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Bon, j'ai pas que ça à faire :hein:
Débrouillez-vous entre vous, mais j'aurais aimé que l'on citât le pilier que j'avais fléché
(en réalité je ne sais pas exactement lequel c'est, j'ai fait au mieux; et Claudel, ce n'est pas tout à fait mon genre quotidien, j'en avais lu un livre en 1969 quand je m'ennuyais sans doute )
Pour ne pas faire pencher la balance, je dirais quand même que Romuald
Paul Claudel, selon ses dires, baignait, comme tous les jeunes gens de son âge, dans « le bagne matérialiste » du scientisme de l'époque. Il se convertit au catholicisme, religion de son enfance, en assistant en curieux aux vêpres à Notre-Dame de Paris le 25 décembre 1886, jour de Noël. "J’étais debout, près du deuxième pilier, à droite, du côté de la sacristie. Les enfants de la maîtrise étaient en train de chanter ce que je sus plus tard être le Magnificat. En un instant mon cœur fut touché et je crus".
C'est derrière le deuxième, et le soulier de satin dure onze heures, comme le bouillon du même nom, et pas neuf. 'heureusement qu'il n'a pas écrit la paire' aurait dit Jean Cocteau.
Bon Toumaï, vas-y, j'avais la main récemment, je la passe