<blockquote><font class="small">Posté à l'origine par alèm:</font><hr />
je n'ai pas digéré l'affaire.
alors si tout le monde était honnête, cool et sympa, ça irait. mais dans ce milieu d'enflures de bas étages, faut racker. sinon on crève la dalle et nous passons nous pour les copieurs.
<hr /></blockquote>
Il m'est arrivé une affaire similaire concernant la création d'une typo. Des semaines de travail pour la dessiner (dans les règles de l'art) + des semaines pour la mettre au point et la kerner (illustrator + fontographer). Résultat : je retrouve la typo grossièrement pompée sur une affiche également. Les boules...
J'en encore beucoup d'autre comme cela comme par exemple l'identité visuelle d'un café-musique (véritablement agréé comme tel) que j'ai retrouvé sur la jaquette d'une compil' de jazz. Jaquette réalisé par la même boite qui quelques mois plus tôt nous avait tranquillement pompée une affiche pour la DDASS.
Le fait est que les droits d'auteurs sont de moins en moins respectés et que la consommation de l'image atteint une boulimie pantagruelique. Il est malheureux de constater que pour survivre dans cette conjoncture il faut devoir/pouvoir faire de la quantité plutôt que de la qualité et ce notamment pour 'amortir' les déchets dûs au plagieurs.
je n'ai pas digéré l'affaire.
alors si tout le monde était honnête, cool et sympa, ça irait. mais dans ce milieu d'enflures de bas étages, faut racker. sinon on crève la dalle et nous passons nous pour les copieurs.
Il m'est arrivé une affaire similaire concernant la création d'une typo. Des semaines de travail pour la dessiner (dans les règles de l'art) + des semaines pour la mettre au point et la kerner (illustrator + fontographer). Résultat : je retrouve la typo grossièrement pompée sur une affiche également. Les boules...
J'en encore beucoup d'autre comme cela comme par exemple l'identité visuelle d'un café-musique (véritablement agréé comme tel) que j'ai retrouvé sur la jaquette d'une compil' de jazz. Jaquette réalisé par la même boite qui quelques mois plus tôt nous avait tranquillement pompée une affiche pour la DDASS.
Le fait est que les droits d'auteurs sont de moins en moins respectés et que la consommation de l'image atteint une boulimie pantagruelique. Il est malheureux de constater que pour survivre dans cette conjoncture il faut devoir/pouvoir faire de la quantité plutôt que de la qualité et ce notamment pour 'amortir' les déchets dûs au plagieurs.