@ Orphanis. Originellement, le jeu du dernier mot invitait à reprendre texto le dernier mot entier (et pas une de ses parties syllabaires) de la phrase précédente pour en faire le premier mot d'une nouvelle phrase. Reprendre texto plus d'un mot de la phrase précédente aurait exposé à une redite fastidieuse, comme si je m'autorisais à reprendre intégralement le : "En tes ris heureux jaillit l'ironie" de loustic et était donc proscrit.
Par une de ces conventions tacites qui surgissent en cours de jeu entre les joueurs actifs afin de vaincre l'ennui d'appliquer mécaniquement la règle fondatrice ; une stipulation implicite subalterne a vu le jour autorisant à reprendre autant de mots qu'on veut d'autant de phrases de joueurs précédentes, à condition de ne pas verser dans la répétition textuelle. Cette règle consiste en la reprise "acoustique" à l'identique des mots antérieurs, mais avec des mots textuellement différents des mots de référence. Exemple un : "Il a fait céder le vil arnaqueur" de loustic repris acoustiquement en : "Y (la fesse : c'est d'elle), vit l'a. Re ? n'a cœur." Contrainte oulipienne si l'on veut.
(loustic)-.. Antérieur : re, j'aille y ? L'ire... honnie
(Nelly)---- vape as, hou ! Hale hors (avait qu'aire mie) ! Au nœud
(Orphanis) y, âne, hale au nœud ! Amarre d'ais, vit aient y : œufs ! T'rage hé ! d'enter mol usque