A
Anonyme
Invité
Ce brillant sujet de thebig me rappelle une histoire qui mest arrivée pas plus tard quil y a deux mois. Comme jétais fatigué par une journée de chasse au cerf, je décidai de prendre Till, ma fière monture alezane, pour une promenade au hasard sur mes terres, non loin du château. Jétais véritablement harassé, mais je pensais que musarder ainsi avec mon cheval fidèle (il est au moins aussi vieux quune bouteille de Chivas) me ferait du bien. Aussi, alors que nous passions le pont-levis, je me penchais pour lui glisser à loreille ce timide aveu : « Je nen peux mais
Hue, Till ! » Étonnant, non ?