première ligne dans google !
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Moi, analyste de la culture non photographe, j'ai besoin de vos lumières sur ce procédé.
Il faudrait qu'on m'explique cinq ou six trucs sur le cibachrome/ilfochrome.
Je connais en gros le principe : une feuille plastique/papier (? ça, c'est pas toujours clair), dont on insère dans l'émulsion des [FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]cristaux d'halogénures d'argent selon trois couches bleue verte rouge, et des coupleurs [/FONT][FONT=Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif]jaunes, magenta et cyan pour que les colorants se forment dans les couches exposées proportionnellement à la quantité de lumière reçue (respectivement la lumière bleue, verte et rouge), pour restituer les couleurs photographiées.
Enfin, ça, c'est ce que j'ai repiqué là.
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus sur le procédé. Ni sur la qualité des rendus, incontestable. Mais en revanche, j'ai des questions sur ce qu'on en fait après, sur ce qui fait qu'un cibachrome atteint aujourd'hui des sommets dans le marché de l'art, en dehors de la réputation du photographe.
1. La plupart des cibachromes que je vois sont - parfaitement - collés sur des supports, et notamment des supports alus. C'est une particularité des cibachromes, cette capacité à être montés magnifiquement sur des supports ?
2. La plupart des cibachromes que je vois sont des tirages plutôt mats. Y'a aussi deux types de cibachromes, des mats et des brillants, comme pour les tirages tradi ? Lorsqu'on parle d'un cibachrome laminé, ou marouflé, ces opérations sont effectuées par le tireur, en machine, ou elles résultent d'une intervention artistique complémentaire (de l'auteur ou du tireur) ?
3. Ilford et Kodak insistent sur la durée de vie de ces tirages : 300 ans. C'est un procédé qui n'a que 45 ans, donc il s'agit-là de prospective. Sur quoi cette prospective se fonde-t-elle ?
4. Le prix d'un tirage cibachrome est fonction de la taille du tirage, ou plutôt de la technique mise en ½uvre, ou du tireur ?
5. On parle souvent, ici comme ailleurs, des mêmes "tireurs" de ciba, très réputés. J'ai même lu ici et ailleurs des discussions sur leur qualité de "co-auteur". Vous pensez-quoi de cette notion de co-auteur ?
6. Y'a mieux que le cibachrome, disponible ou en prévision ?
Ça fait beaucoup de questions, hein ? Ben vous pouvez découper les posts de réponses, ça fera une FAQ dédiée au cibachrome, et vous serez en première ligne dans google !
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